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L'inceste vu par les yeux du plaisir.

Ceci est un blog pour vous donner une autre image sur l'inceste. celle du plaisir entre adultes et consentants. celle où l'on ne se pose pas de questions autres que celles qui nous ménent à la volupté. Nous ne voulons pas de conseils psychologiques ni de morale religieuse. De grâce, si le contenu vous choque ou ne vous plait pas passez votre chemin vers là où vous-vous sentirez mieux. Bienvenue aux commentaires de tous ceux qui veulent une améliorations et aussi au propositions voir récits et textes à publier. Bonne lecture à tous et à toutes et surtout laissez-vous emporter par le plaisir sans aucune résistance.

Maxime

Dimanche 11 janvier 7 11 /01 /Jan 05:41


 

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Depuis ma plus tendre enfance, j'ai été attiré par ma mère Simone. C’est une femme plutôt banale. Maman a des courbes et des rondeurs là où il faut. Un bon 95c ! Ses seins sont en forme de poire et ses tétons pointent en permanence. Elle a un pubis très poilu et volumineux et un joli cul. Maman m’a toujours fait bander. Donc très vite j'ai découvert sa lingerie plutôt sexy et osée. Je ne pensais pas que ma propre mère pouvait porter des soutien-gorge et des slips aussi sexy et très osés. Dès que j'ai été en âge de me masturber J’ai éjaculé régulièrement mon sperme sur ses culottes. Je rangeais ensuite ses slips tels quels dans son tiroir. J’étais fier de la souiller ainsi. Plus ma maman Simone prenait de l'âge plus elle m'attire physiquement. La première fois que je l’ai baisé, elle avait 63 ans. J’étais venu passer deux trois jours chez mes parents. Maman était en peignoir. Un matin elle entre dans ma chambre et elle me dit : _Ton sperme sur mes slips

Et elle a ouvert son peignoir. Elle était entièrement nue. Elle s’est installée sur mon lit regardant le plafond, les bras en croix et les jambes écartées. Et sans préliminaires, je dirigeais mon cylindre à l'intérieur de son orifice vaginal et je me mis à la tringler comme un malade.

_Ahhh nous vendons nos âmes au diable… Nous sommes perdus, chéri, j’ai honte mais continue c’est bon _Maman, tu veux qu’on arrête .

_Normalement on ne devrait pas… _décides-toi vite… _On va brûler dans les flammes mais en attendant fait de moi ta pute

À ces mots-là j’ai cherché l’accord de maman et elle a compris _Ouiiii… Déverse en moi, ton père ce cocu n’y arrive plus

 L’accord de maman a déclenché l’envoi de mon sperme en abondance dans le fond de son vagin, dans son ventre vénéré et si maternel. Elle lance un cri strident que je ne lui ai jamais connu en me griffant le dos et en m’insultant.

 

_Ton père n'est même pas capable de me faire jouir. Toi mon fils dès la première baise tu me fais jouir comme une folle.

Moi j’avais joui à m’arracher les bourses dans un râle et pourtant que je n’ai jamais fait avec mon épouse, cette dernière étant plus jeune que maman bien sûr, est très jolie pourtant et je l’aime fort.

Maintenant je suis devenu et ce dès la première baise l’amant officiel de maman. Et je ne le regrette pas. Maman mit à entrer la carte sur table :

 _mon fils à mon âge les occasions de cul son rare. Je sais que tu as toujours voulu me tringler, vu l'état dans lequel tu me laissais mes slips. Tu ne peux Psa me dire le contraire.

Elle ajouta :

_tu sais, à mon âge, je suis devenu une femme sans tabou et tous les coups que tu me mettras dans la vulve sont des coups que ta femme n'aura pas.

_Avec ma femme, sur le plan cul, ce n'était pas le top.

_Tu vas voir mon fils, avec ta mère cela va changer.

Quelques jours plus tard je me suis retrouvé dans une chambre d'hôtel avec ma mère qui m'attendait juste vêtue d'une guêpière entièrement en tulle noir transparente incrustée de fine dentelle rouge. Son slip assorti me laissait voir son large pubis de couleur châtain claire. Là j'ai baisé et sodomisé l'anus de ma mère Simone. Avec maman, j'ai vraiment eu une vie sexuelle hard. Quand elle m’avait dit qu’elle n'avait plus de tabou je ne me doutai pas que cela pouvait aller aussi lion. Grâce à ma mère j'ai pu baiser dans des lieux vraiment inattendus comme au cinéma pendant un film porno, dans la wc d'un grand restaurent de paris, dans les wcs d'une gare, dans le train, dans le métro, dans une salle de mairie après le mariage de sa copine. Nous avons baisé aussi dans un parking souterrain, sur un parking de grande surface entre deux voitures, dans les aires de repos sur les autoroutes, dans une église et dans des halls d'immeubles.

Là où nous habitons nous avons baisé dans les caves, dans l'ascenseur te dans la cage d'escalier. Mais notre dernière baise qui fut la plus chaude et la plus inattendue. Maman entra dans ma chambre, elle retroussa sa jupe moulante. Elle a exhibé son slip noir en dentelle sous mes yeux et mon nez. Quelques secondes plus tard je lui fourrai mon phallus dans sa cramouille et je me mis à limer le conduit vaginal, maternel, pendant que mon père regardait la télévision dans la pièce qui était juste à côté de ma chambre.

De plus, ma mère Simone pour une femme de  son âge n'a pas peur de sortir faire des courses sans slip sous ses robes ou ses jupes. Il arrive même que juste sous robes juste uniquement un collant ou porte jarretelle avec des bas fantaisies. Il est vrai que les positions du kamasoutra pour ma mère et moi n'ont plus de secrets. Ma mère pratique la fellation d’une une façon très personnelle. Sucer et pomper mon gland et faire monter le sperme de mes couilles puis avaler mon sperme. Elle aime être souillée sur tout son corps de mon sperme. j'aime lui éjaculer sur son visage, ses seins, sur son pubis, ses poils et à l’entrée de ses fesses bombées et charnues. Mais ce que j'adore par-dessus tout s'est d’éjaculer dans son vagin. En plus de la sodomie dont nous raffolons, nous pratiquons aussi des jeux très érotiques comme le 69, des jeux d'eaux, la masturbation de son vagin et son anus avec différents objets de différentes grosseurs et longueurs. Ma mère Simone a aujourd’hui 69 ans et dès que mon père aura le dos tourné. J'irai dérider le trou du cul de ma maman.

Antoine

 

 

Contact Maxime : avarnus@lavache.com

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Par maxime - Publié dans : incestueux
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 17:20

Je me nomme François et ma sœur Mireille. Mireille est ma cadette d’un peu plus de 7 ans. Mireille et moi allons vous raconter notre histoire vue différemment par ses yeux et les miens. C’est pourquoi nous allons identifier qui fait la narration pour la compréhension des lecteurs.

FRANCOIS

La naissance de ma sœur est une véritable calamité. Ma mère, dès mes 8 ans, m’empêche quelques fois d’aller rejoindre mes copains, pour l’aider à la maison et surtout passer du temps avec Mireille. Qu’est-ce qu’un petit gars de 8 ans fait avec un bébé qui n’a pas encore un an? Il s’ennuie à mourir. Le soir, avant que mes parentscouchent pour la nuit Mireille, je devais l’aider à apprendre des mots avec un livre imagé. J’avais 10 ans, je m’en rappelle encore, elle a fouillé dans mon sac d’école et a déchiré tous les travaux que j’avais peiné à faire et que j’ai du recommencé. Elle a rendu mon adolescence difficile. Elle passa son temps à fouiller dans ma chambre. Elle trouva une revue de Penthouse, un p’tit sac d’herbe que j’avais bien caché, etc. Chacune des trouvailles se retrouvaient inévitablement dans les mains de ma mère. Je voyais Mireille et ses yeux malicieux prendre plaisir aux punitions qui s’en suivaient. A partir de 13 ans, le nombre de sorties ratées parce que je devais faire la gardienne d’enfant pour permettre à mes parents une soirée. Quand j’ai eu 15 ans, elle m’a vu la main sur le sein de ma copine, ai-je besoin de vous dire la leçon de morale que j’ai reçue de ma mère. Sur ce point mon père lui eut un petit sourire et ses reproches étaient d’avoir plus de discrétion, ma sœur étant très jeune. J’ajouterai le nombre d’objets qu’elle m’a brisé ou abimé à la liste pour que les gens comprennent combien Mireille était pour moi une petite peste. D’ailleurs, j’ai 20 ans et je pense sérieusement à quitter la demeure familiale.

MIREILLE

Mon frère est grand. Il a beaucoup de permissions que je n’ai pas et il n’est jamais content. Je le vois quand il regarde des bandes dessinées avec moi pendant que nos parents sont sortis. Je suis curieuse, et mon frère a beaucoup de trésors dans sa chambre. Un jour j’ai demandé à ma mère pourquoi les femmes étaient nues dans une revue trouvée dans sa chambre. Il y a eu aussi un sac rempli d’herbes, je me demandais à quoi cela servait. Bref, il n’y avait aucune malice. Mon frère me demandait toujours de ne rien toucher dans sa chambre, mais j’aimais la musique et je n’étais pas très habile avec les CD à l’époque. J’en ai peut-être éraflé quelques uns. Par malchance c’était toujours ceux qu’ils aimaient le plus. Quand j’ai échappé son appareil photo, c’était un accident et par malchance la lentille se brisa. J’étais une petite fille bien normale mais mon frère pestait continuellement après moi. Pourtant à partir de mes 12 ans, je n’avais pas vraiment eu de problèmes ou d’incidents avec lui, peut-être quelques emprunts de CD sans sa permission. Je savais qu’il me détestait et l’idée qu’il quitte la maison ne me déplaisait pas.

FRANCOIS

Nous sommes au début décembre. Un terrible accident d’automobile allait modifier bien des choses dans ma vie. Mes sont parents sont tués, ma sœur est dans le coma. J’ai passé 6 jours au chevet de ma sœur avant qu’elle reprenne conscience. Les funérailles de mes parents ont eu lieu pendant que ma jeune sœur se remettait de ses blessures. Le notaire de mes parents, un ami de mon père, m’informait des dernières volontés de mes parents ainsi que de la sécurité financière qu’ils nous avaient laissée. Il m’informa aussi que mes parents ne souhaitaient pas que mes oncles ou tante prennent en charge ma sœur. J’appris que la sœur de mon père fut déjà accusée d’avoir offert la virginité de sa fille pour payer une dette de jeu. Plus, mes oncles, les frères de ma mère, ont déjà perdu leurs enfants pour maltraitance. Enfin, on parle de gérer l’héritage de ma sœur, un peu plus 1 ½ millions de dollar. Je me devais pour la sécurité autant physique que matérielle de ma sœur de devenir son tuteur. Je me dépêchai donc de réclamer en Cour, le tutorat de ma sœur. Quelques semaines ont passées, quand j’ai appris que ma demande de tutorat était contestée par chacun de mes oncles et de ma tante. Heureusement, je possédais beaucoup de documents contre eux. Ma sœur était revenue à la maison et avec des séances de physio allait se remettre physiquement de ses blessures. Vous comprendrez que j’ai terminé ma session universitaire un peu essoufflé et j’ai décidé de ne pas suivre la session d’hiver afin de me permettre de régler les détails de l’héritage, le suivi psychologique de ma sœur, elle faisait des cauchemars, revoyant l’accident. De plus, je me devais de changer ma relation avec Mireille d’autant plus que je voulais devenir son tuteur. Les cauchemars de ma sœur, bien qu’indésirables, allaient m’aider pour notre rapprochement. Souvent, après s’être réveillée en sueur, j’allais la rassurer en me couchant près d’elle, la serrant dans mes bras. Quelques fois, j’avais la surprise de la retrouver couchée dans mon lit à mon réveil. Pour la première fois, je m’intéressais à elle, je voulais savoir si cela allait bien à l’école, ses copains et copines, qu’est-ce qu’il lui ferait plaisir, ses peurs, etc. Autant avant la tragédie j’essayais de m’éloigner d’elle, autant je me rapprochais d’elle.

MIREILLE

Bien que ce soit encore très flou, je me souviens quand j’ai repris conscience à l’hôpital, les larmes coulées sur le visage de mon frère. Il avait l’air totalement épuisé, mais soulagé que je sois vivante. Lorsqu’on m’a apprit la mort de nos parents, François me prenait la main pour me réconforter. Je sentais pour la première fois de sa part un côté protecteur à mon égard. Puis, il y a eu les séances de physio. Je ne l’avais vu prendre autant de patience, je n’avais jamais eu autant de mots pour m’encourager. Je ne pourrais expliquer combien j’avais besoin de me sentir protéger la nuit avec mes cauchemars et pour une fois, mon frère n’avais aucun reproche, juste de la tendresse envers moi. Il me parlait franchement, ne me cachait rien en particulier sur notre héritage et les tentatives des nos oncles et tante. Enfin, il s’intéressait à moi, à ma vie.

FRANCOIS

Je m’inquiétais beaucoup au niveau du tutorat. Mon avocat m’apprit que présentement, légalement j’étais son tuteur et pouvais prendre plein de décisions pour ma sœur, en particulier sur sa fortune. Il me conseilla fortement de placer son argent jusqu’à ses 18 ans avec un rendement garanti. Ainsi, si jamais je perdais le tutorat de ma sœur, personne n’aurait accès au capital, seulement aux dividendes dont je pouvais planifier les montants pour les besoins de ma sœur. Après quelques jours de discussions, j’ai donc placé la fortune de ma sœur jusqu’à ses 18 ans. Des dividendes mensuels suffisants pour voir au bien-être de ma sœur ont été prévus. Quand j’ai du me présenter en Cour, il y eu plein de protestations de la part des avocats de chacun de mes oncles et tante. Selon eux, je n’avais pas le droit de geler la fortune de ma sœur. Après avoir été interrogé longuement, le juge refusa de briser les placements que j’avais faits au nom de ma sœur. Il considéra que j’avais au contraire agi sagement, protégeant sa fortune, même contre son tuteur. Puis il fut question du tutorat. L’argent de ma sœur à l’abri, il n’y eu qu’un oncle pour vraiment essayer de m’arracher ma sœur. Cependant, il y avait suffisamment de doutes sur les natures de maltraitance sur ses propres filles. L’inceste avait été évoqué même si non prouvé. La nervosité de mon oncle dans son témoignage l’a rendu moins incisif contre moi et même à avouer que je pouvais très bien prendre soin de ma sœur. J’eus officiellement le tutorat.

MIREILLE

Mon frère me confia qu’il avait placé mon argent et que je recevrais un certain montant d’argent tous les mois. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi je ne pouvais avoir accès à tout mon argent, mais le montant mensuel était dans ma tête énorme, j’étais contente. Quand je suis allée à la Cour pour le tutorat, je fus surprise de l’assurance de mon frère. Il répondait à toutes les questions directement sans faux fuyant. Je percevais qu’il avait planifié les prochaines années de ma vie en pensant à mes besoins. J’étais fier de lui. Tant qu’à un de mes oncles, je sentais ses yeux me dévorer, il me faisait peur. Même si j’avais déjà un beau corps de femme à mes 13 ans, j’étais très niaiseuse au sujet de la sexualité et j’ignorais totalement ce que le mot inceste voulait dire. Aussi, c’est avec un grand sourire que j’ai accueilli le verdict du juge. J’allais demeurer avec mon frère. J’ai eu une immense étreinte de sa part, je ne me rappelle pas qu’il m’en ait fait une comme celle-là avant.

FRANCOIS

Mireille a environ 13 ½ ans. Cette journée-là, j’ai pris congé et me lève un peu plus tard. La porte de ma chambre est directement devant celle de la salle de bain. Ma porte est légèrement entrouverte et j’allais l’ouvrir quand j’ai aperçu ma sœur totalement nue dans la salle de bain. J’étais stupéfié. Ma gamine de sœur a un corps de femme. Deux beaux seins aux tétines roses se tiennent bien droits, la courbe sensuelle de ses hanches arrive à de belles fesses rondes qui surmontent des jambes de mannequin. Seul son visage trahi son âge. Jamais, je n’ai vu devant moi un si beau corps de femme. Est-ce besoin de vous dire qu’en moins de deux, j’ai eu une érection. J’ai du passé 15-20 minutes à la regarder, le cœur me débattant, honteux d’être un voyeur, plutôt honteux de désirer ma sœur. Lorsque finalement elle s’est habillée, j’ai cru qu’elle m’avait aperçu, mais elle n’a eu aucune réaction. Mon honneur était sauf. J’ai attendu d’entendre la porte d’entrée se refermer avant de sortir de ma chambre. Le soir au repas, je ne pouvais m’empêcher de la déshabiller des yeux. J’essayais de la regarder le moins possible afin qu’elle ne se doute de rien mais même dans ma voix il y avait un petit quelque chose d’anormal, du moins c’est ce que je ressentais. La nuit venue, impossible de dormir, le corps nu de ma sœur envahissait toutes mes pensées. Les jours suivants ont été éprouvants. Je n’arrivais pas à chasser l’image de ma sœur dénudée. Puis lentement, j’ai réussi à me faire une sorte de carapace face à elle. Cela n’enlevait pas mon trouble mais me donnait bonne conscience. Je n’étais pas incestueux, ni pédophile.

MIREILLE

Ce matin-là, j’ai cru voir mon frère me regarder. J’étais totalement nue depuis plus d’une demi-heure. Surprise, je n’ai pas réagi. Puis, je me suis dit que j’ai mal vu. De toutes façons, j’étais rendu à m’habiller. Je suis parti. Le soir, je trouvais que François avait un air bizarre. Il semblait nerveux. Je me demandais quel était son nouveau problème. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé qu’il me regardait le cul. J’étais mal à l’aise, certes je voyais bien des hommes me regarder de la sorte, mais mon frère. A l’intérieur de moi, une excitation de plaisir se mêlait à une honte. J’ai réalisé que mon frère m’avait bien vu nu le matin. Bien des questions me venaient dans la tête. Combien de temps m’a-t-il regardé? Me trouve-t-il belle? A-t-il eu une érection? Va-t-il finir par m’en parler? Me voit-il comme une femme? Que va-t-il faire ou tenter? Je dois dire que je commençais à mieux comprendre la sexualité et j’avais réalisé que j’exerçais une certaine attraction. Toutes mes copines me disaient que j’étais très belle. Les gars et bien des hommes me regardaient. J’oserais dire qu’ils me désiraient, du moins pour mon corps. Les jours ont passé et rien n’est arrivé, même que mon frère semble de plus en plus indifférent à ma présence, mais de temps en temps, je le surprends me jeter un regard spécial quand il pense que je ne peux le voir. Il m’arrive même de voir une bosse anormale dans son pantalon. Mon frère bande sur moi. Je suis fière de moi. J’ai découvert récemment la masturbation et imaginer le pénis de mon frère dans toute sa splendeur deviendra un de mes fantasmes préférés.

