Partager l'article ! déchéance d'une mère de famille: Chapitre 1 Bonjour à tous. Agé de 22 ans, j’habite toujours chez Maman (eh oui !!!) et ...
Avril 2025 | ||||||||||
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Chapitre 1
Bonjour à tous. Agé de 22
ans, j’habite toujours chez Maman (eh oui !!!) et je dois avouer que je n’ai pas à m’en plaindre. Ma mère, Claire, divorcée depuis déjà 4 ans d’un mari plus que volage, vivait une sexualité que
je pourrais qualifier de négative.
Le jour où elle a découvert
que je me masturbais dans ses petites culottes, elle a complètement changé ! Celle que je prenais pour une femme réservée, se promenait sous mon nez en tenues plus qu’osées : guêpières,
soutiens-gorge pigeonnants, strings et autres accessoires de dentelle suggestifs. Mais comble de la lascivité, elle ne laissait rien paraître !
Un soir où je me branlais
comme un fou, suite à ce que j’avais pu voir au dîner, patatras, elle rentre sans frapper dans ma chambre ! Je suis flambant nu avec la main sur ma bite qui monte et descend. Elle porte, ce
soir-là, une robe de chambre fluide (oui même très fluide) et avec un regard un peu moqueur me demande ce que je fais entièrement nu en train de branler mon sexe. Je ne peux que finir par lui
dire que je fantasme sur une femme, bien entendu sans lui dire laquelle.
Elle s’avance et vient
s’asseoir sur le bord de mon lit. Compte tenu de la fluidité de son vêtement, les pans glissent dévoilant ses cuisses jusqu’en haut ainsi que son sexe rasé. Mes yeux ne peuvent se détacher de
cette merveilleuse vision et elle fait, à mon avis, semblant de ne pas s’en rendre compte.
« Peut-être, puis je t’aider
?
– Comment ça... ?
»
Elle ne répond rien, mais par
contre, c’est sa main qui répond. Elle enlève ma main et, de suite, la sienne prend place sur ma bite qui me semble gonfler. Elle commence des mouvements de va-et-vient, d’abord lentement, puis
de plus en plus rapidement. Ce traitement ne tarde pas à faire son effet et j’explose en jets épais qui giclent sur sa main, son peignoir et mon ventre. Sans me laisser le temps de réagir, elle
se jette sur mon pieu et l’embouche presqu’entièrement. Pendant ce temps, de façon totalement involontaire, ma main s’était placée sur sa cuisse découverte. Je la sentais frissonner tout en me
branlant.
Lorsque je vis ou était ma
main, imperceptiblement, je remontai vers sa fourche. Elle ne disait rien, bien que je sois sûr qu’elle en était consciente. Apres avoir extrait tout ce qui pouvait rester dans ma queue, elle
lécha sa main, puis mon ventre. Cette langue m’électrisait. Après un doux sourire et un petit bisou sur la joue, mais très proche de ma bouche, elle se leva et quitta la chambre.
Le lendemain matin, au petit
déjeuner, je descendis dans la cuisine, "en rasant les murs", Maman y était déjà en train de le préparer. Je m’installe donc à ma place habituelle en silence. De son coté, même silence ! Nous
déjeunons donc ainsi sans nous adresser la parole, mais chacun épiant l’autre. Je ne savais pas où me mettre après ce qui s’était passé la veille. Une fois terminé, je partis au salon et fit
semblant de lire une revue. Sur ces entrefaites, Maman y arriva aussi et vint s’installer près de moi.
« Que se passe-t-il, mon
Chéri ?
– Rien… !
– Je vois bien que tu n’es
pas dans ton état normal !
– Quel doux euphémisme, Maman
!
– Alors, dis ce que tu as à
dire, que je connaisse ton souci !
– C’est à cause d’hier soir
!!!
– Tu n’as pas aimé ce que
j’ai fait ? Tu es choqué ?
– Euh… !
– Bon, je vais être plus
précise, voilà quatre ans que ton père est parti avec sa secrétaire et comme tu as pu le constater, je n’ai plus, depuis ce jour, aucun homme dans ma vie, à part toi. Et hier soir, lorsque je
t’ai vu en train de te branler, je n’ai pu me retenir, car avant tout, je suis une femme !