FRANCOIS

Les mois passent sans incident. Oui, j’ai toujours des envies sur ma sœur, mais à part quelques érections non voulues, je me contrôle bien. Mireille a beaucoup moins de cauchemars. Depuis les derniers orages, elle n’en a eu aucun. Nous sommes fin janvier, elle aura bientôt 14 ans, un grosse tempête de neige s’abat avec de forts vents. Pendant la nuit, le courant manque. Mireille se réveille, elle a peur de la noirceur. Depuis son accident, il y a toujours une veilleuse d’allumée, elle vient me retrouver dans ma chambre. Le lendemain en me réveillant, je l’aperçois couchée à mes côtés, sa jaquette est remontée jusqu’à la taille me laissant voir ses superbes fesses à moins de 15cm de ma main. Je tremble, j’ai un désir épouvantable de la caresser. Pendant 2-3 minutes j’ai fixé son cul et finalement dans un effort dicté par la morale, j’ai réussi à me lever et sortir honorablement de ma chambre. J’ai du aller à la salle de bain pour vider mes couilles. Depuis ce matin-là, mes relations sexuelles avec les femmes ne sont plus les mêmes. Quand je les pénètre, j’imagine que c’est ma sœur. Je suis totalement troublé.

MIREILLE

Je me réveille dans la noirceur, j’ai peur, je suis allée me coucher avec mon frère. Même si sa présence me rassure, je n’ai pas dormi de la nuit. J’ai senti qu’il se réveillait, une idée folle m’est soudainement venu, lui montrer mes fesses. Je n’ai pas réfléchi, j’ai levé ma jaquette jusqu’au ventre et j’ai attendu coucher sur le côté. J’ai senti les couvertures se relever et puis, rien, pendant de longues minutes, rien. Enfin, François s’est levé et est allé à la salle de bain. J’ai le goût de rire, je sais qu’il a regardé mes fesses pendant un bon bout de temps. Pendant qu’il me regardait les fesses, je me suis demandé s’il oserait les toucher. Ca m’excitait. Pourtant, le reste de la journée, François semble de marbre, comme s’il ne m’avait pas maté du tout.

FRANCOIS

L’été est enfin arrivé et ce premier week-end de juillet je peux profiter pleinement de la cour arrière. J’ai passé les autres à planter des fleurs, préparer la piscine etc. J’étais assis en train de déguster un verre de jus quand Mireille est arrivée pour se baigner. Le cul de ma sœur dans son maillot qui ballottait de gauche à droite m’a donné une érection telle que le gland sortait du mien. Gêné, je suis aussitôt entré dans la maison. J’ignore si ma sœur m’a vu dans cet état. J’ai compris que j’allais passer un été misérable avec mes pensées tellement honteuses. Certes, je me suis acheté un maillot genre boxeur me permettant de cacher mes érections, mais mes désirs inavouables me noircissaient la vie. Je me répétais sans cesse, je suis son tuteur, je suis son frère, elle est une gamine pour ne pas céder à mes instincts.

MIREILLE

Pour la première fois, je me suis acheté un maillot, un deux pièces qui moule parfaitement mon corps. J’étais vraiment très sexy avec. Même quand je suis avec des copines, c’est moi que François regarde. Mon frère a eu des érections quand il me voyait, même qu’il s’est acheté un maillot beaucoup plus ample pour les cacher. D’ailleurs, j’ai vu le bout de son pénis au début de juillet. Je lui ai fait beaucoup d’effets. Je l’ai excité et ça m’a excité. Pourtant, il n’a pas semblé heureux cet été là. Je me suis demandé s’il n’avait pas de gros problèmes.

FRANCOIS

Le retour à l’école est enfin arrivé. Mireille avait besoin de vêtements. Elle se dirigeait vers ses 15 ans et ses goûts vestimentaires avaient évolué. Ce fut 2 jours pénibles d’essayage, de je ne suis pas certaine, etc. Pire, elle a passé son temps à me demander mon avis. Avec son corps, tout lui fait bien. Je cherchais donc à lui donner un look de 15-16 ans, je ne voulais pas trop la vieillir, ni rien de trop sexy. Était-ce pour moi, pour me protéger ou pour elle? Un peu des deux j’imagine. Jupes, chemisiers, jeans, pantalons, chandails, tailleur furent enfin trouvés après certains compromis de sa part et surtout de la mienne. Je croyais mon cauchemar terminé quand le tour des dessous est arrivé. Je suis gêné quand j’entre dans une boutique de lingerie fine, imaginez comment je me sentais quand Mireille me demandait si ce soutien-gorge lui allait bien. Je la voyais très bien, un petit sourire narquois, lancer des regards en bas de ma ceinture. Elle le faisait de façon délibérée pour me torturer. Comment rester de glace quand une femme présente ses seins dans un soutien qui les présente comme des fruits prêt à croquer. Pire, elle a mis un string qui ne cache presque rien. Pendant plus d’une heure, mon pénis m’a fait sentir sa longueur et le désir de se trémousser. Encore là, après quelques compromis surtout de mon côté, elle a fini par acheté ce qu’elle avait besoin. Ma nuit fut difficile. Je ne pensais qu’à lui faire sentir ma virilité.

MIREILLE

J’ai passé 2 merveilleuses journées à essayer toutes sortes de vêtements. François n’a pas vraiment de goût. J’ai du le convaincre presque pour tous mes vêtements, si je l’avais écouté j’aurais eu l’air d’une niaiseuse totalement out. Je me suis bien amusé à la boutique de lingerie fine. Mon frère a passé plus d’une heure rouge comme une tomate. Je savais qu’il bandait comme un taureau quand je l’obligeais à me donner son avis. Dans un sens, il est formidable, je n’aurais pas cru qu’il patienterait autant. Je ne comprends pas pourquoi il était si fatigué à notre retour, tout ce qu’il a fait les 2 jours, c’est de s’assoir et d’attendre, c’est moi qui n’avais pas arrêté. J’aurais aimé lui montrer de nouveau mes achats.

FRANCOIS

Noël est déjà passé. J’ai enfin retrouvé la sérénité face à ma sœur. J’ignore comment et pourquoi, mes fantasmes ont presque totalement disparu. Cependant, je trouvais anormal que Mireille n’avait pas encore de petit copain. Presque 15 ans, une fille aussi jolie devait assurément se faire courtiser. Peut-être qu’elle me cachait ce qu’elle dévoilerait probablement à une mère, après tout, j’étais avant tout son frère. Je me devais en tant que responsable d’en connaître plus, sans entrer trop loin dans sa vie amoureuse, ne serais ce que pour la mettre en garde afin de lui éviter des mésaventures. J’ai eu l’idée de l’inviter dans un restaurant où certaines tables sont isolées permettant une discussion discrète. Je pourrais en même temps connaître ses souhaits pour ses cadeaux d’anniversaire. Après avoir passé une journée de ski, nous sommes arrivés au restaurant. Elle était radieuse et ravie de sa journée. Je l’avais négligée les derniers mois avec mes études pour le bac mais aussi pour prendre mes distances. Pour une rare fois, j’ai accepté qu’elle puisse prendre un peu de vin, j’ai soudoyé le serveur. Cela nous permettrait une discussion plus relaxe. Après avoir bavardé de tout et de rien, j’ai pris mon courage et j’ai abordé la question des p’tits copains. Il y avait longtemps que je n’avais vu cette réaction chez Mireille, elle semblait intimidée par mes propos et sur la défensive. J’étais sur le point de laisser tomber tellement elle était mal à l’aise quand elle s’est décidée à se confier. Moi, qui la voyait fonceuse et trop hardie avec moi, j’apprenais combien elle pouvait être timide avec les gars. Jamais elle n’avait osé embrasser un gars de peur de ne pas le faire correctement. C’est pourquoi, elle n’avait jamais eu de petit copain, la peur de ne pas être à la hauteur l’en empêchait. J’espérais que Mireille soit encore pucelle, mais pucelle comme ça, je ne m’y attendais pas. Son secret dévoilé, elle m’a demandé avec une voix tremblotante si j’accepterais de l’initier aux plaisirs corporels. D’une seule phrase, elle venait de faire rejaillir des désirs que j’avais difficilement enfouis à un endroit dans mon être pour les oublier. J’étais de nouveau torturé des images de ses fesses, de ses seins, de son corps. Ma réponse était claire, ce n’était pas à moi de l’initier. Les arguments que plusieurs de ses copines l’ont fait avec un cousin et même un oncle n’avaient pas modifié mes intentions. Elle l’avait mal pris et elle me bouda les jours suivants. Elle a même osé la semaine suivante recommencer la discussion sur mon refus jusqu’à me traiter de vieux con borné.

MIREILLE

Ca faisait longtemps que je n’avais pas passé une aussi belle journée avec mon frère. J’avais remarqué depuis quelques temps qu’une joie de vivre lui était revenue. Je pensais que ses études de bac étaient la cause de son éloignement. Au restaurant, je me suis sentie piéger par mon frère. S’il savait tout le courage que cela m’a pris pour lui avouer ma complète innocence sur les plaisirs amoureux, il n’aurait sûrement pas refusé de m’aider. Devant les garçons, je paniquais. Toutes mes copines savaient faire une fellation et ont déjà eu une relation complète, moi, je ne savais même pas embrasser. Plusieurs ont été initiées par leurs cousins, mais moi, je ne pouvais pas vraiment y penser. Du vivant de mes parents, nous ne les fréquentions guère et depuis leurs morts je ne les ai jamais revus. Inceste pour inceste, y a-t-il une si grosse différence entre un cousin et son frère? J’avais besoin qu’il m’aide et il me laissait tomber sous un prétexte moral. Je savais bien qu’il bande quelques fois sur moi, il aurait pu apaiser ses désirs tout en m’éduquant. J’ai tenté plusieurs jours après de le faire changer d’idée, mais rien n’y fit. C’est un vieux con et borné en plus.

FRANCOIS

La fête de Mireille s’est passée sans grand éclat. Elle m’a boudé pendant plusieurs mois. J’étais pour céder à son chantage quand elle a recommencé à me parler, mes désirs étant de plus en plus difficiles à gérer. Nous sommes arrivés au week-end de Pâques, début avril. Pour le dimanche midi, nous sommes allés manger dans un beau restaurant. Elle portait une superbe robe qui modelait son corps de mannequin, son visage a perdu le côté gamine de ses 15 ans, peut-être du au maquillage, elle en parait 17-18. Le repas était excellent agrémenté de bonnes discussions. De retour à la maison, le soir venu, Mireille s’était assise près de moi. D’une petite voix douce, elle me redemanda de l’initier. Mon cœur s’est mis à battre. J’étais épuisé de combattre entre la morale et mes désirs. J’ai finalement flanché avec un OK désespéré. Pendant les semaines suivantes, en allant à un rythme qui lui conviendrait, je ne voulais surtout pas la brusquer et lui faire du mal. J’allais lui apprendre les baisers, la fellation, j’allais la dépuceler mais une fois toutes les étapes franchies, je ne voulais plus en entendre parler et secret absolu.

MIREILLE

Mon anniversaire, quel fiasco. Mon frère est resté de marbre. Ce vieux crétin a goûté à ma colère. J’avais confiance en lui, et lui m’a laissé dans mes problèmes. S’il ne voulait pas m’aider, pourquoi a-t-il fallu qu’il aborde le sujet. Je lui ai fait sentir ma frustration pendant de longues semaines. C’est Pâques, je me suis acheté une merveilleuse robe. J’espérais que nous sortions enfin car depuis le restaurant, nous sommes restés cloitrés à la maison. C’est pourquoi d’ailleurs, j’ai recommencé à lui parler, il y a quelques semaines. Je n’ai pas été déçue, François nous a amené dans un chic restaurant. J’ai pu mettre ma robe. Mon frère me regardait en me dévorant des yeux. J’hésitais de revenir à la charge et finalement je pensais qu’il valait mieux attendre un moment propice à la maison. Après tout, le soir sera un bien meilleur moment. Quand je me suis risquée à nouveau, j’ai compris tout de suite que mon frère était vulnérable cette fois-ci. Était-ce ma bouderie ou avait-il évolué dans ses pensées? Après quelques arguments bien placés son OK m’a surprise. Je m’attendais à une discussion bien plus longue. C’était évident que j’allais accepter toutes ses conditions en me disant que cela peut changer. Un accord tient seulement quand les deux s’y conforment.

FRANCOIS

Puisque Mireille voulait des relations sexuelles, un rendez-vous chez un gynéco était primordial. Je tenais à ce qu’elle prenne la pilule. Le condom, absolument pour les MTS mais il y a tellement d’histoires sur les condoms percés que je ne voulais pas voir ma sœur se faire engrosser. J’allais commencer par les baisers, un enseignement un peu farfelu, il me semblait à moi que tout était tellement naturel. Il y a bien sûr les mains fouineuses, mais encore là, pour moi, je trouvais cela un étrange que je doive le montrer à ma sœur. C’est ainsi ma sœur a appris à donner des baisers, laisser aller les mains baladeuses si c’était son désir seulement. Après quelques heures de merveilleux baisers pendant lesquels je pelotais les seins et l’entre-jambe de ma sœur, je savais qu’elle était prête aux leçons suivantes. De son côté, elle a deviné rapidement que ses mains pouvaient caresser le membre sensible d’un mâle même par dessus son pantalon. D’ailleurs, j’ai jailli dans mon slip, ce qui m’a gêné un peu. Pendant quelques jours, nous échangions des baisers et des caresses. Enfin, un soir, je me suis décidé à lui caresser les seins. Je l’ai senti nerveuse quand j’ai déboutonné son chemisier. Puis après avoir dégrafé son soutien-gorge, je me suis mis à caresser ses seins avec mes mains. Quand j’ai collé mes lèvres sur l’un deux, je l’ai senti respirer plus intensément. Moi, j’avais le cœur qui fracassait son record de battements par minute. Ma langue touchait sa tétine qui a durci presqu’au même moment. Ses seins qui m’avaient stupéfié quand elle n’avait que 13 ans m’appartenaient. Pendant que je lui caressais ses melons, mon autre main remontait le long d’une cuisse en direction de son trésor enseveli sous un tissu dentelé. Elle est enfin arrivée au haut de sa petite culotte, s’est glissée entre sa peau et son fin tissu. Elle a découvert son pubis assez fourni et enfin son clito pour la rendre heureuse. D’un léger mouvement rotatif qui s’accélérait de minute en minute, j’allais donner les premières jouissances à Mireille par un homme. J’ai descendu alors mon autre main et habilement ai fait glisser sa petite culotte à ses chevilles. Mes lèvres ont quitté ses seins pour se retrouver sous sa jupe relevée pour assouvir leur soif. Pendant de longues minutes, avec la langue, elles se sont abreuvées du jus suave de ma sœur. J’ai du guider Mireille pour qu’elle ouvre ma braguette et sorte mon pénis prêt à la rendre folle. La lueur de surprise dans ses yeux était visible. D’une main malhabile, elle me branlait. J’ai du lui dire main plus ferme un peu moins ferme avant qu’elle trouve la juste tendresse que j’aimais. Elle a approché ensuite ses lèvres, me caressant le gland. Je n’ai pas eu à lui dire, sa langue s’était mis rapidement en action. Sa bouche ouverte s’est refermée sur mon gland et un va et vient a débuté. J’ai averti Mireille que j’allais exploser, mais elle continuait à me pomper. Tant pis, mon volcan a fait éruption, déversant ma lave blanchâtre dans sa bouche. Elle recracha quelques secondes plus tard. Elle n’a pas vraiment aimé ni la texture ni le goût. Je l’avais pourtant prévenu mais cela mis fin à nos ébats ce soir là. Quelques jours plus tard, j’ai invité Mireille dans mon lit. J’avais l’intention de lui entrer mon pieu et lui faire sentir toute ma virilité. Les démarches du déshabillage terminées, ma sœur était toute nue, telle que je la désirais secrètement depuis trop longtemps. La fellation a été couronnée de succès, Mireille retirant sa bouche juste à temps pour éviter de goûter à ma semence. Je pouvais enfin entreprendre le corps de ma sœur. Ses seins, ses hanches, ses fesses ses jambes, sa vulve, tout son corps était à moi. Des caresses sur tout son corps sont arrivées par ma bouche, mes mains, mes pieds, mes bras, mes jambes. Quand elle fut mouillée à mon goût, j’ai pris ma verge d’une main, ai écarté ses lèvres vaginales de l’autre, ai placé mon gland pour attaquer désormais son hymen sans défense. Lentement j’ai glissé mon membre dur comme jamais par l’excitation du dépucelage. Un petit cri, c’est fait, Mireille était désormais une femme émancipée. Je désirais éjaculer dans ma sœur, lui faire sentir ma semence chaude dans son vagin brulant. En m’assurant que je pouvais continuer, j’ai fait des va et vient de plus en plus rapides. Enfin, je sentais de nouveau la jouissance par le jaillissement de ce liquide si mystérieux. Elle semblait à la fois heureuse et inquiète. Je regardais ses belles fesses et l’idée d’être le premier à la sodomiser se mettait à germer. Dans notre accord, il n’en avait pas été question. Elle aurait mal saisi mes paroles pensais-je. Pendant les jours suivants, je n’ai pas voulu de pénétration. Je voulais être certain que la déchirure de l’hymen était totalement guérie, permettant ainsi à Mireille de se laisser aller pour jouir totalement de la pénétration. Je n’ai pas eu à le regretter, à notre 5ième baise, Mireille s’était mise à crier comme une pute et plus d’une fois. C’est cette fois là que j’ai décidé de l’enculer. Si les autres fois, j’avais joué un peu avec mes doigts dans son anus, cette fois, j’ai un but précis. J’étais certain qu’elle ne s’en doutait pas. Mais déjà 3 doigts travaillaient à la dilatation de son petit trou. Son anus était prêt et juste à l’idée de la sodomiser j’ai bandé de nouveau. Elle croyait que je la prenais en levrette, mais quand elle a senti mon gland dans son cul, elle a voulu m’en empêcher mais il était trop tard, je la tenais fermement par les fesses et j’avais un bon 12cm de pénétrer. Elle a compris qu’il valait mieux se laisser faire. J’ai du la pistonner un bon 20 minutes, ma joie était totale, son corps m’avait appartenu totalement. Son initiation au sexe était terminée et j’espérais que mes désirs sexuels sur ma sœur disparaissent.

MIREILLE

Après la visite chez le gynéco, mon frère s’est mis à me donner des baisers, de plus en plus langoureux. Ses mains baladaient partout sur mon corps. Je n’étais pas certaine, mais je trouvais que pour une leçon mon frère se contentait un peu trop. J’ai été surprise de la grosseur et longueur de son pénis même si je le caressais avec son pantalon. Une fois, j’ai eu un effet bizarre. Je n’ai pas vraiment compris mais il était gêné. Un soir, il m’a déboutonné mon chemisier. Avait-il l’intention de me dépuceler? Cela me rendait nerveuse, mais sa langue sur mes seins me donnèrent de belles jouissances. Il y avait sa main dans ma culotte, il n’allait quand même pas me mettre le doigt, non, il savait ce qu’était un clito. Il me masturbait avec une habilité remarquable. Puis il a fait tomber ma culotte, j’étais certaine que c’était le grand soir, mais non, il a seulement dévoré ma chatte. Quand il m’a fait baisser sa braguette, j’étais anxieuse, j’allais voir devant moi un pénis en érection. Je le regardais un peu surprise de la longueur et du diamètre, 20cm peut-être 21 par près de 4 mais certainement plus de 3. Après quelques tests, j’ai fini par sentir mon frère vibrer. Je l’ai sucé et il m’a jeté son sperme dans la bouche. Non, je n’aime pas ça. C’est vrai, il m’avait prévenu, mais je ne pensais pas que c’était pour arriver si vite. J’ai apprise à m’enlever à temps par la suite. Je préfère en recevoir ailleurs que dans la bouche. Puis, le soir où il m’a invité dans son lit, je le savais qu’il irait jusqu’au bout. Pas évident la déchirure de l’hymen mais c’était quand même pas si mal, mais lui, il a vraiment joui. Les fois suivantes, c’était un peu mieux, je dirais que ça s’améliorait lentement, mais lui se gâtait pas mal, 3 à 4 pénétrations dans des positions où j’ai l’impression d’être un objet pour lui. Mais j’aimais bien la sensation du gland qui tente de défoncer le fond de mon vagin. Enfin la dernière fois, j’ai vraiment aimé les immenses jouissances que j’ai eues, mais il m’a joué un tour quand il m’a enculé. C’a fait mal, du moins au début et c’est resté sensible une couple de jour. Je ne me rappelais pas que je serais sodomisée dans notre accord même que j’étais certaine qu’il n’en avait jamais été question. Enfin quand il m’a dit que mon initiation était terminée, j’ai trouvé cela un peu bête. J’avais le goût de continuer quelques semaines de plus. J’ai eu l’impression d’être mise à la poubelle, il me le paierait.