.. Crois-tu que je n’avais
pas remarqué tes coups d’œil lorsque je me promenais en tenues légères devant toi ?
.. Eh bien, saches que j’ai
fait exprès pour déclencher une réaction de ta part !
.. Crois-tu que je
n’entendais pas tes râles lorsque je passais près de ta chambre et que tu te tripotais ?
.. Peux-tu me dire sur quoi
tu fantasmais en t’astiquant ta si belle queue ?
.. Il vaut mieux une réponse,
car nous ne quitterons pas le salon avant que je sache tout !
– Euh… !
– Ca n’est pas une réponse de
ce genre qui va me suffire !
– C’est difficile à dire,
Maman !
– Mais encore ?
– Je fantasme sur une femme
plus âgée que moi !
– Je la connais ?
– Oui, très bien même
!
– Une de mes amies, celles
qui viennent régulièrement à la maison ?
– Non, aucune d’elles
!
– Une collègue à ton travail
?
– Non plus !
– Vas-tu te décider à me dire
de qui il s’agit ?
– Euh, c’est-à-dire,
c’est….
– C’est qui ?
– C’est toi, Maman
!
– Mais je suis ta mère,
réfléchis un peu !
– Oui, ma mère soit, mais
aussi une superbe femme qui, de plus, m’a branlé et sucé hier soir !
.. Une femme qui, depuis déjà
un bon moment, m’allumait dès qu’elle le pouvait !
– Tu as des besoins d’homme,
j’en conviens, mais moi j’ai aussi des besoins de femme !
..Te voir te branler hier
soir m’a donné l’irrésistible envie de retrouver le gout et l’envie de toucher ta belle bite !
– Oh, tu n’as pas fait que
toucher, il me semble… !
– Bon d’accord, j’ai sans
doute eu tort !
– Au contraire, Maman, depuis
le temps que j’attendais ça !!! »
Pendant la conversation, sans
m’en rendre compte, j’avais posé ma tête sur l’épaule de Maman et elle passait sa main dans mes cheveux et sur le haut de mon dos. J’en frissonnais de désir.
Un grand silence s’installa.
Maman me redressa, me regarda dans les yeux, et très doucement, m’embrassa sur la bouche.
– Mon grand, je ne sais pas
vers quoi nous allons, mais une partie du "mal" est déjà fait !
.. L’essentiel est de garder
cela secret, car ce genre de relation est très mal vu dans la société ! Il faut que tu me promettes de n’en parler à personne !
– Je te le jure, Maman, ce
sera notre secret et personne n’en saura jamais rien !
– Il est évident, mon Chéri,
que cela va bien entendu modifier notre mode de vie, à la maison du moins !
– C’est-à-dire ?
– Je pense qu’en privé, tu
peux laisser tomber le "maman" et me dire tout simplement Claire, ce qui est, il me semble, mon prénom !
.. Tu peux aussi me donner
des petits noms gentils tels que "Ma Chérie", etc. etc. !
– Ce sera avec grand plaisir,
mam…, euh Claire !
– Bien, il est temps d’aller
prendre ta douche pour effacer les traces d’hier soir !
.. Nous en reparlerons ce
soir !
Chapitre 2
En fin de journée, après mon
travail, je regagnai le domicile familial. La voiture de Maman – Claire, désormais – était déjà dans le garage.
Je pénétrai dans la maison
que je trouvais bien silencieuse. Je me suis donc décidé à appeler Maman.
« Maman, tu es là
?
– Non il n’y a que Claire ! »
Me répondit-elle, dans un grand éclat de rire.
Je m’étais installé sur le
canapé du salon et, bien que tournant le dos à l’escalier, les effluves de son parfum m’informèrent de son arrivée dans la pièce. Elle portait un déshabillé rose pâle, tout à fait fluide, mais
suffisamment près du corps pour révéler ses formes superbes. Elle vint s’asseoir à côté de moi. Non, je devrais plutôt dire : elle vint se coller à moi de façon à ce que nos deux corps ne fassent
plus qu’un. Me voyant troublé, elle me dit :
« Tu sembles tout bizarre,
tout à coup ?
– Ben…, oui, ça me fait drôle
que nous soyons ainsi l’un contre l’autre !
– Tu n’aimes pas ?
– Oh si, au contraire, tu
combles mes rêves les plus fous !