FRANCOIS

Les mois qui ont suivi n’ont rien changé à mes désirs charnels sur ma sœur surtout qu’elle n’hésitait pas à se promener nue dans la maison. Il y a eu enfin un premier copain. J’ai eu un pincement au cœur quand j’ai entendu les ébats de ma sœur dans sa chambre. En vérité, j’aurais aimé être à la place du petit copain. Ces ébats répétitifs m’envahissaient l’esprit. Même si je baisais régulièrement et que ma libido était contentée, je désirais de plus en plus Mireille. Pendant plus de deux ans, elle m’a torturée l’esprit avec ses aventures. J’étais jaloux de ces copains. Cependant, je trouvais qu’elle n’était pas très heureuse et même que cela se dégradait depuis quelques mois. C’était l’été, elle avait 17 ½ ans, j’avais planifié un voyage de vacances de près d’un où elle serait la bienvenue. Je m’attendais à une réponse négative, mais elle a accepté de m’accompagner. Il est vrai qu’elle avait largué son dernier copain il y a quelques semaines. Les premiers jours du voyage ont été cordiaux mais quand même un peu froid. Un soir, devant un feu de camp, je la laissais prendre quelques bières, que la discussion s’est arrêtée sur elle. Un peu saoule, elle m’avouait que depuis 2 ans, elle n’avait pas vraiment trouvé un copain qui la satisfasse. Elle se mit à rire, et m’a avoué qu’aucuns avaient un pénis comparable au mien, même qu’il y en avait de très petits. Beaucoup éjaculent trop rapidement. La majorité ne sait pas peloter une femme. Bref, tout ce qu’ils veulent c’est leur petit plaisir. Elle a tenté de me rendre jaloux, elle espérait pouvoir me conquérir parce qu’avec moi elle se sentait femme. De plus, elle a ajouté qu’à chaque fois qu’elle savait que je sortais avec une femme, cela la rendait malade, elle avait l’impression que c’était elle qui aurait du être là. Enfin, l’inceste pour elle n’a pas vraiment de signification, elle ne me voyait pas comme son frère, mais comme un homme plutôt exceptionnel. Je lui ai exprimé ensuite mes sentiments et mes tourments. Cette nuit là, nous avons fait pour la première fois l’amour, pas juste une baise. Le voyage de vacances en est devenu un d’amoureux. Nous sommes déménagés 2 ans plus tard dans une petite ville où les gens nous croient mariés. J’ai 30 ans aujourd’hui et même si je sais que je n’aurai pas d’enfant, je suis super heureux avec Mireille.

MIREILLE

Pendant 2 ans, j’ai eu beaucoup d’aventures, mais aucune satisfaisante. J’exagérais mes cris pour embêter mon frère. Il le méritait bien. Je me promenais nue parce que j’espérais qu’il me baise de nouveau. A chaque fois que mon frère avait une femme dans sa vie, je me sentais délaissée encore plus. Pourtant, chaque fois qu’il était là, mon cœur battait pour lui. Quand il m’a proposé le voyage, j’ai hésité beaucoup, j’avais peur de vivre encore plus mon éloignement de lui en étant en vacances avec lui. Puis, il y a eu le feu de camp, j’ai bu beaucoup parce que je désirais être dans ses bras et finalement je me suis vidée le cœur. J’ai été surprise comment la morale peut tourmenter mon frère, c’est peut-être pourquoi il est si responsable. Mais quand il m’a dit combien il me désirait depuis mes 13 ans, j’étais au septième ciel. Il m’aimait et l’avait prouvé en faisant tout pour ne pas me violer. Combien pour lui ce fut difficile de m’initier, contentant ses désirs, en sachant qu’il devait me laisser libre. Cette nuit là, il m’a fait l’amour, pas une baise il y a une grande différence. Je vis depuis un parfait bonheur avec mon homme dans une petite ville tranquille. J’ai eu 23 ans et notre voisine a eu une jolie fille le mois dernier. Je sais que François croit que c’est impossible, mais j’en veux un, je le convaincrai bien.

 

Merci à Mireille et François pour ce magnifique texte que j'ai reçu en mars 2006.

 

Maxime

 

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Par maxime
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 17:13

Je me nomme Annie, ce soir je fête mes 19 ans chez ma mère. Mon frère Serge, 23 ans, genre sportif, est là seul. Il a laissé sa copine il y a déjà près de deux

mois. Il vit depuis chez ma mère, Louise, veuve depuis 3 ans. Mon copain, Manuel, avec qui je vis depuis 3 mois est présent aussi. J’ignorais alors que l’un de mes cadeaux allait modifier ma vie.

 

Depuis que j’avais 16 ans, peut-être 15 ans, je désirais avoir des piercings aux seins et au clitoris. Ma mère s’y était opposée. « Ce n’est qu’une mode » me disait-elle. « De plus, tu n’est pas encore majeure » ajoutait-elle. Lors de mes 18 ans, j’étais déçue de ne pas recevoir ce cadeau de ma mère. A Noël, ma frustration fut vive et ma mère le sut. Elle m’avait alors suggéré de me les payer de ma poche. Mais je venais d’emménager avec Manuel et mes sous étaient tous comptés.

Ce soir là, je reçu une magnifique chainette en or et un pendentif de Manuel. De ma mère et de mon frère, ce fut ces magnifiques boucles qui orneront bientôt mon corps et un certificat-cadeau pour le perçage et la pose de ceux-ci. Ma joie était au comble d’autant plus que les boucles étaient celles que j’avais montrées à mon frère un peu après Noël. C’étaient dans les plus dispendieuses et je comprenais pourquoi ils s’étaient unis pour le cadeau. Manuel fut surprit et cela le mit mal à l’aise. La fête terminée, j’allais savoir le pourquoi. « Je ne peux croire que tu puisses accepter un tel cadeau de ton frère, un cadeau à connotation sexuelle. » me dit-il aussitôt arrivé chez nous. « C’est d’abord le cadeau de ma mère. Elles sont très dispendieuses. Je n’en voulais pas de moindre qualité. Je comprends que ma mère ait demandé à Serge de s’unir à elle pour me les offrir. Il y a rien de sexuel.». « Une fois posées, ils vont te demander de leur montrer » ajouta-t-il. « Tu es malade, c’est mal les connaître, ils m’ont donné ce que je désirais. Tu as vraiment un problème. » Et sur ces propos, j’allai me coucher. 3 jours plus tard, je pus enfin me faire poser mes nouvelles merveilles. Malgré la douleur, celles qui disent qu’elles n’ont pratiquement rien senti sont des menteuses ou je suis une super sensible, j’avais hâte de les montrer à Manuel, ces merveilleuses boucles bien en place. Ma joie fut de courte durée, Manuel m’accusa presque de coucher avec mon frère. Ce soir là, il dormit sur le canapé. Les semaines passèrent et la querelle au sujet de ces boucles était devenue omniprésente.

Cependant, cette querelle avait fait naître chez moi des pensées troublantes face à mon frère. Mon frère désire-t-il que je lui montre son cadeau sur moi? Aurait-il une érection, si je lui montre mes piercings? Est-ce que mon frère fantasme sur moi? Quelle grosseur est son pénis? Désire-t-il en secret me faire l’amour? Comment baise-t-il? Me trouve-t-il jolie? Sensuelle? Pense-t-il que je suis une salope? Se masturbe-t-il en pensant à moi? Lentement ces pensées se changèrent en fantasmes, fantasmes que je devais assouvir en me masturbant. Des désirs secrets étaient nés en moi. Me mettre nue devant lui, me laisser caresser mon corps, faire l’amour et même avoir un enfant.

Cela faisait déjà presque 3 mois depuis ma fête. Je n’étais pas retournée voir ma mère et mon frère afin d’atténuer les doutes de Manuel. La querelle s’était finalement estompée. Cependant dans 8 jours, c’est l’anniversaire de Serge et bien sûr ma mère le fête chez elle et nous sommes invités. Manuel réagit mal, très mal. Mes petits bijoux que seul lui avait vus sur moi sauf celle qui me les avait posés refaisaient surface. « C’est ça, tu vas pouvoir te mettre à poil devant ton frère. Et pourquoi pas une bonne baise en guise de remerciement » me lança-t-il. Cette fois, c’était la fin. Je pris mes valises, les remplit, appela un taxi et avant de le quitter définitivement je lui dis : « Il n’y a rien entre mon frère et moi. J’ai cru un moment que tu l’avais compris. Tu es jaloux que mon frère et ma mère sachent que je porte des piercings. Tu aurais voulu que ce soit toi qui me les offre et que ça demeure secret. Tu as vraiment besoin d’une thérapie. Tu insultes depuis des mois ma famille et moi. Je te quitte, c’est terminé entre nous. ».

Heureusement, j’ai toujours ma chambre chez ma mère. Après avoir expliqué à ma mère les raisons de notre rupture, je ne voulais pas que mon frère le sache, j’allai me reposer dans ma chambre. J’ignore si c’est le fait de me retrouver près de mon frère, mes désirs interdits face à lui que j’avais réussi à oublier dans la dernière semaine refirent surface. Je me surprenais à imaginer quand et comment je me montrerais nue. J’imaginais des scénarios aussi fantaisistes les uns, les autres. Pour moi, si je me montrais nue, cela finirait inévitablement en faisant l’amour. Je ne cherchais même plus à faire taire mes désirs incestueux mais à les réaliser. Honteuse de mes désirs, je maudis Manuel de les avoir fait naître. Il me semble que lorsqu’on rompt avec quelqu’un, il y a une tristesse qui s’installe, un regret des bons moments, on doit sentir un manque de l’être viré. Rien, je ne suis pas triste, je ne regrette rien, il ne me manque pas. Tout ce qu’il y a, un profond désir de devenir la femme de mon frère. J’ai le goût de le sentir caresser, embrasser la moindre parcelle de mon corps, sentir la chaleur du sien sur le mien. Je finis finalement par m’endormir. Le lendemain matin, au petit déjeuner, j’essayai de ne pas trop fixé mon frère. A chacune des fois que mon regard se posa sur lui, je sentais mes seins et ma chatte réagir. Heureusement, j’avais une journée chargée au collège. De plus, je travaillais le soir. Cela m’a permis de passer une journée agréable. Mais dès que j’arrivai le soir, en particulier dans ma chambre, mes désirs revenaient toujours plus forts. Ce fut une semaine difficile, mais le samedi, anniversaire de mon frère, ma décision était prise. Je me donnerai à mon frère. Après avoir fait l’amour, je serai libérée de ces désirs et pourrai reprendre une vie normale. Quand et comment, surtout avec ma mère présente, je ne le savais pas, mais ce serait dans les jours qui viennent, la première occasion sera la bonne. C’est du moins ce que je pensais.

Le repas du soir fut particulièrement arrosé. Ma mère offrit une caméra numérique comme cadeau. Avec son ordi, il pourra les développer lui-même. Moi, je savais ce que je désirais lui donner, c’est-à-dire mon corps, mais je ne pouvais le faire devant ma mère. Aussi faute d’argent, il reçu un baiser de ma part en m’excusant, les derniers événements ayant vidé ma tirelire. Puis, ma mère nous invita à danser au sous-sol. Nous étions une famille de danseurs. Pendant plus de 2 heures, nous dansions passant d’un cha-cha-cha à un rock, d’une valse à un tango et même quelques slows. Puis ma mère s’excusa, elle était fatiguée et monta se coucher.

C’était l’occasion, je le savais mais comment faire. Mon frère et moi continuons de danser. Je dois dire, que j’ai du prendre 3 ou 4 Bloody Mary bien alcoolisés, j’ai toujours eu de la difficulté à doser quand je les prépare, ayant toujours peur qu’il ne soit pas suffisamment alcoolisé. Prenant mon courage à deux mains, je dis à mon frère : « Tu sais, je porte les beaux bijoux que tu m’as donnés. ». J’espérais une réaction de mon frère. « Habituellement, ce genre de bijou se porte toujours. J’aurais été surpris que tu ne les portes pas » me répondit-il. Ce n’était pas vraiment la réaction souhaitée. J’enchainai : « Tu devrais voir comme ils me font bien ». « Je n’en doute pas, tu est très jolie. Mais si tu désires que je voie ces 3 petites merveilles sur toi, il faut que tu sois nue » ajouta-t-il d’un regard coquin. Je sus alors que j’allais me mettre nue. Je sentis l’excitation dans mon corps, excitation accentuée par la présence de mes petits bijoux. Mais je voulais faire l’amour, il me fallait m’en assurer, sinon quelle frustration pour moi. Je repris la parole : « Me mettre nue, hum, c’est un peu injuste, tu vas voir mes seins, ma chatte et moi qu’aurais-je? Par contre si tu me montre ton pénis en érection ce serait équitable, tu ne penses pas? ». Surpris de ma réponse, Serge répliqua : « Ok pour du nudisme, mais pour l’érection, il faudra que tu m’excites, petite sœur, et une fois excitée, euuuh … il peut se passer bien des choses ». A sa réponse, je sentis la pointe de mes seins se durcir comme jamais, des spasmes à l’intérieur de mon vagin. J’avais presqu’un orgasme. « S’il se passe des choses, petit frère, je suis capable d’assumée. J’enlève un morceau et toi le suivant. Je commence ».

A peine ai-je enlevé mon chemisier, je vis dans ses yeux, le désir de me caresser, de me baiser. Ca y était. Nous étions à poil. Je m’approchai de lui, il contempla mes seins, il se pencha pour regarder le piercing de mon clito. Il se releva, ma main glissa vers son membre, lui toucha à peine, qu’il se mit au garde à vous. Je le branlai alors doucement, je me penchai, j’approchai l’objet de mon désir de mes lèvres, sortant ma langue, je lui léchai son gland, le mit dans ma bouche, et en bougeant ma tête pour simuler un va et vient le fit éjaculer. En avalant, je me relevai en serrant Serge dans mes bras, écrasant ma poitrine sur son torse. Il me caressa les épaules de ses lèvres en me reculant vers le divan. Il commença alors avec sa bouche et ses mains une inspection minutieuse de mon corps, mes seins ayant droit à une attention particulière puis après avoir fait le tour de mes jambes se dirigea vers ma chatte. Je ne trouve pas les mots pour décrire le frisson du plaisir que j’éprouvai alors, il alla me déguster enfin. Sa langue sur mon clito eut suffit mais mon petit bijou accroché là accentuait les sensations, je mouillai donc comme un champlure avec des gémissements de plus en plus forts. Descendant de temps en temps sa langue sur mes lèvres pour savourer le liquide que je sécrétais pour lui. Enfin il prit sa verge, écarta mes lèvres avec ses doigts, y plaça le gland et d’un lent coup de rein introduisit son pénis. Je le sentis glisser lentement, s’accaparant peu à peu de tout l’intérieur de mon vagin. Il était enfin à l’intérieur de moi, je devenais sa femme, n’était-ce pas l’échange de son doigt dans mon anneau. Des va et vient débutèrent lentement. Je me mis à gémir doucement à chacun d’eux. Puis accélérant le rythme, mes gémissements augmentèrent leur niveau sonore. Les va et vient furent de plus en plus rapides, des spasmes vaginales apparurent, ils furent de plus en plus intenables, je criai, oui, j’ai bien eu un orgasme, mais lui continua, je le vis dans son visage, il y était presque, oui, ça y était. Un liquide chaud venait tout juste d’arriver à l’intérieur de moi. Nous nous sourîmes et pendant que nous nous embrassions une voix retentit : « Cela fait 5 minutes que je vous observe, vous seriez bien mieux dans un lit pour vous aimer. C’est bien plus confortable ». Cette voix, c’était celle de notre mère. Surpris et gênés, nous la regardâmes remonter les escaliers. Serge et moi, attendirent quelques minutes, prirent nos vêtements et gagnèrent ma chambre où nous continuèrent nos ébats et nous endormîmes entrelacés.

Le lendemain matin, quand je me réveillai, mon frère dormait nu à côté de moi. Je n’avais donc pas rêvé, ni fantasmé. Je réveillai mon frère avec de gentils baisers. Puis après moult hésitations, nous sortîmes de ma chambre pour prendre le petit déjeuner. Ma mère était déjà là. Quel sermon aurons-nous? Nous venions de traverser l’interdit. Quand elle nous vit, elle nous sourit et dit : « Vous avez passé une belle nuit les tourtereaux? ». Je fus complètement ébahie, mon frère l’était également à l’expression de son visage. Ma mère ne semblait nullement troubler que sa fille et son fils aient fait l’amour ensemble. Ne sachant quoi répondre je lui répondis finalement : « Oui, mais toi, tu n’es pas fâchée de nous avoir vu ainsi? ». J’avais besoin de comprendre. Après un moment de réflexion ma mère reprit : « Écoutez bien tous les deux, ceci doit demeurer secret. Quand j’étais adolescente, ma mère, passait son temps à me prévenir de faire attention à mes frères. Ils essaieraient de me voir nue, pire ils me feraient peut-être des avances. Les gars me disait-elle, c’est comme ça, surtout à leur âge, ils ne font pas de différences entre une sœur et une voisine. Ils fantasment sur le corps de la femme et leur sœur est à leur portée. A l’époque, je n’éprouvais aucun désir sexuel sur mes frères et j’étais très prude. Mais la répétition quotidienne de ses conseils a fait naître chez moi des désirs. Me montrer nue, satisfaire le voyeurisme de mes frères. J’ai passé finalement à l’action. Je laissais souvent ma porte de chambre entrouverte en étant nue, tout en surveillant discrètement si un de mes frères se prévalait de cette chance. Je voyais souvent Jean-Paul m’observai discrètement. Ca me donnait des plaisirs à chaque fois. Puis le désir de me donner à lui est venu. Une nuit de Noël, pendant que tout le monde s’amusait, je me suis donnée à lui. Nous l’avons fait pendant plus d’un an presque chaque semaine. Ce n’était pas de l’amour, mais la réalisation de nos fantasmes. Quand tu m’as parlé de ta rupture, j’avais compris que Manuel avec ses paroles répétées avaient créé sans le vouloir des fantasmes sur ton frère. Ton frère lui, je l’ai surpris nombre de fois essayant de t’observer pendant que tu prenais ton bain. Hier, quand je suis redescendue, à tes gémissements, j’avais compris que c’était fait. Je vous préviens tous les deux. Ce n’est pas de l’amour, ce n’est que la réalisation de fantasmes. Désormais, vous serez pris toute votre vie à ce désir charnel interdit et vous devrez l’assouvir de temps en temps comme Jean-Paul et moi, une fois tous les 3 ou 4 mois. Profitez maintenant du temps où vous avez besoin de le faire souvent, mais dans 6 mois, un an ou un peu plus, le véritable amour vous manquera».

Serge et moi n’arrivâmes pas à le croire, ma mère l’avait déjà vécu et le vivait encore. Ma mère eut raison sur toute la ligne. Après 8 mois de baise infernale, un manque se fit sentir de plus en plus. J’avais besoin d’un amoureux et lui d’une amoureuse. Depuis nous sommes mariés tous les deux avec des conjoints charmants. Cependant à chaque 3 ou 4 mois, Serge et moi, nous nous retrouvons pour satisfaire ce désir charnel incontrôlable, le plus souvent chez ma mère qui sourit à toutes les fois.

 

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Par maxime - Publié dans : incestueux
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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 16:42

 Professeur de mathématique dans un lycée, ma mère a épousé mon père à l’âge de 19 ans. A la retraite après une carrière dans les ponts et chaussées, mon père en avait 26 à son mariage. Né un an avant le mariage de mes parents, j’ai vécu dans une famille heureuse et équilibrée. En janvier 1999 nous nous sommes rendus dans notre mobil home du côté d'Avalon. Deux jours après, mon père fut rappelé pour pallier au manque de techniciens suite à la grande tempête. Le soir je sortais avec ma mère en boite ou en pub, nous sommes très complices. Mais à 45 ans elle éprouve des soirs, le besoin de rester au mobil home pour récupérer des ces soirées. Un soir, elle me souhaite bonne soirée et elle rentre sous la douche. Je vais en boite avec des amis. Elle profite de sa détente pour venir dans ma chambre pour regarder la télé. En vacances mes parents n'aiment pas la regarder. Donc seul moi en disposait et dans ma chambre. En rentrant vers les 4 heures du matin je me dirige sans bruit ver ma chambre et là....surprise… je vois ma mère étendue sur mon lit. En nuisette et sans couverture. Elle dormait profondément avec la télé allumée sur une émission animalière. Je ne savais plus quel comportement tenir. Mais j'ai décidé de rentrer dans mon lit sans la bousculer. J'ai ôté mes vêtements ne gardant que mon caleçon. Je suis donc rentrer sous la couverture et j'ai, en même temps, couvert ma mère qui était presque nue. Il faut que je vous dise que mon lit n'était pas prévu pour deux personnes. C'est lit de taille intermédiaire. Pour une personne et demis mais il peut facilement contenir deux personnes si ces deux dernières sont collées, presque. Surprise par le sommeil, ma mère s'est endormie regardant ver la fenêtre. Je voyais ses fesses. Dès le début je lui ai tourné le dos en essayant de m'endormir. Ses fesses touchaient par moment les miennes ou alors les miennes touchaient les siennes. En tout cas je sentais bien qu'elle ne portait pas de culotte et que sa nuisette était remontée. Au bout d'un moment je me suis retourné pour changer de position. Enfin c'est ce que je me suis dit pour justifier le contacte éventuel de mon bas ventre et son derrière. Même avec toute la volonté du monde de ne pas penser à ce qui pourrait être réprimé par la morale, je me surpris entrain de bander et mes reins m'envoyaient contre les fesses de ma mère. Le gland dépassant du caleçon, je ne cherchais plus à le rajuster. Il touchait la peau de ma mère. Je me suis collé à elle, doucement, par derrière. Je ne résiste plus à faire des vas et viens le long de sa raie. Elle bouge soudainement et dit dans un grommellement Gérard!!! Puis plus riens sauf des renflements qui n’y étaient pas avant. Les bruits de ses derniers m’encouragèrent à aller plus loin. En effet j'ai enlevé mon caleçon et de ce fait je me trouvais nu contre ma mère qui l’était, aussi, en grande partie. Elle se réveille à nouveau été elle dit: «On est où....? » «C’est toi chéri ? » Puis elle poursuit; «  je me suis endormis je vais me lever » j'ai attendu qu'elle se lève mais rien ne se passe. Elle a même remonté la couverture vers elle en disant qu'elle avait froid et en se collant plus à ma pense. Je ne savais plus quoi faire. Mais un détail attira mon attention. Ma verge, qui glissait parfaitement sur la peau de ses fesses, était freinée par une substance. Oui, après avoir recueilli ce qui s’avérait être de la mouille, cette dernière, en séchant, bloquait la fluidité qu'il y avait sur une peau sèche. Ma mère mouillait donc. Sans rien dire, ni elle ni moi, nous nous trouvons maintenant collés ma mère poussait vers moi d'une manière détournée et moi j'essayais de caler mon gland contre sa vulve. Ma poitrine battait à deux cent à l'heur les remord et le désir se bagarraient en moi. Et puis plus un son des deux côtés. Oui mon gland s'est niché dans la cavité vaginale de ma mère. Je ne bouge plus elle non plus. Millimètre par millimètre je pénètre ce conduit censé être interdit.

Mon pubis touche, enfin, les fesses maternelles. Une chaleur brûlante se dégage de la vulve pour venir envahir mes bourses. L’odeur de l’amour et de la honte couvre déjà cette chambre où ma mère n’aurait jamais dû s’endormir. Je rêvassais, étourdis par cette situation  inespérée et inattendue, quand un mouvement du bassin me remettait dans l’action. Croyant, au début, que ma mère voulait se détacher suite à sa découverte de l’inacceptable mais il ne fut rien car c’était un mouvement de recul. Donc ma génitrice était en position de demande. Encouragé par ce geste j’ai poussé vers elle m’enfonçant encore plus. Et à partir de là notre étreinte est devenue bestiale. Je l’entendais gémir, doucement, sans dire un mot. Seules ses hanches m’indiquaient qu’il fallait que je la baise. Je me mets, alors, à la considérer comme une femme, une épouse, ou une amante et non pas comme étant ma mère. L’idée de la prendre pour une pute me traversa l’esprit et je n’ai pas résisté longtemps à jouir en elle grâce à cette dernière. Pendant l’opération de l’ensemencement elle s’est ouverte et elle s’est collée à mon bas ventre jusqu’à la fin des giclées. Le monde tournoyait autour de moi. Je ne sais pas ce qu’il en est pour la pute qui a reçu la semence filiale ! En tout état de cause son silence forcé, car les halètements arrivaient à s’échapper, ne cachait pas le plaisir qui l’a fouetté. On frappe à la porte.

 

J’ouvre les yeux. Les rayons du soleil hivernal de ce mois de janvier, dansent sur mes draps. La voix de ma mère qui me rappelle qu’il faille que je me lève car le petit déjeuner est prêt. Soudain le souvenir de la nuit passée. Deux taches suspectes me remettent dans la réalité de ce qui s’est déroulé. Ma mère est dans la cuisine je lui fais la bise matinale elle sourit « pal » elle détourne le regard et vaque à ses occupations me laissant devant mon bol de lait. Ce breuvage  qui se confond avec le lait maternel et la liqueur qu’elle a reçus dans son ventre. Va-t-elle tomber enceinte de moi ? Etait-elle consciente de recevoir mon venin ? L’avait-elle accepté en connaissance de cause tout en sachant qu’elle n’est pas féconde ? Toutes ses questions me taraudent, me brûlent les lèvres mais je n’en dis rien.

 

Je la laisse venir si elle le veut mais je ne me sens pas le courage de l’affronter. Trois jour sa passent en disant le strict minimum de part et d’autre. Le soir elle parle à mon père au téléphone et de temps en temps pose un regard sans expression sur moi. Le quatrième soir elle me demande si je ne voulais plus qu’elle m’accompagne en boite. Je réponds par la négative « alors ce soir on sort ? » Demande-t-elle. Je réponds par oui. Rayonnante, ce soir-là,  elle dansait avec moi comme si j’étais son mec. Elle avait un peu forcé sur la crème de whisky, certes, heureusement que personne ne connaissait la nature des liens qui nous lient. Vers 3h du matin nous sommes déjà chez nous. Elle prend une douche et elle me demande si elle pouvait regarder la télé dans ma chambre. J’affirmais « oui » elle me fait une bise, part dans sa chambre pour s’essuyer. Elle revient cinq minutes plus tard en tenu de nuit c’est à dire un peignoir qui couvrait une nuisette très courte et elle pénètre, avec moi, dans ma chambre en fermant la porte

 

Depuis, avec ma mère même si la vie continue, nous n’osons plus nous regarder franchement dans les yeux aussi longtemps qu’avant. Pourtant une fois l’excitation est là elle redevient cette louve débordante d’envies, de fantasmes et de sensualité. Elle me dit, souvent, à l’oreille qu’elle était ma femme que je pouvais faire d’elle ce que je voulais. Un soir dans le plus fort de l’enfer elle me demande en me suppliant de l’engrosser.


 

_   ouiiii vas-y mon chéri baise-moi, baises ta mère qui est devenue ta femme. Fait moi un enfant je t’en supplie engrosse ta salope de mère.

_Tu le veux vraiment maman ? Hein tu veux porter de moi ?                                                                                      

_Oui mon chéri ouiiiii, puisque je te le demande, vas-y tu as peur de quoi ? Verse-moi ta semence dans mon ventre…

_Et papas ?

_ Je lui ferai croire qu’il est de lui et on l’élèvera toi et moi sous le même toit…

Pendant tout ce temps-là ma bite pilonnait le ventre maternel avec des bruits de claquements et de sucions terrifiant et fouettant l’esprit. N’y tenant plus j’annonce à ma mère que j’allais venir. Elle écarte les jambes au maximum pour que la pénétration soit plus profonde.

_Féconde moi…fécondes le ventre qui t’a porté pendant neuf moi. Je veux que tu rentres une deuxième fois et d’une manière… je t’aime chéri.

_ahhhhhh…dans un cri libérateur je déverse mon amour, ma rage et ma liqueur  tout au fond de cette femme qui n’aurait jamais dû porter de moi.

1mois et demis après, ma mère m’annonce qu’elle est enceinte de moi. Elle avait honte et elle pleurait.

_ On a fait une bêtise…

Elle m’enlace en me disant que ce n’était  pas de pas de ma faute

_On va arranger ça ne t’inquiète pas mon cœur.

_Comment vois-tu les choses maman ?

_Quand tu reviens ce soir je te le dirai !

J rentre en dernier à la maison, mon père est rentré plus tôt que d’habitude ce mercredi pour voir le match qui opposait deux grandes formations footballistique européenne.

_dépêche-toi fiston, ça ne va pas tarder…

Ma mère est dans la cuisine. Elle téléphone à une de ses copines de temps en temps nous entendions un rire nous y parvenir.

Mon père absorbé par les actions des joueurs et moi par ce que ma mère avait dans le ventre.

 

A la fin du match mon père s’est couché dans sa chambre et ma mère me dit à haute voix qu’elle voulait que je regarde une émission tardive avec elle.

Seuls dans le salon, les lumières éteintes on s’allonge sur le même canapé. On se caresse et la proximité de mon père nous excite au plus haut point. Ma mère coulait comme une fontaine et elle me dit :

_Je vais garder mon ventre pendant deux mois encore, pour que tu voies le fruit de ton travail puis je vais avorter.

 

Deux mois durant nous nous sommes baladé, avec ma mère, la mère de mon enfant partout dans paris.

Ma mère est devenue une femme cochonne, elle me traîne maintenant sur les chemins de l’adultère car depuis un certain temps on fréquente les boites échangistes et mon père approche de la retraite tranquillement…

 

 Maxime

 

Chers lecteurs, le site nouveau est entrain de se faire

 

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Par maxime - Publié dans : incestueux
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Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 19:48

Moi : Marc
Mon père : François
Ma mère : Nicole
Mon oncle : Claude
Ma tante : Huguette
Ma cousine : Margot
L'amant de ma tante : Henri