– Alors, c’est que tu n’oses
pas t’aventurer plus loin, peut-être ?
– Oui, c’est un peu ça
!
– Bon, après ce qui s’est
passé ce matin, nous pouvons difficilement revenir en arrière. Eh bien je vais "t’aider" un peu ! »
Elle se décolla de moi et
défit la ceinture de son léger vêtement. Elle en écarta les pans et m’apparut seulement "vêtue" d’un porte-jarretelles et de bas. Mon Dieu qu’elle était belle ! Tout ce que j’avais sous les yeux
ne pouvait que provoquer le désir. Me voyant indécis, c’est elle qui prit ma main et la posa sur un de ses seins. Sous ma paume, je sentais la douceur et l’élasticité de la rotondité dénudée.
Elle me prit alors par la nuque et amena ma bouche à son mamelon. Elle me dit alors de le prendre entre mes lèvres et de le sucer délicatement. Au fur et à mesure que je le suçais, je sentais le
téton se développer et durcir. Elle déplaça alors ma main vers son autre sein que je commençai à pétrir tendrement. Je sentais sa respiration s’accélérer au fur et à mesure de mes caresses
buccales et manuelles.
« Oh oui, mon chéri,
continue, c’est trop bon, j’avais oublié que ça pouvait être si grisant !
– Oh Maman, si tu savais
comme je t’aime ! Je veux tout apprendre avec toi !
– Tu ne vas pas me dire que
tu es encore puceau... ?
– ……..
– L’est tu ?
– Oui, Maman !
– Oh, oublie un peu ce
"Maman", je te l’ai déjà demandé !
– Oui Claire, tu es la
première femme pour moi.
– Mais à ton âge, tu as déjà
eu des petites copines ?
– Non, car sans vouloir le
reconnaitre, c’est toi, en fait, que je voulais comme "petite amie !
– Bon, dans ce cas, nous
allons remédier à tout cela !
Elle se leva et dans un lent
geste, elle laissa tomber son vêtement à terre. Qu’elle était belle dans sa nudité ! J’en restai sans voix et ne savait plus où porter mes yeux. Ses seins, son sexe entièrement épilé, ses jambes
gainées de ce nylon si érotique, tout en elle me donnait envie d’aller plus loin. Elle aussi, avait envie d’aller plus loin et son regard le disait clairement. Et, se mettant à genoux, elle
entreprit de déboucler mon pantalon et d’un seul mouvement, baissa pantalon et boxer. J’étais raide comme un mât de chapiteau et ma bite tressautait au rythme de mes pulsations et je vous prie de
croire que ça battait la chamade.
Sans plus attendre, elle prit
ma queue dans sa main et commença à me branler tout doucement. Elle se pencha en avant et, de la pointe de sa langue, elle titilla le gland et en fit le tour. Elle me regardait dans les yeux,
semblant guetter mes réactions. Elle engloutit ma bite d’un seul coup dans sa bouche. Oh, ma ravissante Maman connaissait les "gorges profondes" ! Je n’en revenais pas : je ne l’aurais jamais cru
si cochonne. Excité comme je l’étais, elle ne tarda pas à arriver à ses fins. Je lui balançai tout mon foutre et elle sortit ma bite pour se faire asperger le visage et la poitrine.
« Claire, sans vouloir te
manquer de respect, dans cette état, tu as l’air de la parfaite salope !
– Mais, désormais, Chéri, je
suis TA salope ! Nous ferons tout ensemble et à la maison, nous nous comporterons comme un vrai couple ! »
Soudain, la sonnette de
l’entrée se fit entendre !!! Maman me dit de me rhabiller rapidement et d’aller ouvrir, pendant qu’elle s’enfuyait à la salle de bain. Une fois présentable et un deuxième coup de sonnette
impératif, je courus à la porte.
– Oh tante Christine,
bonjour, quel plaisir de te voir – tu parles !
– Ta mère est là ?
– Oui, elle est en train de
se changer, elle vient de rentrer du boulot !
.. Claire, dépêche-toi, tante
Christine attend ! »
Mais quel abruti je faisais !
Je vis ma tante ouvrir de grands yeux, incrédule de ce qu’elle venait d’entendre. Du premier étage, on entendit Maman répondre qu’elle arrivait tout de suite.
À suivre …
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