Je vis dans une petite ville de province et j'ai 20 ans. Cette histoire a commencé il y a un an.
Je vis toujours chez mes parents qui sont tous les deux instituteurs. Dans la même ville vivent mon oncle, entrepreneur, et ma tante qui ne fait rien car son mari est très riche. Mon oncle qui a 45 ans est très sympa et nous avons la même passion : la photo animalière. Ma tante, 47 ans elle, est très désagréable, très snob et son côté bourgeois est vraiment exécrable. Elle méprise sa sœur jumelle, l’une est le double de l’autre, qui a épousé un modeste instit. Avant leurs mariages, les sœurs étaient inséparables, elle s’aimaient d’un amour que seuls les jumelle connaissent. Aujourd’hui Huguette ne manque jamais une occasion pour nous rabaisser et me faire remarquer que je ne suis qu'apprenti chez un fabriquant de meubles alors que sa fille est en fac. Vous avez compris que j'adore mon oncle et déteste sa mégère de femme qui pourtant m'excite énormément. Elle est châtain clair, voyez aussi ma mère dans cette description, mesure 1m73 alors que je ne fais que 1,70, plutôt plantureuse avec de gros seins. J'adore la reluquer à la piscine car elle n'a pas une once de cellulite et a des cuisses fantastiques. Très souvent je me masturbais en pensant à elle.
Cette histoire a commencé un dimanche où mon oncle était venu m'aider à bricoler des étagères dans mon labo photo. Il devait rester manger à la maison et ma tante nous rejoindre après la messe. Car en plus elle est plutôt bigote et fait partie de plein d'associations caritatives. A un moment, mon oncle me dit : " J'ai oublié ma ponceuse à bande, tu peux pas aller la chercher et en même temps ramener mon appareil photo, comme cela on pourra faire des essais cette après-midi."
Aussitôt demandé, je prends mon vélo et pars chez mon oncle.
Comme il n'y a personne dans la maison, je passe par derrière et monte à son bureau pour prendre l'appareil photo. Et là, surprise, alors que j'allais descendre à l'atelier, j'entends des bruits à l'étage alors que je sais la maison vide car ma tante est à l'église. Curieux, je monte discrètement à l'étage et tends l'oreille. Les bruits proviennent de la chambre de ma cousine que je croyais en fac à Paris. Je m'approche sur la pointe des pieds de la porte et constate qu'elle n'est que poussée. Visiblement, aux bruits, ma cousine s'envoie en l'air avec son copain. Plutôt que redescendre, je pousse légèrement la porte pour voir ce qui s'y passe. Je fais cela très doucement. J'ai une vision trois quart arrière du lit. Et là, la surprise , c'est Henri le meilleur copain de mon oncle qui est en train de pistonner ma cousine . Je suis estomaqué car il a 40 ans et elle 19. Je vois d'ici le scandale si ça se sait. Je continue de regarder car c'est drôle de voir Henri avec ses fesses poilues et son crâne tout dégarni souffler comme un phoque. En disant :"ah c'est bon, t’aime ça hein, te faire ramoner par ma grosse bite, dis que je te bourre bien salope "
ET alors là, re-surprise car c'est la voix de ma tante que j'entends :" oh oui mon chéri, continue, plus fort, ne t'arrêtes pas, plus profond, comme ça oui c'est bon, continues ".
J'en suis resté comme deux ronds de flan, c'était ma tante qui baisait alors qu'elle devait être à la messe.
L'occasion était trop belle, j'ai pris l'appareil de mon oncle et j'ai commencé à mitrailler la scène. Ma chère tante, les cuisses écartées et les jambes sur les épaules d'Henri, ma tante se faisant prendre en levrette avec ses gros seins qui se balançaient au rythme d'Henri qui se déchaînait, ma tante avec la bitte d'Henri entre les seins mais qui refuse de le sucer. Pas content Henri. Et point d’orgue, ma tante écartelée qui se fait sucer et qui en redemande.» oui, oui, continue, c’est bon, plus vite ta langue, j'arrive, t'arrête pas c'est trop bon." Si ce n’était la voix de ma tante puis le nom de hi guette qui raisonnais au file de la baise, j’aurais pu pensais que c’est ma mère qui se faisait niquer par Henri. Oui, ma tante aurait pu se venger de l’instit de mon père en offrant sa jumelle à Henri.
J'ai pu faire des gros plans fantastiques de sa jouissance. Et Henri têtu qui réclame son du :"je t'ai bien sucée et prise tout ton jus dans la bouche, tu peux me faire pareil quand même " Ma tante a fini par céder :"d'accord je te suce mais tu ne jouis pas dans ma bouche !
""Ok, d’accord mais suce moi vite ma chérie j'en peux plus "
Là, j'ai fais les plus belles photos, ma très chère tante à quatre pattes qui prend la bitte d'Henri du bout des lèvres, je vois son beau fessier remuer. Et toujours Henri qui s'énerve :"mais suce bon dieu, fais pas semblant ". Et le voilà qui prends la tête de ma tante et appuie dessus pour l'obliger à avaler sa queue. Maintenant c'est lui qui rythme le mouvement. En fait, il lui baise la bouche. "Ah c'est bon, ta langue, plus rapide, oui, enfonce là bien, comme ça, oui continue je viens " Et là, il lui appuie la tête contre son ventre et se cambre en râlant .Ma tante se redresse furieuse et recrache le sperme qu'elle avait dans la bouche tout en s'essuyant avec un revers de main.
"T'es dégueulasse, Henri, tu sais bien que je déteste ça, je déteste le goût, si j'avais su je t'aurais pas sucé"
En attendant, moi j'ai pris deux rouleaux de photos fantastiques.
Je me suis alors retiré aussi doucement que j'étais arrivé. J'avais bien sur une trique d'enfer et arrive dans la cuisine je me suis masturbé et j'ai éjaculé sur la table de la cuisine. Je suis parti en laissant la trace de mon passage.
Je suis rentré très vite à la maison, ai donné son appareil à mon oncle qui est parti faire des essais de macros dans le jardin, et me suis précipité dans le labo pour développer les deux pellicules. Et ça n'a pas traîné, en une demi-heure, j’avais 48 photos de ma tante qui ne m'intimidait plus du tout.
J'en ai choisi une, que j'ai fait sécher, et je suis descendu rejoindre tout le monde qui se demandait où j'étais passé. Ma tante était à, de retour de la messe, un peu en retard car elle était restée discuter avec le cure, dit-elle.
Je la trouvais superbe dans son tailleur gris très bon chic bon genre et son chemisier qui mettait ses seins en valeur. Je bandais comme un âne avec le cœur qui battait la chamade. Je suis parti au wc et après quelques va et vient, re-grosse éjaculation.
Elle continuait à m'exciter et quand je la regardais, je ne pouvais m'empêcher de la voir sur le lit avec les cuisses écartées. J'en pouvais plus. Quand elle s'est assise dans le canapé, j'ai cru que j'allais encore éjaculer dans mon pantalon.
A un moment, elle s'est levée et est allée aider ma mère dans la cuisine. De dos, je voyais sa CROUPE, la même que celle de ma mère, et pourtant je faisais une fixation sur la sienne même si je me disais qu’en voyant la celle de l’une j’ai vu celle de l’autre c'était intenable, j'avais l'impression que tout le monde me regardait et que j'étais tout rouge.
Je me suis levé à mon tour et suis parti à la cuisine, elles préparaient les toasts . Le premier plateau fini, ma mère l'a apporté au salon et je suis resté seul dans la cuisine avec ma tante, qui tout d'un coup me dit :"alors Marc, tu pourrais nous aider, toujours aussi fainéant à ce que je vois. Tu ferras rien de bon dans la vie si tu ne te secoues pas un peu ".Alors là, je ne sais pas ce qui m'a pris mais je lui ai répondu :"tiens au fait, y’a le curé qui m'a donné ça pour toi «.
Et je lui ai tendu la photo que j'avais dans ma poche avant de quitter précipitamment la cuisine et retourner au salon.
J'attendais son retour avec impatience.
En attendant son retour, mon cœur battait à deux cents pulsations au moins. Comment allait-elle réagir ?
Enfin, elle arriva avec le deuxième plateau de petits fours. Bien sûr, je scrutais son visage. Si je n'avais pas su qu'elle venait de voir une photo d'elle allongée se faisant sucer la chatte, les cuisses largement écartées, par Henri le meilleur ami et employé de son mari, je n'aurais rien remarqué.
Dieu qu'elle était belle dans la plénitude de ses 47 ans très bien conservée. Avec son visage plein, parfaitement fardé, son chignon de femme BCBG, ses grandes lunettes, elle me faisait bander comme ce n’était pas possible. Quand elle passa le plateau, je pris mon courage à deux mains et la regardais droit dans les yeux avec un sourire que j'espérais convaincant. C'est elle qui baissa son regard et je remarquais que le plateau tremblait un peu trop.
Elle était donc sur des chardons ardents et n'en menait pas plus large que moi. Cela me rassura complètement.
Pendant tout le repas, je n'arrêtais pas de la regarder et dans ma tête, je remplaçais déjà Henri. Je fixais sa bouche et ne pouvais m'empêcher de l'imaginer suçant ma queue. J'ai donc passé tout le repas avec une trique d'enfer. A un moment où elle me regardait à la dérobée, j'ai même osé sucer mon majeur de façon suggestive .Elle a de suite détourné son regard mais elle avait rougi.
A partir de ce moment, je crois que j'ai passé une année à bander en pensant à son corps que je désirais comme un fou.
Toutes les occasions étaient bonnes pour la détailler et de la déshabiller du regard.
A la fin du repas, mes parents proposèrent une promenade en foret. Au cours de cette promenade, ma tante se débrouilla pour être à côté de moi et se laissa légèrement distancer du groupe. Moi, je ne faisais rien, j'attendais la suite avec une grande curiosité.
"Qu'est ce que c'est que cette histoire, Marc ? C'est toi qui as pris cette photo ? "
"Bien sûr ma tante et il y en a beaucoup d'autres "
"Et que veux tu ? De l'argent ? Combien ? Tu sais bien que c'est ton oncle qui est riche, pas moi. Et d'ailleurs tu vas me faire le plaisir de me les donner sinon je dis tout à ta mère
A ces mots, j’ai accéléré l'allure. C'est elle qui m'a rattrapé et qui m'a dit : "Alors que décides-tu? "
"Il est hors de question de vous donner ces photos ma tante, elles sont trop chouettes. Depuis le temps que je me masturbe en pensant à vous, maintenant au moins j'ai les photos "
"Petit saligaud. Et tu crois que je vais rester comme cela? Que veux-tu à la fin ?
"Ce que je veux ma tante c'est remplacer Henri et vous faire tout ce qu'il vous a fait. Après je vous rendrais toutes les photos et les négatifs."
"Tu es fou ou quoi? Je suis ta tante, la sœur de ta mère, et je pourrais être ta mère. C'est hors de question "
"Bon, on verra bien tantine (elle déteste ce terme), mon oncle est très jaloux, vous le savez. En plus ça mettrait Henri dans une drôle de situation, vous ne croyez pas ?"
Le groupe devant avait fait demi-tour et la discussion s'arrêta là.
De retour à la maison, mon père et mon oncle s'installèrent devant la télé et les deux femmes discutèrent dans la cuisine. En tendant l'oreille, je me suis rendu compte qu'elles ne parlaient pas du tout de mon affaire.
Pendant le repas du soir, j'étais assis face de ma tante et j'avais tout le loisir de la dévisager. Je savais que ce que je faisais était dégueulasse mais je ne pouvais pas résister à cette envie tenace que j'avais dans le bas ventre. Ras le bol des bonnes conduites qui nous font rater tant de choses. A un moment où elle parlait avec mon oncle, j'ai tendu la jambe en la regardant et glissais mon pied que j'avais déchaussé entre ses genoux. Instinctivement, ses cuisses se sont resserrées et elle m'a regardé. Si son regard avait pu tuer je ne serais pas là à vous narrer mon histoire. Mais elle n'a rien dit. Aussi, plusieurs fois au cours du repas, j'ai laissé mon pied s'égarer. Sans grand succès il faut l'avouer. A la fin du repas, j’ai laissé tomber un couvert et me suis baissé pour le ramasser après l'avoir légèrement poussé du pied sous la table. Là, j'ai cru que j'allais décharger dans mon pantalon. La fourchette étant assez loin sous la table, j'ai poussé naturellement ma chaise et me suis mis à quatre pattes. J'avais sous les yeux les cuisses de ma tante serrées l'une contre l'autre. Alors j'ai glissé mon bras très rapidement entre la jupe et ses cuisses que j'ai pu palper. Pas très longtemps, mais qu'elles étaient douces et charnues. A en rêver.
Quand je me suis relevé, j'étais estomaqué de l'audace que j'avais eue. J'étais complètement en dehors du repas. Il était temps de participer à la discussion générale pour ne pas éveiller de soupçons. Ma tante discutait comme si rien ne c'était passé. Quelle maîtrise elle avait !
Ces petits intermèdes ne m'avaient pas calmé loin s'en faut.
Après le repas, tout le monde participe pour débarrasser la table, les hommes au transport et les femmes au lavage pour les couverts fragiles. Peut-être encore une occasion d'en profiter pensais-je de suite. J'étais toujours sur un nuage, inconscient des risques que je prenais. Ma tante était au lavage des couverts fragiles car ma mère est un peu brusque pour ne pas dire plus. Moi, j'amenais les couverts et toutes les occasions étaient bonnes pour frôler ouvertement ma tante. A chaque fois, elle se dégageait en me fusillant du regard. A mon dernier voyage, elle était seule dans la cuisine, les mains dans l'eau de vaisselle. Je déposais rapidement les objets dans l'évier et vins me coller dans son dos. Je me frottais contre ses fesses et elle ne pouvait plus ignorer l'état de mon sexe. Dans le même temps, j'avais passé mes bras sous les siens et pris ses seins dans mes mains. La situation me fait encore bander aujourd'hui. Ses seins étaient bons, comme de la bonne pâte à pétrir. Encore durs mais d'une souplesse que les jeunes n'ont pas. C'était merveilleux mais malheureusement bref car elle s'est retournée, m'a repoussé en disant :" Ca suffit Marc, tu exagères, n'importe qui peux entrer " Tiens donc, c'est ça qui la tracasse, se faire surprendre "M'en fou, de toute façon je vous aurai. Ce soir je vais encore me masturber en pensant à vous mais bientôt c'est vous qui me ferrez juter "
"T'es complètement fou mon pauvre Marc, tu rêves ou quoi. Vas donc fréquenter les filles de ton âge"
La discussion s'arrêta car ma mère entra "Encore là vous deux, toujours à vous chamailler je suppose, tu sais, Huguette (ma tante ), Marc n'est pas doué pour les études mais son maître d'apprentissage est très content de lui. Je suis sûre qu'il aura un bon métier "
Quand tout fut rangé, mon oncle et ma tante nous quittèrent. J'en profitais d'ailleurs, lors des bisous d'adieu, à embrasser la chère Huguette presque sur la bouche.
Je montais directement dans ma chambre et m'installais très confortablement pour une séance de masturbation devant les photos qui me faisait rêver. Malheureusement, j’étais dans un tel état d'excitation qu'après trois ou quatre aller-retour de ma main sur mon sexe je déchargeais déjà. Jamais je n'avais produit une telle quantité de sperme, j'en avais plein la main. Dommage que ma tante n'ai pas profité de ce bon jus fabriqué pour elle.
Le lendemain, je partais pour trois semaines de stage. Dieu que ces trois semaines furent longues. Je n'arrêtais pas de penser et de me branler en me remémorant cette journée fantastique. J'en arrivais à croire qu'elle sortait de mon imagination.
Enfin le jour du retour est arrivé. Pendant tout le temps du voyage dans le train, je ne pensais qu'à ma tante et étais dans un état d'excitation extrême. J'avais ma main dans la poche et mon sexe était dur comme une barre d'acier.
A l'arrivée, surprise, c'est ma tante qui est là. Pas un bonjour, pas un bisou, rien.
A peine installés dans leur superbe Mercedes ma tante attaque :" Comme ta mère n'était pas disponible, j'ai proposé de venir te chercher. Il faut qu'on discute, la situation a assez duré. Quoi que tu ais vu, c'est ma vie et tu n'as pas le droit de t'en mêler. De plus, je suis ta tante et j'ai 47 ans. Il n'est pas question que cette histoire aille plus loin et je te demande de me donner de suite les photos et les négatifs."
Pendant qu'elle me parlait, j'écoutais à peine, tout occupé à la détailler. Elle était vraiment magnifique, toujours habillée de façon aussi stricte avec un tailleur bleu marine dont la jupe arrivait aux genoux et un chemisier vert foncé fermé jusqu'au col. Elle n'avait rien mis qui puisse m'aguicher, mais je l'avais vue nue et je savais les trésors cachés derrière cette façade austère.
" Je suis désolé tantine " "ne m'appelles pas tantine s'il te plait, tu sais très bien que je déteste ça"
"Je suis désole tantine mais je ne peux pas accepter et j'ai trop envie de vous"
"Ne m'appelle plus tantine mais Huguette ou tante. Je ne sais pas si tu te rends bien compte mais c'est d'inceste dont tu parles, pourquoi pas avec ta mère t'en que tu y es! En plus c’est ma doublure"
"Tout simplement parce que c'est avec vous que je veux baiser, j'adore votre corps, vos seins, votre ventre rond, vos cuisses si douces. Ca fait trois semaines que je bande en pensant à vous et que je me masturbe au moins deux fois par jour en regardant les merveilleuses photos. J'adore particulièrement celles ou vous êtes allongée avec les cuisses largement écartées en train de savourer le plaisir que vous donne la langue du cher Henri. Dommage que je n'ai pas pu prendre le son."
J'avais fait exprès d'employer des mots un peu crus car je voulais la choquer et reprendre un certain avantage.
"Tu es complètement fou, comment peux tu croire que je vais céder et coucher avec mon neveu que je n'aime pas beaucoup en plus"
"Je m'en fou mais je continuerai à vous harceler, à vous tripoter quand l'occasion s'en présentera et à chaque fois que nous serons seuls". En disant cela j'avais glissé ma main sous sa jupe et palpais une cuisse dodue à souhait. Bien sûr, elle a de suite retiré ma main, mais le mal était fait. "Arrête, s'il te plait, tu te crois tout permis ? Ça va bien maintenant, il faut que ça cesse !"
"Et non chère tantine ça ne s'arrêtera pas. Touchez ma bite, vous verrez, elle est toute dure et ne demande qu'a vous satisfaire, à juter pour vous" . J'aurais pu tutoyer ma tante mais je préférais continuer à la vouvoyer, je trouvais ça plus jouissif.
"Bon maintenant ça suffit, on rentre et j'en parlerai à ta mère " dit-elle en démarrant
"C'est ça, et moi j'en parlerai à Claude (mon oncle)"
Plus un mot ne fut prononcé pendant le trajet. Le silence était glacial.
Arrivés à la maison, je lui glissais une autre photos :" Tenez, chère Huguette, voilà la photo qui m'a le plus servi dans mes masturbations solitaires. Vous êtes vraiment géniale avec cette queue dans la bouche. Je suis sûr que la mienne qui est bien plus grosse vous plairait vraiment. "
La masturbation devenait mon occupation principale. Une fois "calmé", je suis redescendu dans la cuisine pour embrasser ma mère qui était rentrée. Elle était toute pimpante dans une petite robe à fleurs. C'est vrai qu'elle était belle. Je n'avais jamais fantasmé sur ma mère mais les paroles de ma tante : " et pourquoi pas avec ta mère.." me revinrent en mémoire.
Pendant cette semaine à la maison, je ne perdis pas une occasion pour rencontrer ma tante et lui glisser des mains fureteuses dès que nous étions seuls.
Le samedi matin, ma mère m'apporta mon petit déjeuner au lit comme elle le fait tout le temps quand je suis à la maison. Les avantages d'être fils unique. Elle semblait préoccupée. " Il faut que l'on parle, Marc. Hier Huguette est venue me voir et m'a parlé de ce qui se passe entre elle et toi. Elle m'a avoué que tu l'avais surprise avec Henri, que tu avais fait des photos et que depuis tu ne fais que la tripoter et que tu veux coucher avec elle." En disant cela, elle était de plus en plus rouge et semblait très gênée. Qu'elle aborde la question de façon aussi directe m'a étonné et malgré moi je me suis mis à bander. "Il faut à tout pris arrêter ça Marc, c'est ta tante et c'est inadmissible de faire chanter les gens pour une petite bêtise qui concerne leurs vies privées. Tu devrais plutôt trouver une fille de ton âge."
"Bien sûr que je devrais trouver une fille de mon âge, mais j'ai vraiment envie d'Huguette, c'est elle qui m'excite". Je bandais de plus en plus et la bosse que faisait le drap devenait de plus en plus difficile à dissimuler. "Regarde, je bande comme un âne rien que d'y penser et il faudra que je me branle pour me calmer. Tu crois que c'est une vie ? " . En disant cela, j'ai rejeté le drap et mon sexe s'est dressé tout droit, dur comme une barre de fer. Ma mère a tout d'abord détourné le regard puis m'a regardé dans les yeux avec un sourire de compréhension et de gentillesse. " Je te comprends mais ce n'est pas une raison pour embêter ta tante. " Après un silence qui m'a paru durer une éternité et pendant lequel je me caressais doucement le sexe, elle repris :" Pour te calmer, comme tu dis, je veux bien t'aider mais il faudra que ça reste entre nous et que jamais personne n'en sache rien. Tu me le promets ? ". " Promis, maman, ce sera notre secret ".
Alors elle s'est assise sur le bord du lit, face à moi, et a pris doucement mon sexe dans sa main. Je m'en souviens comme si c'était hier. Sa main était d'une douceur incroyable. Je regardais cette main monter et descendre sur mon sexe, décalottant au maximum mon gland prêt à éclater. La scène était d'un érotisme inimaginable. Elle n'osait pas trop serrer et son massage était ample mais trop lent. "Serres plus, maman, et plus vite s'il te plait. Oui !!!! Comme ça c'est bon, continue. Oh, putain, c'est trop bon ". Je donnais en même temps des coups de reins pour amplifier le mouvement et je sentais mon jus monter. Sa main avait maintenant un rythme très rapide, c'était trop bon. Si au début, elle me regardait dans les yeux, maintenant elle fixait mon sexe et suivait mes mouvements de bassin. Au bout de deux trois minutes de ce traitement, je ne pouvais plus me retenir, alors je l'ai prise par les épaules et l'ai plaquée contre moi en lui murmurant à l'oreille " Continue, ça vient, je vais juter, Oh comme c'est bon maman ". Sa main était maintenant prise de frénésie et je sentais qu'elle voulait que je jouisse. "ça y est je jouis !! Continue, t'arrête pas, continue". Mon corps était parcouru de véritables décharges électriques et mes reins faisaient des bonds d'au moins 20 centimètres. C'était merveilleux, je n'avais jamais joui comme cela. Et tout en libérant tout mon jus, je la tenais tout contre moi et sans m'en apercevoir j'embrassais son visage, elle, blottie contre mon épaule. Une fois les dernières secousses passées, nous sommes restés comme cela, blottis dans les bras l'un de l'autre. Les battements de mon cœur se calmaient et je me suis rendu compte que ma mère aussi était essoufflée. Une fois calmés, elle s'est redressée et m'a regardé :" je crois qu'on vient de faire une belle bêtise ". Je n'ai rien répondu sur le moment, encore secoué par cette jouissance extrême. Ma mère s'était redressée. Il y avait du sperme partout. J'avais mon ventre tout englué et des filaments de foutre épais coulaient des doigts de ma mère. Il y en avait plein le devant de sa robe de chambre. Ma mère regardait tout cela comme dans un rêve, elle secouait sa main et a fini par l'essuyer sur sa robe de chambre en disant :"En tout cas, tu en avais vraiment besoin, il va falloir tout laver maintenant." Elle s'est alors levée et a quitté assez précipitamment ma chambre.
Je suis resté hébété un bon moment, je voulais ma tante et c'est ma mère qui venait de me branler. Tout en me remettant de cet instant magique, je massais doucement mon sexe au repos encore tout gras de ce plaisir interdit par je ne sais quelle société hypocrite. Très vite je rebandais et suis donc allé prendre une douche pour me calmer.
Une fois habillé, je suis descendu à la cuisine. Ma mère était là, toute seule, devant un café qui devait déjà être froid. Je me suis approché d'elle par derrière, ai posé mes mains sur ses épaules et l'ai embrassé tendrement sur les joues. "C'était magnifique, maman, ne sois pas triste, il n'y a rien à regretter je t'assure." Dans le feu de l'action et presque de façon inconsciente mes mains étaient descendues sur ses seins que je massais doucement.
"Arrête" me dit ma mère "OK, j'ai fait une bêtise tout à l'heure mais il ne faut pas que ça aille plus loin. Je ne veux pas que tu me touches et je ne coucherais pas avec toi. Il faudra que tu te contentes de ce que j'ai fait et pas plus; OK, "
"Ok maman je m'en contenterais mais je suis sûr que tu étais aussi excitée ".
"Là n'est pas la question, j'aime ton père et il est là pour régler mes envies "
"OK , d'accord mais j'ai encore envie ". En disant cela je lui ai pris la main et l'ai posée sur la bosse de ma braguette. Elle a soupiré mais a descendu ma braguette et a entrepris de sortir (difficilement) ma queue tendue de mon slip. J'étais debout dans la cuisine, avec mon sexe en dehors de mon pantalon et ma mère assise qui se préparait à me faire jouir une nouvelle fois. La situation était torride. Cette fois ci, pas d'hésitation, ses deux mains ont pris possession de ma verge. En fait, je me branlais dans ses doigts qui n'avaient presque pas besoin de bouger. Je ne voyais que le haut de sa tête alors je lui ai pris le visage dans les mains pour la regarder pendant qu'elle me masturbait. Voir ce beau visage et ses yeux magnifiques me faisait presque plus d'effet que ses mains. "Oui, c'est ça, continue, plus fort, plus vite, plus vite, je sens que ça vient, continue"; Je lui disais tout ça en la regardant dans les yeux et elle m'obéissait avec ses doigts de fée." ça y est ça vient, ça vient, je vais juter, oui, oui, oui ". Mes premiers jets très puissants sont partis jusque sur la table. "Continue encore, t'arrêtes pas". Elle continuait à me masturber et elle avait du sperme plein les mains. Elle a continué à me masser jusqu'à ce que mon sexe soit au repos.
" Ah, nom de dieu, qu'est. ce que c'est bon".
Je lui ai alors pris les mains pleines de mon sperme et lui ai léché un doigt en faisant tournoyer ma langue. "Ah non, pas ça, jamais je ne te sucerais, je te l'ai dit tout à l'heure, mes mains et rien d'autre".
Pendant trois jours, je n'ai plus pensé à ma tante, me contentant de me faire masturber par ma maman chérie, sans rien avoir de plus. Le mercredi, comme les autres matins, ma mère m'apporta mon petit déjeuner au lit. Comme les autres matins, j'avais une érection d'enfer et ma mère ne fut pas étonnée de me voir rejeter les draps pour lui montrer un sexe déjà bandé. Comme les autres matins, elle s'assit au bord du lit et tendit la main, presque machinalement, vers ma queue frémissante d'excitation. Elle n'avait plus d'appréhension et je crois même qu'elle prenait un certain plaisir à ce cérémonial n'y voyant plus le soi-disant tabou du premier jour. Mais cette fois ci, je voulais changer un peu. Je la pris par les épaules et la fis culbuter par dessus moi. " Comme cela, on sera plus à l'aise".Elle ne dit rien. Elle était allongée à coté de moi, la tête posée sur ma poitrine et pendant qu'elle prenait ma queue dans sa main je pouvais caresser son visage et passer mes doigts dans ses cheveux courts. C'était encore meilleur que d'habitude et mes reins allaient et venaient à la rencontre de sa main qui faisait merveilleusement glisser ma peau le long de ma queue. Maintenant, elle prenait elle même les initiatives et alternait rapidité et amplitude quand elle me sentait près à partir. J'appuyais de temps en temps sur sa tête pour l'inciter à me prendre dans sa bouche mais rien à faire, elle résistait.
Apres un bon quart d'heure de ce traitement j'étais au bord de la jouissance.
"Ca y est, ça vient, accélère, serre plus fort, oui comme ça, continue et t'arrête surtout pas". J'avais pris sa tête dans mes deux mains et je me cabrais de plus en plus.
"OUI, OUI, je jute, continue, encore, encore, encore…….".
Mes premiers jets étaient si puissants qu'ils passèrent par dessus la tête de ma mère que je maintenais fermement. Les suivants engluèrent ses cheveux et son visage. Malgré tout, elle continuait à me masturber magnifiquement comme pour me retirer jusqu'à la dernière goutte. Je l'ai alors allongée sur le dos et me suis penché sur son visage souillé de mon plaisir. Elle en avait partout, cette vision m'a presque fait rebander. Autour de sa bouche, des filaments descendaient doucement dans son coup. J'ai pris son visage dans mes mains et l'ai embrassée tendrement.
"Tu es merveilleuse, maman, tu peux pas imaginer le plaisir que tu me donnes, laisse-moi te faire jouir aussi, s'il te plait.
" Non, n'insiste pas, je trouve que l'on va déjà trop loin. Maintenant, laisse moi, il faut que j'aille me laver".
Je ne dis rien et la regardai quitter ma chambre, triste de ne pouvoir lui rendre le plaisir qu'elle me donnait. J'étais sûr qu'elle se masturbait après chaque séance du matin.
Le lendemain matin, j'attendais avec impatience son entrée dans ma chambre. Elle entra, posa le plateau sur la table et se baissa pour me faire un petit "bisou du matin "comme elle disait. Tout en se baissant, sa main rampa sous les draps pour attraper ma queue qui n'attendait que cela. "Toujours prêt, à ce que je sens " dit-elle avec un merveilleux sourire. En rigolant, je la basculais et me retrouvais sur elle, une jambe entre les siennes qu'elle referma immédiatement. "Non dit-elle sois sympa, on était d'accord ". "Oui OK, OK, mais moi aussi je voudrais te faire jouir". En disant cela, mes mains ne restaient pas inactives et pétrissait sa superbe poitrine. Je sentais ses tétons durcir. "Arrêtes, tu vas finir par m'exciter et je ne veux pas " dit elle en me repoussant.
" Bon occupons nous de la bébête maintenant". Elle était comme hier, la tête posée sur ma poitrine et sa main qui caressait mon sexe exacerbé d'attendre. Je caressais son visage, ses cheveux et malgré ma promesse, une de mes mains s'égara dans son corsage. Que ce sein était doux et moelleux, il se laissait sculpter par mes doigts impatients qui le périssaient avec ferveur. Ma mère essaya timidement de retirer ma main mais la laissa bientôt libre de jouer avec ce sein merveilleux de douceur. Son téton était dressé comme un petit pénis et je ne doutais plus qu'elle devait mouiller de désir. En même temps, j'essayais d'amener sa bouche vers mon sexe tendu.
"Je t'en prie, maman, j'ai trop envie, prends moi dans ta bouche s'il te plait, s'il te plait ". Petit à petit sa respiration s'accélérait et je sentais sa tête glisser ostensiblement vers mon ventre.
" S'il te plait, j'ai trop envie, suce moi s'il te plait ". En disant cela, je m'arquais le plus possible pour approcher ma queue de cette bouche qui se dérobait toujours. Je ne reposais que sur les talons et les épaules. J'appuyais de plus en plus sur sa tête qui se rapprochait inexorablement de mon sexe. Je ne caressais plus ses seins, je les malaxais et elle ne disait rien. Seuls quelques gémissements très discrets s'échappaient de ses lèvres. Et là, le miracle, je manquais de décharger de suite, une langue agile tournoyait autour de mon gland. Celle langue virevoltait et me donnait des frissons partout. Alors j'appuyais fermement sur cette tête chérie et je sentis ma bite s'engouffrer dans un puits de velours. C'était fou, ma mère me suçait divinement. Elle enfonçait mon sexe le plus profond possible et le ressortait avec des dégauchissements à faire jouir un moine. C'était une déesse du sexe. Elle se mit à genoux pour être plus à l'aise et se mit à me pomper avec frénésie. Je voyais son visage, les yeux fermés, monter et descendre sur mon sexe. Sa salive coulait et poissait mon bas ventre. De temps en temps, elle ralentissait et tout doucement engloutissait mon sexe, sa bouche était déformée par la grosseur de ma queue et puis elle remontait lentement, laissant ma bite luisante de salive. A un moment elle leva les yeux et me regarda en souriant. Elle quitta mon sexe et des filaments restaient tendus entre sa bouche et mon sexe. Cette vue manqua me faire juter. Elle ré enfourna ma bite et se mit à me sucer à une vitesse telle que je suis parti en criant : "OUIIIIIIIIIIII!!!!
Je lui tenais la tête et je remplissais sa bouche qui continuait malgré tout de monter et de descendre sans en perdre une goutte. Elle dut quand même ouvrir la bouche car la quantité était telle qu'elle ne pouvait tout garder. La vision de cette bouche laissant échapper mon sperme épais le long de ma bite restera à tout jamais dans ma mémoire. Une fois complètement vidé, j'ai pris son visage dans mes mains, l'ai approché du mien et ai embrassé tendrement ma mère. J'ai bien sur essayé de l'embrasser sur la bouche mais elle a tourné la tête. Elle avait encore du sperme dans la bouche mais ne voulait visiblement pas l'avaler, aussi elle le recracha discrètement dans les draps. Puis elle m'embrassa doucement et me dit :" Jure moi que tout cela restera à jamais entre nous, que jamais personne ne le saura, jure le moi".
" Je te le jure, maman ".

 

La suite très bientôt si elle vous intéresse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 19:01

  Mais qu'est ce qui leur a pris aux parents de fabriquer ce chiare? Moi je demandais rien à personne et surtout pas un mouflet qui va venir
m'emmerder et me pourrir ma vie tranquille dans cette famille bourgeoise
et sans histoire aucune. Ils sont débiles ou quoi? pour se replonger dans
les histoires de couches à changer et de biberons en pleine nuit! Après
être sorti d'affaire avec moi qui ai maintenant seize ans et me
débrouille très bien seul, je ne vois vraiment pas pourquoi ils ont fait ça.
Sans doute la peur de vieillir qu'éprouvent certains bipèdes quand ils
approchent de la quarantaine comme papa. Maman elle, elle frise les trente
cinq. Jusqu'ici, elle vivait sa petite vie bourgeoise entre le tennis et
le shopping et les thés pris entre copines chez l'une ou chez l'autre. Une
vie confortable et sans souci quoi, très bourge, très aisé très con aussi,
mais c'est un autre problème.

Depuis que je sais que maman est en cloque je ne décolère pas, je fais la
gueule carrément. J'ai l'air de quoi dans ce tableau? Les potes à l'école ne vont pas tarder
à me faire des réflexions du style " tiens, ta mère est enceinte? à son
âge, tu vas avoir un petit frère ou une petite sœur, veinard va! " ou
encore plus cru "elle est en cloque ta vieille?!!! " ou bien plus ironique : " ils s'embêtent pas tes parents on dirait! dis donc, qu'est ce qu'il lui a mis ton père! " Je sais que certains n'hésiteront pas à mettre en doute la paternité de mon père en prétendant qu'à cet âge
c'est souvent un autre qui est le vrai père. Bref je devrai passer par
toutes sortes de réflexions et ça j'ai du mal à l'admettre, d'autant plus
que je n'ai pas envie de me mettre tout le monde à dos, peinard je vous
dis, peinard, j'ai pas besoin d'embrouilles.

Ils sont gagas depuis qu'ils savent. Mon père est aux petits soins avec
maman, il lui épargne tout ce qui est pénible à la maison, il fait le
ménage. Il m'énerve et je préfère prendre la tangente quand il est là.
Heureusement c'est pas souvent, papa est du genre businessman, toujours
sur la brèche et par monts et par vaux. Il est rare qu'il soit là en
semaine, toujours entre deux avions et deux fuseaux horaires. Maman n'a
qu'à se la couler douce pendant ce temps, c'est pourquoi j'arrive pas à
comprendre cette sorte de cata qu'ils m'ont tricotée sans rien me dire.

Remarquez, ils n'avaient pas à me demander la permission pour faire leur
connerie, mais quand même, s'ils m'avaient demandé avant j'aurais mis mon
veto. Mais c'est trop tard, maman est enceinte et il n'y a pas à y
revenir. Elle sent bien que je fais la gueule, ça la chagrine. Elle essaie de
rattraper le coup mais je me dérobe pour montrer mon hostilité, je me
tire, je fous le camp, m'éloigne de cette baraque. S'ils veulent pouponner qu'ils le fassent sans moi. Mais je sens que maman ça la rend triste mon attitude, elle sent bien
qu'ils ont gaffé et qu'ils auraient du me demander. Elle fait des approches, me sourit et essaie de me parler dans les coins. Rien à faire, je m'esquive et je fuis. Je la trouve et peu con avec son ventre qui n'arrête pas de grossir, ses seins qui ont gonflé et doublé de volume. Fini le tennis, pas question de courir après la petite balle avec son gros bidon, elle sort moins aussi et reçoit davantage ses copines piaillantes et hystériques à l'idée que maman soit enceinte. Je ne vois pas ce que ça leur apporte à elles, mais elles sont toutes excitées comme des puces,
j'en sais même qui sauteraient bien le pas pour emboîter le pas à ma mère
et se faire-faire un gosse elles aussi. C'est contagieux comme état et ça
provoque des confidences, car j'ai beau fuir, je ne suis pas très loin, à
portée de voix pour entendre ces dames se plaindre de leurs maris dont
l'ardeur au lit faibli. Elles voudraient bien elles aussi se faire-faire
un petit avant que n'arrive la quarantaine, enluminer leurs vieux jours
par des babillements juvéniles, mais monsieur ne veut pas ou bien il est
trop fatigué d'avoir gagné trop de pognon dans la journée, ou d'avoir déjà
eu ce qu'il voulait avec sa secrétaire si dévouée. Elles savent tout ces
dames! j'en suis sur le cul, même les coucheries de leur maris. Elles
devinent, instinctivement et connaissent leur bonhomme sur le bout de
leurs doigts mani-curés. Remarquez, elles ne sont pas en reste coté sexe, c'est pas les galants qui manquent surtout que généralement elles sont bien balancées les mémés, je
le sais, je matte, je vois leur corps encore bien roulé et leurs cuisses
bien fuselées quand elles sont assises sur notre canapé profond. J'en ai
même vu qui me montraient plus que je n'aurais du voir.

Bon, je m'éloigne du sujet. Maman fait des efforts considérables pour me
rattraper par la manche, elle me fait mes plats préférés mais j'y touche à
peine. Elle m'achète des fringues, des baskets, des trucs et des machins.
Quand je suis dans ma chambre, elle vient me voir et me prend dans ses
bras. Elle me colle contre sa poitrine volumineuse, je m'enfonce là dedans
comme dans un édredon. C'est doux et dur à la fois, si elle continue elle
va me faire bander. Tiens c'est fait! je me paie une gaule pas possible,
j'essaie de me retirer mais elle me tient fermement contre elle, ma frime
s'imprime dans ses nichons, merde, j'étouffe entre ses roploplos rebondis.
Je voudrais respirer, remonter à la surface, temps pis j'y mets les mains,
c'est ma survie qui en dépend. Je prends le sein de maman dans ma main et
je masse pour me donner de l'air. La vache c'est bon cette chair
élastique, maman ne dit rien et sent bien que je manque d'air, elle
relâche son étreinte et me laisse respirer, mais ma main est toujours à la
même place, je ne peux me défaire de cette sensation voluptueuse. Maman me
sourit toujours, je la regarde, ma main palpe son sein gonflé, c'est dur
et tendre, drôle de sensation. Je sens que je rougis à vue d'œil,
l'émotion, ma bite est dure dans mon pantalon, voilà que je bande pour
maman maintenant!

Ma main joue toujours avec son sein, j'en palpe la rondeur et je sens le
téton qui durcit à chaque fois que je passe ma paume sur lui. Le sourire
de maman se fige un peu, elle prend ma main et arrête le mouvement qui
était le mien. Elle glisse ma main sur son ventre rond et me fait caresser
la rotondité de son abdomen. Je suis fasciné et me laisse faire, son
ventre est dur et plus rond que je ne l'imaginais. Elle est enceinte six
mois mais je n'ai jamais touché un ventre de femme enceinte. Ma main se
promène sur son ballon, de gauche à droite j'en prends la dimension, et de haut en bas aussi, ma main glisse sous son nombril jusqu'au pubis. Je la
regarde dans les yeux, elle est troublée je le sens. Moi j'ai peu
d'expérience féminine, juste quelques attouchements au bal de l'école, une
main dans la culotte pendant un slow, peu de chose. Mais je sais ce qu'est
une chatte de femme! Ma main glisse toujours, j'ai envie de voir jusqu'où je peux aller sans me faire rabrouer. J'ai la main sur la chatte maintenant, carrément, maman
réagit enfin et se recule un peu " voyons Fabien! ". Je me lève et je
prends sa main pour la mettre sur la bosse qui orne mon pantalon. Maman a
rougi violemment mais sa main reste où je l'ai mise. " Je ne savais pas
que je te faisais cet effet " me souffle-t-elle. Je ne réponds rien,
l'instant paraît si irréel. Je tends les bras vers elle et la prends dans
mes bras. Je ne sais plus ce que je fais, j'ai envie d'elle et elle ne se
dérobe pas. Je sens son ventre qui repousse le mien, ses seins qui
refoulent ma poitrine et je l'embrasse dans le cou . " Non! Fabien! " mais
elle ne bouge pas quand mes mains se promènent sur son dos de ses épaules
à ses fesses. J'embrasse furieusement ses épaules alternativement et avec
fougue. Mes mains palpent le bas de ses reins, ses fesses sont fermes, je
sens la culotte qui glisse sous mes doigts. J'ai remonté la robe de
grossesse et je flatte la chair nue, je suis passé sous son slip et je
masse ses globes fessiers. Maman halète dans mes bras, surprise par mon
attaque soudaine, elle ne bouge plus et se contente de temps en temps de
murmurer " Fabien! " d'un ton de tendre reproche et de surprise.

Je ne m'arrête plus, sa robe remonte entre mes mains, j'ai défais la
fermeture dans le dos et le vêtement glisse sans difficulté par dessus ses
épaules. Maman est en soutien gorge noir, sa culotte est assortie, mais ce
qui me fascine le plus est ce ventre proéminent qu'elle pousse devant elle
comme un trophée. J'en prends plein les yeux: son ventre gonflé, ses seins
dardés comme des obus. Je perds un peu les pédales et je me précipite pour défaire l'agrafe du
soutien gorge, je le lui arrache plus que je ne l'enlève. Les seins
bondissent vers moi, leurs auréoles sombres et les tétons durs et
saillants. Maman me regarde, vaguement apeurée alors que je me rue sur ses
seins et embouche un téton que je me mets à téter furieusement. " Fabien,
Fabien, mon chéri, qu'est-ce que tu fais, oh Fabien! qu'est-ce que tu
fais! ", Je n'écoute plus, je tète ma mère tandis que mes mains s'égarent
sur son corps. Je sens bien qu'elle n'est pas contre, que ça lui fait du
bien, mais il y a le poids du qu'en dira-t-on, si ça venait à se savoir,
l'infamie de l'inceste, la honte perpétuelle d'avoir fauté avec son fils.
Elle résiste et se tortille tandis que ma main fouille sous sa culotte, je
suis dans la jungle chaude de sa toison. Vache! elle est fournie maman,
c'est dru et serré, mes doigts naviguent au radar à la recherche d'une
grotte probable que je n'arrive pas à situer encore. Elle a beau balancer
des " non! " sans trop de conviction, je lui fouille la foufoune et je
parviens à l'entrée de sa case au trésor. C'est chaud et humide, je glisse mes doigts le long de sa fente poilue, elle essaie de se soustraire mais je persiste dans mon attouchement. Je
sens à sa respiration saccadée que je lui fais du bien, elle a envie mais
elle ne veut pas encore l'admettre. Je la pousse sur mon lit où je l'allonge. Elle proteste « Fabien ne fait pas ça, non Fabien! » mais je n'en ai cure je continue mon exploration,
j'ai ouvert les grandes lèvres de son sexe et je masse son clitoris érigé
et dur sous mes doigts, une vraie petite bite et qui bande. Il me plait ce
petit bout de queue et je le titille entre mes doigts agiles. Je sens que
maman ne va pas tarder à partir au septième ciel car elle halète sous mes
caresses. Sans prévenir la voilà qui se raidit, elle me tend son bas ventre
et se met à râler un son de gorge que je ne lui connaissais pas. Elle
donne des coups de reins dans le vide et pousse un cri aigu en agitant la
tête de tout coté, je viens de faire jouir ma mère.

Sans plus attendre je lui arrache sa culotte, le tissus craque et le bout
de dentelle choit sur la moquette. Maman a poussé un cri de surprise. J'ai
défais mon pantalon et fais glisser slip et pantalon à mes pieds. Le tout
rejoint le slip de maman par terre. Ma queue est triomphante, bandée à mort, pleine d'un sang fougueux qui bat à mes tempes. Je suis à genoux auprès du lit et j'attire maman au bord de celui-ci, cuisses ouvertes et pendantes de part et d'autre de moi. Son ventre bombe
en face de mes yeux et ses seins sont érigés vers le plafond. Elle geint
encore en balbutiant des " non, non, non " mais sans vraiment opposer de
résistance. J'ajuste sa fente au bord du lit et guide ma queue à l'entrée
de sa grotte. Elle a un dernier recul mais je m'y attendais, je la tiens
par les hanches et je donne un coup de reins. Mon gland a franchi le seuil
de sa chatte, ma chaleur rejoint la sienne, c'est une délicieuse
sensation, tout est humide et chaud, ça glisse sans peine et le second
coup de reins me propulse au fond de son vagin. Tout son corps se raidit et
ses muscles se contractent autour de ma queue comme dans un dernier refus
mais c'est trop tard me voilà dans son ventre profondément entré dans sa
chatte. Maman semble prise de panique, " non, Fabien, il ne faut pas!
retire-toi, non, mon enfant ne fait pas cela! non, retire-toi! " mais
autant siffler dans un violon, je suis là, j'y reste. Et mieux encore je
me mets à aller et venir dans le vagin chaud de maman. Je pistonne sa
fente et mes mains prennent possession de ses seins, je masse ses doudounes
fermes et élastiques, je titille les mamelons, je les étire, les torture,
les fais se dresser, en un mot j'excite ma mère. Elle réagit, ne proteste
plus, elle a fermé les yeux et se laisse faire en gémissant de plus belle.
Je la fouille de ma queue bien plantée en son ventre je pistonne comme un
fou et sans plus tarder je sens monter du fond de mes couilles la liqueur
bouillonnante que je ne peux contenir.

Je jouis sans retenue, je me vide littéralement, le sperme gicle de ma
queue furieusement en saccades que je ne peux ni ne veux réprimer. Cela
dure un temps que je ne peux évaluer, mais je sens ma semence couler par
vagues et envahir le vagin maternel, je suis fasciné par le spectacle de
cette bite qui a chaque soubresaut envoie dans la cavité maternelle des
quantités de sperme qui s'écoule tout autour dans la toison sombre de sa
chatte. Maman a été surprise par ma décharge abondante, elle pousse de petits cris
à chacune de mes éjaculations et se met à jouir à son tour. J'ai la bite encore dure et je suis resté en elle. J'ai pistonné à nouveau dans la glue de sa fente et nous avons joui encore une fois. Longtemps après, maman s'est relevée péniblement, assommée par son
aventure. Elle s'est rhabillée et j'ai fait de même sans un mot. Elle est
sortie de ma chambre et j'ai entendu la douche fonctionner. J'étais pas très fier de moi, comment maman allait-elle réagir? Je n'ai pas longtemps
à attendre, après sa douche elle est revenue dans ma chambre en peignoir
et elle s'est assise sur mon lit. Elle me souriait, c'était plutôt bon
signe, ça m'a rassuré. "Tu sais Fabien je crois que nous avons pris beaucoup de plaisir l'un et
l'autre, je voulais te dire que si tu le veux nous...., enfin, tu vois ce
que je veux dire? "Si je voyais!! quel soulagement! Bien sur, mais comment donc, mais oui maman, quand tu veux. Et nous avons recommencé, tous les jours quand papa n'était pas là. Elle m'a appris des trucs ma maman, des choses qui ne sont pas dans les livres,
en tout cas pas dans les livres scolaires. Elle m'a sucé la queue, m'a
fait jouir dans sa bouche, j'ai pistonné sa fente jusqu'à l'épuisement et
enfin quand elle a été trop grosse pour que je la prenne par devant, je
l'ai prise par son œil de bronze. La, je l'ai dépucelée, papa ne s'était
jamais aventuré dans les coins sombres, très bourge, même dans la baise.
Elle a aimé maman, en a redemandé et a trouvé pratique dans le fond, pour
éviter les grossesses. Hé oui ma chère maman, c'est comme ça que font les femmes qui n'ont pas de contraceptifs! Elle m'a parlé de ses copines, il paraît que Gislaine voudrait bien un
enfant mais son mari..."comprends-tu? ". Oui très bien! "Amène-moi Gislaine "

Enfin, maman et moi sommes devenus complices sur bien des choses et notre
univers a bien changé sans que papa ne soupçonne quoi que ce soit. Juste un petit contretemps, après son accouchement nous avons continué à
baiser ensemble, mais nous avons du manquer de prudence, être trop pressés
de reprendre nos frasques et maman est enceinte à nouveau.

 

Chers lecteurs, le site nouveau est entrain de se faire

 

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Par maxime - Publié dans : incestueux
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Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 18:41

Mon jumeau ne me prend pas qu'en photo...

Merci Maxime pour ta confiance et merci pour les conseis que tu me donne tu es vraiment charmant comme gars. ça me donne envie de te rencontrer. si tu le veut... je veux dire aux lecteur que c'est bien moi que vous voyez sur ses deux photos et je vous laisse lire mon témoignage bisous...

 

Les jumeaux 

Je me tenais assise sur mon lit en petit short de dentelle bleu ciel avec le soutien gorge assorti. Le portable dans la main où le numéro de mon frère jumeau était inscrit (j’ai trois minutes avant lui) j’étais prête à l’appeler car on avait commis quelque chose d’interdit…
On venait de fêter nos dix huit ans ensemble avec des amis en boîte de nuit, nous avions tous un peu bu pour l’occasion et lorsqu’en fin de soirée, les slows défilaient sur la piste envahie de fumée. Au bout du quatrième slow (Withney Houston), nos amis tapaient des mains en motivant mon frère à me faire danser et en dix secondes, on se retrouvait bras enlacés au milieu de la foule. J’étais toute heureuse qu’il m’invite car on n’avait jamais dansé ensemble, j’avais mis mon pantalon moulant blanc qui ne cachait pas un centimètre de mes fesses en forme de grosse pêche par rapport à mon petit corps. Mon frère m’avait déjà taquinée là-dessus à la plage dans mon bikini, j’avais mon tout petit débardeur rose qui laissait voir clairement mon soutien gorge bleu ciel. Mes cheveux châtains blonds laqués tombaient sur mes épaules .Mon frère était en simple jean’s et chemise blanche, il me dépassait de dix centimètres, nous ne dansions pas très collés car mes seins étant assez gros tendaient tous les tissus que je portais et par respect on n’osait pas se coller. Pour vous dire, mon cœur martelait d’avoir mon frère dans les bras, on ne disait rien quand par mégarde d’autres danseurs occupés à s’embrasser passionnément nous bousculaient. Mon frère et moi nous sommes retrouvés soudain torse contre torse, ma poitrine était écrasée sur lui, on se regardait bêtement en ricanant car les danseurs continuaient à nous pousser. Nos mains avaient automatiquement pris leurs positions de deux amoureux et je me souviens de sa voix dans mes oreilles, et le contact de sa bouche dessus car il voulait que j’entende bien.
« Vaut mieux qu’on reste comme ça, sinon je vais te les abîmer à force de nous bousculer »
Après sa remarque, on avait regardé tous les deux en direction de ma poitrine comprimée sur lui pour se regarder d’un air d’évidence en haussant nos paupières et je me soulevais sur la pointe de mes talons vers son oreille
« Ils sont trop gros, je suis désolée »
Et en faisant se rapprochement, j’ai pu sentir son parfum très masculin qui m’en faisait perdre la tête. Et il me parlait à son tour en se baissant entièrement, cela faisait glisser son torse sur mes seins et me créait une sensation que je ne devrais pas avoir avec mon frère.
« T’es folle, ils sont super, si j’avais une copine avec des engins comme çà !!! »
Ces mots me gênèrent car c’était mon frère et je me penchais en arrière en fronçant les sourcils. Je lui souriais en hochant la tête d’un air bête pendant que ses mains tenaient fermement ma fine taille dénudée pour ne pas tomber. Le slow se finissait mais on ne voulait pas se quitter et l’autre slow (Sandy, j’ai faim de toi) faisait mettre tout le monde sur la piste, la fumée blanche nous recouvrait tous et je voulais le complimenter à mon tour. Je lui agrippais les épaules en le forçant à s’abaisser et à m’écouter car il matait les filles sexy autour de nous et surtout une en minijupe noire avec talons aiguilles et bas noirs résilles, cela me rendait un peu jalouse car j’aurais voulu m’habiller comme ça, mais il y avait mon frère…
« Tu sens bon en tous cas, c’est bon pour un mec, tu pourrais te la faire»
Il me regardait à son tour en se penchant en arrière et je lui montrais la fille en minijupe d’un hochement de tête et il se penchait vers moi d’un air sérieux
« Quelle pétasse quand même ! »
Je lui répondais aussitôt
« J’ai la même à la maison, mais je ne l’ai jamais mise »
Choqué de ma réponse, il se plaçait face à mon visage en s’excusant
« Oh pardon, j’savais pas, j’suis désolé, euh, sur toi c’est pas pareille »
Je lui souriais au maximum en le rassurant
« Tant que vous l’avez pas dans votre lit, ça critique, ah les mec !!! »
Nos regards changeaient de tournure et je l’imaginais entrain de baiser cette pétasse en compressant mon frère dans mes bras fragiles, la fumée nous recouvrait à nouveau et il se penchait dans mon cou
« Ton parfum est vachement femme aussi tu sais »
Et j’avais pu clairement sentir un doux contact de ses lèvres sur mon cou puis il me serrait à son tour en faisant écraser ma poitrine sur lui et je lui chuchotais
« Et t’as vu, elle a des petits seins par contre »
Et je lui plantais un doux baiser dans son cou en tapotant mes doigts sur son dos, on était soudé l’un à l’autre, son menton était posé sur mon épaule et il me murmurait
« Et elle n’a pas un cul en forme de grosse pêche ! »
Je rigolais en plaquant mon front sur son épaule, la fumée nous aveuglait, quand soudain ses mains malaxèrent mes fesses durant deux secondes .J’étais vraiment surprise, je ne riais plus et j’entendais
«Une pêche bien ferme en plus !!! »
Je lui empoignais ses fesses à mon tour et le tâtais
« Toi aussi, elles sont fermes, ça va petit frère »
Il n’aimait pas le mot (petit) car j’étais née trois minutes avant lui et il me grondait
« Tu veux que je te montre si je suis petit ? »
« Ouais vas-y petit »
Il me posait son front sur le mien tout en me regardant et me plantait un bisou sur le nez, puis je levais mon menton et il me plantait un autre bisou sur les lèvres et je lui disais encore
« T’es petit, tu vois »
Et là, il me plaquait ses lèvres sur les miennes en essayant de rentrer sa langue et quand elle a touché mes dents, je lui prenais les mains et les posait à nouveau sur mon cul. Je laissais passer sa langue à la rencontre de la mienne en fermant nos yeux.
On se mangeait la bouche aussi profondément que possible à en saliver sur les coins de nos lèvres, mes mains tenaient sa nuque et les siennes me palpaient les fesses si dures que je m’en souviens encore. Il avait passé sa jambe entre les miennes afin de me frotter la chatte avec sa cuisse et cela me faisait sentir son sexe vraiment dur sur ma hanche. Je ressentais en exagérant, le rouleau à pâtisserie de notre cuisine. A se contact interdit, il me baisait la bouche encore plus durement en m’empoignant le cul pour me soulever du sol, et je m’étais mise à frotter mon entre cuisses sur lui en pressant ma cuisse sur ses couilles. On se perdait dans ce baiser fraternel. Et heureusement qu’un couple tout aussi passionné que nous, nous bouscula par mégarde avant la fin du slow car cela nous fit reprendre conscience de notre péché.
On se lâchait aussi surpris l’un que l’autre. Je le voyais chercher quelque chose à dire, mais je lui posais mon doigt sur les lèvres afin de lui enlever nos salives mélangées. En clignant l’œil, je lui prenais la main pour aller vers le bar en se faufilant dans la foule. Je m’adossais au comptoir en me rajustant le short en dentelle qui était rentré dans ma raie et me penchant à son oreille :
« T’as failli m’arracher les fesses, je dois être toute rouge »
Il me regardait confus
« J’suis désolé, j’sais pas ce qu’il m’a pris »
Il était vraiment gêné, enfin, cela était plutôt le fait que je sois sa soeur et je le rassurais
« Je suis tout aussi responsable, on en reparlera, j’espère qu’on nous a pas vu »
Et il me rassurait à son tour
« Non il y avait trop de fumée, t’inquiète pas »
Je le sentais plus confiant et je lui passais discrètement la main sur son sexe encore légèrement tendu dans son Jean’s en prenant la direction de nos amis
« T’es calmé, c’est bon, viens on retourne là-bas »
Mon frère me retenait et me dit
« On rentre ensemble ? »
Je lui refis face en lui disant
« C’est ça, on rentre à pieds, on est venu avec nos amis, on n’a pas de voiture et nos chambres sont entre celle de nos parents.Tu réfléchis plus ou quoi ? »
Je lui faisais un air timidement dégoûtée, je le voyais me mitrailler les seins du regard
«Arrête, tes yeux vont sortir de ton cerveau »
Je l’avais encore bien allumé sans le faire exprès et je partais vers nos amis. Je pouvais sentir ses yeux sur mon cul comme des rayons lasers. Il avait les mains dans les cheveux avec un gros souffle formé par ses joues ; je lui sortais la langue aussi loin que possible en le narguant de mes mains sur mes fesses. Je pouvais sentir d’autres yeux inconnus sur notre petit jeu. On a fini le reste de la nuit sans se parler mais en se piquant du regard et surtout nous n’avions plus bu d’alcool afin de garder la salive de l’autre dans notre bouche.
Nos amis nous lâchaient devant chez nous en n’ayant aucun doute, nos parents n’étaient pas encore couchés car on voyait de la lumière. Mon frère m’enlaçait la taille tout en marchant vers la maison
« Arrête, on peut nous voir, t’es fou ou quoi ? »
Il me lâchait aussitôt comme si il avait mis la main sur le feu, malgré que j’aurais bien voulu qu’il la laisse ; je lui disais
« Je t’appelle quand on est dans nos chambres d’acc ?Grand frère !!! »
Il me lâchait un sourire d’enfant ravi
« D’acc P’tite sœur »
Voilà donc notre baiser interdit, qui m’a fait retrouver assise sur mon lit en petite tenue, et qui m’a vraiment excitée. Je me demandais ce qu’il faisait et j’appuyais sur ‘APPEL’. Durant la recherche du réseau mon cœur martelait à toute vitesse et je mettais mise confortablement sur le lit ; sur le ventre en remontant mes pieds au plafond
Moi« Allo, c’est moi que fais-tu ? »
Lui« J’suis sur mon lit avec ta photo »
Moi« Ma photo, quelle photo ? »
Lui « Celle des vacances où tu es en maillot une pièce jaune »
Moi « Ah oui, celle-la, attends je vais prendre la photo de nous deux que maman a prise au parc Disney »
Lui « Tu m’as pas en caleçon de plage ? »
Moi « Et non désolé !!Mais tu fais quoi avec ma photo »
Lui « Je t’admire de haut en bas »
Moi « Hum j’imagine »
Il devait se masturber très dur car je l’entendais suffoquer par moment et cela m’avait fait envoyer ma main dans mon short pour me masturber à mon tour
Moi « Alors on fait quoi maintenant »
Lui « On baise par téléphone ? »
Moi « Humm, je voulais te le proposer »
Lui « Je veux te lécher ta pêche et l’ouvrir en deux »
Moi « Oooh, humm »
Lui « Je veux ton noyau aussi »
Il me rendait dingue, mes doigts passaient entre mes lèvres de chatte, on suffoquait au même rythme. J’entendais son poing battre son abdomen de plus en plus vite
Moi « Je veux sucer toute ta queue »
Lui « Hum, ouii,je peux venir dans ta bouche »
Moi « Non attends, je veux te sucer encore bien profond »
Je n’en revenais de mes paroles, j’étais en transe, j’avais cambré mes reins pour me pistonner la chatte à toute vitesse et mes jus coulaient abondamment
Lui « Je viens p’tite sœur »
Moi « Moi ausiiii »
Je l’entendais grogner mon prénom puis une bonne dizaine de « Harghumum » qui devaient rythmer ses tirs de sperme, cela me faisait jouir à mon tour en frissonnant de la tête aux pieds.
Ils ne restaient plus que nos souffles dans les portables quand soudain
Lui « J’en ai mis partout, j’ai jamais autant giclé !!! »
Moi « T’en a pas mis sur la photo j’espère? »
Lui « Oups je l’ai sur le ventre, elle baigne dedans »
Moi «Nettoie la vite, c’est un souvenir »
Lui « Ben viens la nettoyer »
Moi « Oh salaud, tu me nargues, y a nos vieux à côté»
Lui « Ok je te la pose dans la salle de bain sur le placard »
Moi « Pourquoi pas, va la poser de suite, je vais me doucher »
Lui « Ok bisous, c’était génial, à demain »
Moi « ouais, bisous à demain »
Je me suis enlevée la lingerie pour mettre mon peignoir et en sortant de ma chambre, je voyais mon frère fermer doucement sa porte. Dès que je me suis enfermé dans la salle de bains, je me suis jetée sur la photo. Elle était dans un petit encadrement avec une petite vitre, je ne distinguais plus mon image car une couche épaisse de sperme la recouvrait. Je me souriais à moi-même car vu la quantité, il avait sûrement tout giclé dedans et d’instinct, je m’étais mise à tout lécher en marmonnant son prénom. Après avoir tout léché comme une gourmande, je me voyais debout avec les mains sur les hanches en bikini rose avec mes gros seins dénudés. Je faisais les gros yeux en me disant que cette photo était celle de mon ex-ami.
J’étais étonnée qu’il ait cette photo et je lorgnais mon portable que j’avais prise et un texto de mon frère était arrivé :
JE LUI AI PRISE AU BAHUT, IL L’A MONTRE À SES POTES
Je lui répondais
MERCI, JE TE REVAUDRAI CA ET TON SPERME EST TRES BON
Sa réponse fut immédiate
JE ME DOUTAIS QUE T’AVALAIS
Je pensais me doucher quand un autre texto arriva
IL Y EN AVAIT +++ MAIS CA ECLABOUSSAIT QUAND JE VISAIS
Je lui répondis de suite ON SE RATTRAPERA.

A l’aube, mon portable vibrait sur mon lit, je m’étais endormie toute nue et je décrochais.
Lui« Bonjour, t’as bien dormi »
Moi « Mouais, ça va, et toi »
J’avais plutôt mal dormi car j’avais eu des rêves interdits avec lui
Lui « Je me suis réveillé au garde à vous »
Moi « Hum, j’imagine, au fait merci pour la photo que t’as reprise à cet imbécile »
Lui « De rien, de rien !! »
Je n’osais pas lui demander ce qu’il avait fait avec depuis trois mois car, cela était le temps de ma séparation, mais je me doutais du nombre de branlette à mon sujet et je me demandais encore comment était son sexe après ce qui s’était passé au club et vu la quantité de sperme dans le cadre.
Moi « Les vieux sont partis ? »
Lui « Non, il reste là toute la journée, on est férié et demain c’est dimanche »
Moi « Oh mince, j’ai oublié .Heu, qu’est qu’on fait alors ? »
Lui « J’ai réfléchi durant la nuit, on a qu’à dire qu’on est invité chez un ami ce soir pour une autre fête, et on file dans une chambre d’hôtel, qu’est-ce que t’en penses ? »
Moi « Whaou, bonne idée dis donc, la journée va être longue »
Lui « On partira vers quinze heures, j’en parle aux vieux »
Moi « On prend le bus alors »
Lui « Ben oui idiote, l’hôtel est pas tout près »
Moi « Ok préparons nous alors ! »
Lui « Ok bisous, à toute ! »
Je raccrochais en mijotant ma préparation, il fallait que je fasse une retouche sur mon épilation et je décidais de me tailler un petit cœur pour l’occasion. Mon frère et moi avions passé la journée à faire comme si de rien n’était et son plan fonctionnait à merveille.
Quand venait quinze heures, on partait à pied en disant aux vieux qu’on irait d’abord au centre commercial avant la fête. Je m’étais fringuée en Jean’s taille basse qui laissait voir une bordure de mon dessous (string rose) lorsque je me baissais, un polo noir, une veste courte assortie qui se tendait par ma poitrine, des chaussures compensées et ma queue de poney habituelle pour mes sorties aux commerces. Mon frère très classique en salopette et pull
Lui « Y a le bus qui arrive c’est bon »
Moi « Hé ben, c’est pas trop tôt »
A peine dans le bus, le chauffeur n’était pas le même, mon frère me tapotait les fesses
Lui « On pourrait faire du basket avec, c’est dingue »
Moi « Faut savoir en faire déjà »
Et je lui tirais la langue en me jetant dans un siège, il se mettait évidemment à côté de moi
Lui « J’commence à bander t’es vraiment bonne »
Moi « Ben attends on a rien fait »
Il me plantait un baiser auquel je répondais sans attendre. La route passa vite car on parlait, s’embrassait, ricanait et malgré la tente énorme dans sa salopette qui pointait au plafond du bus, j’ai résisté.
Moi « T’as mis un caleçon ou pas ? Ta salopette va se déchirer »
Lui « Ben oui, mais j’ai senti un bouton se casser »
Moi « Non il a du se découdre »
Lui « Oups plutôt ouais ! Je vais la coincer dans l’élastique »
Il se calait l’engin tout seul car si je l’avais touchée…
« TERMINUS »
Le chauffeur nous regardait sortir, enfin il matait mon postérieur et en bas des marches du bus,le bouton du caleçon de mon frère tombait et je l’ai vite ramassé .
Moi « Je te le recoudrais »
Lui « Ok merci frangine »
L’hôtel était à quelques minutes, il payait avec sa carte de crédit et à la porte de chambre
Moi « Attends, je veux te faire une surprise pour l’occasion »
Lui « Etre avec toi ici, c’est déjà une surprise »
Moi « Ouais mais j’ai mieux encore, laisse moi, je t’ouvrirai »
Lui « Hum ok »
Il devenait dingue, je me suis changée avec les habits que j’avais plié au maximum dans mon sac : Minijupe noire et bas noirs résilles.Je me suis admirée dans le miroir, j’avais gardé mon polo noir, j’ai retroussé la minijupe juste au niveau des bas et j’ouvrais la porte à mon frère
Moi « Voilà, j’suis prête »
Lui « Hoouuuaaaa »
Il avait mis sa main sur la bouche pour étouffer son étonnement et je tournais sur moi-même en détachant ma queue de poney
Moi « Alors, c’est mieux que cette nana dans la boîte ou je suis une pétasse ? »
Lui « Heu, t’es la plus belle femme du monde »
Il restait ébahi sur le seuil et moi je lui tendais la main
Moi « Allez rentre, tu vas prendre racine »
Je le plaquais à moi en refermant la porte à code de sécurité, on se retrouvait comme dans le slow mais avec cette fois personne autour.
Lui « On m’a jamais autant excité, je vais jouir sur place »
Moi « Mais calme toi, on n’a rien fait encore !! »
Cela était la première fois que je faisais ça à un mec, mais c’était mon jumeau, cela était différent. Et je lui chuchotais dans l’oreille
Moi « Tu as franchi la porte de l’inceste »
Il n’avait pas répondu ; il m’embrassait à pleine bouche en me soulevant par les fesses et j’enroulais mes jambes autour de lui. Il marchait délicatement vers le lit en me laissant astiquer mon entre cuisses toujours couverte de mon string rose sur sa queue plaquée dans ses habits et quand ses genoux butaient le lit
Lui « Calme toi, je vais venir dans mon futal »
Moi « Oh non attends, je la veux cette fois si »
Il me jetait sur le lit et je m’agenouillais devant lui. J’ôtais mon polo en gardant mon soutien gorge assorti au string rose, mes seins tendaient la dentelle, je constatais que mes tétons étaient plus gros et qu’ils dépassaient du soutif. Ma minijupe était remontée sur la moitié de mes fesses
Moi « Fait voir la source du jus de hier soir hummm »
Lui « J’te préviens ne pars pas en courant »
Moi « Pourquoi tu dis ça, j’suis pas une allumeuse »
Il avait la salopette à ses pieds, je me mordais la lèvre inférieur en agitant mon cul, mais son long pull tombait juste au dessous de ses couilles et quand il s’ôtait le pull
Moi « Whaou !!! Qu’est-ce que c’est que cet engin ? »
Lui « Et voilà, t’as peur comme les autres »
Elle était impressionnante et je suis certaine que je n’oublierai jamais cette vision.Je constatais que l’élastique de son boxeur comprimait environ le quart de son sexe. Mes yeux montaient le long de sa tige épaisse et très décalottée ; les veines étaient comme des racines. Il les contractait en même temps que je regardais sa colonne de chair en clignant des yeux et j’hallucinais de sa grosseur plus de sa longueur car son gland dépassait le nombril
Moi « T’es monté comme un cheval, putain !!! »
Lui « Peut être mais elles en ont peur »
Moi « Tu veux dire que t’as jamais couché ? »
Il rougissait et s’excusait
Lui « J’suis désolé, j’y suis pour rien, elle sont parties à chaque fois sauf une qui m’a branlé chez elle mais j’ai pas joui car je voulais la prendre et elle voulait pas avant le mariage »
Moi « Quel impatient alors ! Et elle ne t’a pas sucée ? »
Lui « Non elle voulait surtout pas »
Moi « Mon pauvre frangin, attends je vais pas te laisser comme ça moi »
Je prenais les côtés de son boxeur et le baissait à ses genoux, sa queue tombait sur mon visage, lourde, ses couilles étaient comme deux citrons pleins de jus
Moi « Humm, elle sent bon »
J’avais fermé les yeux et je la massais sur toute ma figure en palpant ses boules, le pré sperme me coulait dessus en me collant les mèches de cheveux qui se trouvaient là.
Moi « Hum je veux te sucer, hum »
Il me caressait les cheveux avec la main
Lui « Ouiii suce-moi, ma chériiie »
Moi « Mais si je la mets dans ma bouche, tu vas éclater ? »
Lui « C’est clair, j’en peux plus »
Je ne voulais pas qu’il éclate de suite alors je lui proposais un truc qu’il aurait voulu certainement faire en matant ma photo encadrée.
Moi « Tu veux baiser mes seins ? »
Lui « Oooh ouiiii,huumm »
Il était aux anges, je lui passais la langue bien enduite de salive sur toute la queue en dégrafant mon soutif.
Moi « Ca va être facile avec toi, elle est parfaite pour mes seins »
Il gémissait mon prénom en bougeant sa tête de plaisir
Moi « Attends, je vais m’asseoir sur le bord du lit »
Il s’empoignait la queue et me laissait m’installer en position.
Lui « Ils sont encore plus gros que sur la photo, c’est dingue »
Il se branlait à toute vitesse en me regardant et sa main en était devenue floue.
Moi « Calme toi, tu vas venir à ce rythme »
Son gland apparaissait et disparaissait avec du pré sperme qui fuyait.
Moi « Arrête toi et viens me les baiser »
Il reprenait son calme en avançant vers moi, j’avais mon buste tendu vers lui avec les mains de chaque côté de ma poitrine. Il s’enquillait comme dans un parc à vélo pour me baiser à fond
Moi « Baise-les ! Baise-les ! »
Lui « Ouiiii,ouiiii,ouiii »
Il me tenait par les épaules, sa queue coulissait parfaitement, ses boules giflaient mon ventre, son gland cognait sous le menton, ma salive lubrifiait le tout.
Lui « J’vais éclater, faut que je giiiicle »
Cela était en fait son premier rapport, il avait tellement fantasmé sur moi, il était trop excité, je lâchais mes seins en lui empoignant les hanches afin que l’on se mette sur le lit.
Moi « Viens, on sera mieux comme ça »
Il m’obéissait en se mettant à genoux au-dessus de mon ventre et nous reprenions la baise de mes seins encore mieux qu’avant.
Moi « T’es mieux là non ? »
Lui « Ouais putain c’est mieux, je vais pas tarder à gicler là »
Il m’avait inséré deux doigts en écartant mon string pour me limer très fort, j’agitais mon bassin au même tempo que lui qui limait mes seins.
Ses boules me frottaient le ventre,sa queue décalottée me survolait la figure en s’effleurant sur ma langue saliveuse qui récupérait tout son pré-sperme abondant que je sortais à chaque poussée pour l’exciter encore plus
Moi « Giiiicle giiicle »
Il commençait à tirer des jets puissants de sperme qui fusaient au dessus de mes yeux pour s’abattre sûrement loin de l’autre coté du lit et par la suite je lui empoignais fermement la queue de mes mains pour le traire et lui faire canarder ses giclées épaisses qui s’éclabousser en touchant mes gros seins
Moi « Putain ,y en à vraiment partout »
Lui « Et pourtant j’ai éjaculé hier soir »
Moi « Huuumm,je vais te rassurais mais les autres filles n’ont rien compris encore »
Je passais ma langue sur tout le contour de ma bouche car il avait du sperme partout
Moi « Huum c’est meilleur quand c’est plus chaud »
Apres un regard complice ,on s’était mis à rire ensemble et je me demandais si j’allais pouvoir la mettre entière dans ma chatte mais j’en était sur que dans ma petite bouche ,elle coincera…

Après ces ébats, mon frère me picotait la bouche de bisous en me remerciant d’avoir réalisé ce qu’il imaginait en matant ma photo. Je le poussais sur le lit en me relevant et agrippant les côtés de ma minijupe qui s’était retroussée, et malgré tout le sperme que j’avais sur le haut du corps mes yeux étaient intacts. Je pouvais constater qu’il y en avait partout et que les premiers jets copieux s’étaient écrasés sur le radiateur et coulaient sur la moquette.
Moi « Whaou ! T’as tiré comme un canon ma parole ! »
Lui « Normal, t’es une bombe sexuelle »
Moi « T’es gentil merci »
Je glissais ma jupe et le string en même temps à mes pieds, mon frère me regardait, surpris en voyant au milieu de ma partie non bronzée, ma petite chatte en forme de cœur châtain clair.
Lui « Oh t’es à croquer, t’es magnifique »
Moi « Merci, je l’ai fait pour toi »
Il avait repris sa queue dans la main en m’admirant et se branlait doucement. je me décalais légèrement en saisissant une serviette d’hôtel pour essuyer le sperme qui était sur mes seins. Je me voyais dans le miroir de la salle de bain ouverte, j’avais les cheveux et le visage couvert de sperme. La courbure de mes reins s’accentuait car je me cambrais pour saisir la serviette, mes fesses étaient très bombées et fermes, posées sur mes jambes très fines.
Lui « Hum, depuis quand tu bronzes en string petite sœur ? »
Moi « Oh j’te l’avais pas dit ! Avec ma copine, on le fait depuis cet été, dans un coin reculé »
Lui « Hum tu es vraiment sexy, tu pourrais poser dans les magazines »
Moi « Hum merci, et toi tu pourrais faire du porno »
Lui « Mais t’es une vraie cochonne ma parole ! »
Moi « Heu ben oui c’est notre signe chinois »
On riait bêtement, il se masturba à nouveau et à toute vitesse . Après m’avoir essuyée, en me lorgnant dans le miroir, je le rejoignais en sautillant.
Moi « Laisse moi faire p’tit frère »
Lui « Tu vas voir coquine »
Il me fessait si fort que sa main m’en faisait une marque toute rouge
Moi « Aie ! Hum ça m’apprendra alors !!! »
Lui « Si tu m’appelles encore comme ça, fessée !!! »
Moi « D’acc p’tit frère »
Il me giflait une seconde fois tout aussi fort et je lui agitais mon cul en guise de réponse. Je m’installais entre ses jambes et lui empoignais sa queue pour le masturber aussi dur que lui le faisait. Mes mains superposées en devenaient floues, elle était si grosse que je n’arrivais pas à l’encercler et elle était si longue qu’il aurait fallu au moins deux mains en plus. Je m’arrêtais quelque fois en lui comprimant la base et sa verge palpitait en même temps. Je sentais ses veines battre au rythme de son cœur, et quand son gland fuyant et décalotté changea de couleur, je l’astiquais aussi dur qu’avant. Et dans nos regards interdits :
Lui « Huuuummm, suce moi, suce moi »
Je lui gobais la tête de sa queue en ouvrant fortement la bouche et je le branlais en butant ma main sur mes lèvres, je vissais et dévissais de mes mains et de ma bouche son sexe qui n’allait pas tarder à éclater, puis je lâchais tout.
Moi « Je veux essayer de me la mettre »
Lui « Oh ouii, monte moi »
Je m’installais sur lui en posant un genou sur le lit de sorte que son gland frotte sur mes lèvres et mon clitoris.
Moi « Laisse moi faire d’acc, parce qu’elle est vraiment grosse »
Lui « Hum ouiii mets toi là ! »
Il avait saisi mes tétons en me les pinçant, cela m’électrisait et je me rentrais son gland en soufflant d’étonnement, puis un tiers coulissa en moi.
Moi « Whaou ! J’ai l’impression d’être pucelle »
Il ne faisait que gémir en regardant nos sexes se joindre, et il se mit à me titiller d’une main le clito qui était à la pointe de mon épilation et qui me faisait frémir à nouveau.
Lui « Ton cœur poilu va s’ouvrir en deux »
Sa plaisanterie nous faisait sourire et détendre à la fois et cela me faisait glisser la moitié de son sexe dans ma petite chatte serrée
Lui « Whaou elle rentrera pas, t’es serrée »
Moi « Hum, hum, j’suis pas serrée, elle est trop groooosse hum »
Je me limais délicatement sur la moitié de sa queue en posant mes mains sur son torse et cela comprimait ma poitrine vers sa figure. C’était impossible que je m’agenouille, alors je m’accroupis sur lui en montant et descendant sur son poteau.
Moi « Huummm, j’peux pas pluuuus huumm »
Lui « Baise moooii continuuuue hummm »
Il me pinçait les mamelons, je le baisais à mon rythme, mes jus coulaient sur le tiers de sa queue encore vierge. Je sentais son gland explorer en moi des endroits encore inconnus. J’ondulais sur lui tout en me pistonnant, il allait perdre le contrôle car il suffoquait de plaisir en marmonnant mon prénom.
Moi « Humuumm, on va changer de position, il vaut mieux »
Lui « Ouiiiiii, viens on change »
On s’installa facilement en missionnaire sans séparer nos sexes et j’envoyais mes jambes de chaque côté.
Moi « A toi maintenant, mais vas-y cool »
Lui « Ok p’tite sœur »
Je lui giflais à mon tour la fesse qui résonna dans la chambre
Moi « M’appelle plus comme ça aussi »
Et il continuait à m’appeler ainsi autant que je le giflais tout en me baisant de plus en plus fort
Moi « Baise moi, baise moiiii, baise ta sœur »
Il était concentré et il me pistonnait comme un fou, il me pénétrait encore plus, ses couilles commençaient à gifler le dessous de mes fesses, on avait la bouche ouverte et nous suffoquions de plaisir. On ne parlait plus, mes mains avaient agrippé ses fesses, sa queue m’empalait au plus profond de mon être, ses couilles s’écrasaient au fur et à mesure. Il me baisait de toute sa queue comme si il n’y aurait plus d’autres fois. J’étais affalée sous ses coups de bélier à haleter l’air et il s’arrêtait.
Lui « Tourne toi, ma chérie, mets toi à quatre pattes »
Moi « Huummm oohh, appelle moi chérie encore, j’adore »
Ils nous fallaient deux secondes pour que je me retrouve sur mes genoux, les reins cambrés avec les fesses en l’air et je le regardais par-dessus mon épaule.
Moi « Voilà ma pêche tu veux la croquer ? »
Il ne parlait pas et contemplait mon cul tendu avec la marque blanche du string en se masturbant doucement.
Lui « Tu as le plus beau cul du monde chérie, depuis le temps que je veux te le dire!!! »
Moi « Hum merci mais il va prendre froid si tu le laisses comme ça ! »
Et je lui faisais un air de chienne battue en agitant mon bassin.
Moi « Mets-la moi p’tit frère, mets-la, je t’en prie hummm»
Il me tapait sa queue dure sur les fesses en la passant sur la fente.
Lui « Je t’ai déjà dit, pas p’tit frère »
Je le narguais pour qu’il me baise car je bouillais d’envie et il installait son gland sur mes lèvres rouges gonflées et juteuses de nos premiers ébats. Je le piquais encore en me préparant.
Moi « T’as mon cul dans les mains p’tit frère, tu sais plus quoi faire ? »
Je me tenais prête à être fessée, mais il plongea d’un trait jusqu’aux couilles tellement fort que j’effondrais ma tête sur le lit et on ne bougeait plus.
Moi « Whaaaoooouufffffff, putain de diiiieu,hummm »
Lui « Et voilààààhhhhffff p’tiiitt sœur »
Et de là, il me giflait les fesses en me baisant violemment de toute la longueur de sa foutue queue qui me forait profondément le ventre. Dans la chambre résonnait nos bruits de baise, les fessées qu’il m’infligeait, nos râles incohérents et les sons de nos sexes juteux.
(Si nos parents étaient entrés, ils m’auraient vue pliée en deux sur les genoux, mes seins écrasés sur les cuisses couvertes de bas résilles noirs et les bras tendus en tapant des mains sur lit avec leur fils défonçant sa sœur jumelle qui rebondissait sur lui. Pour eux nous étions à une fête pour notre anniversaire).
Après quelques dix minutes insensées de baise animale, je distinguais, dans mes cheveux défaits par-dessus mon épaule, mon frère rempli de sueur avec ses mains agrippant mes fesses.
Lui « Ooooh j’vais jouiiiiir chériiiiiiiiiie »
Pour ma part, j’avais joui deux fois mais il n’avait rien vu. Je me dégageais de ses coups de butoir pour le faire éclater.
Moi « Viens dans ma bouche, mon cheriiiii »
Je m’installais en tailleur devant lui, sa queue était écarlate, couverte de nos jus et prête à exploser. Je lui posais le bout de la queue sur ma langue en agrippant ses hanches et je balbutiais.
Moi « Baise ma bouche, Baise là »
Surpris et terriblement excité, il m’attrapait la tête et baisait ma petite bouche qui tournoyait la langue comme elle pouvait. Il me limait avec la moitié de sa queue qui tapait le fond de ma gorge et quand je sentais les premiers filets de sperme me fouetter le palais, je lui empoignais la queue pour lui traire ses citrons qui se vidaient totalement dans mon gosier.
Lui « Waaooouuu, tu m’as vidée là !!! »
J’avais lâché son canon qui ramollissait dans ma bouche et qui se balançait entre ses cuisses
Moi « Humuumm je te l’avais dit qu’on se rattraperait »
On tombait sur le lit en s’entrelaçant les jambes et les bras.
Moi « On n’a pas déjà couché dans le ventre de maman ? »
Lui « J’crois que oui »
On s’éclatait de rire en s’embrassant à pleine bouche et on s’assoupit quelques heures tout en se caressant mutuellement.
Lui « Regarde, j’ai fait le plein miss playboy »
Moi « Hum, je l’ai senti aussi »
Sa queue avait repris sa taille énorme et elle pointait sur ma toison en cœur. On a passé le reste de la soirée à faire l’amour comme un couple expert. Nous sommes rentrés en taxi vers le milieu de la nuit complètement sur les rotules, et on s’écroula chacun dans son lit jusqu’au matin. Au petit déjeuner, nous étions encore tous à table, moi en pyjama comme mon frère et nos parents nous houspillaient.
« Ben, elle a du être arrosé cette soirée, faudrait voir la tête que vous avez ! »

« Et au fait pour la rentrée, vous devrez faire chambre commune pendant un moment car on n’a trouvé qu’une seule chambre universitaire »
Je faisais celle qui était déçue en protestant et en faisant du pied à mon frère sous la table.
Moi « Oh non, j’aurai pas mon intimité… ! »
Lui « Je sortirai quand tu le voudras, c’est promis p’tite soeur »
On se souriait mon frère et moi discrètement
D’un air complice, on s’envoyait des haussements de sourcils sachant les bons moments qui nous attendaient. La rentrée était dans un mois….

 

 

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Par maxime - Publié dans : incestueux
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