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Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 19:48

Moi : Marc
Mon père : François
Ma mère : Nicole
Mon oncle : Claude
Ma tante : Huguette
Ma cousine : Margot
L'amant de ma tante : Henri


Je vis dans une petite ville de province et j'ai 20 ans. Cette histoire a commencé il y a un an.
Je vis toujours chez mes parents qui sont tous les deux instituteurs. Dans la même ville vivent mon oncle, entrepreneur, et ma tante qui ne fait rien car son mari est très riche. Mon oncle qui a 45 ans est très sympa et nous avons la même passion : la photo animalière. Ma tante, 47 ans elle, est très désagréable, très snob et son côté bourgeois est vraiment exécrable. Elle méprise sa sœur jumelle, l’une est le double de l’autre, qui a épousé un modeste instit. Avant leurs mariages, les sœurs étaient inséparables, elle s’aimaient d’un amour que seuls les jumelle connaissent. Aujourd’hui Huguette ne manque jamais une occasion pour nous rabaisser et me faire remarquer que je ne suis qu'apprenti chez un fabriquant de meubles alors que sa fille est en fac. Vous avez compris que j'adore mon oncle et déteste sa mégère de femme qui pourtant m'excite énormément. Elle est châtain clair, voyez aussi ma mère dans cette description, mesure 1m73 alors que je ne fais que 1,70, plutôt plantureuse avec de gros seins. J'adore la reluquer à la piscine car elle n'a pas une once de cellulite et a des cuisses fantastiques. Très souvent je me masturbais en pensant à elle.
Cette histoire a commencé un dimanche où mon oncle était venu m'aider à bricoler des étagères dans mon labo photo. Il devait rester manger à la maison et ma tante nous rejoindre après la messe. Car en plus elle est plutôt bigote et fait partie de plein d'associations caritatives. A un moment, mon oncle me dit : " J'ai oublié ma ponceuse à bande, tu peux pas aller la chercher et en même temps ramener mon appareil photo, comme cela on pourra faire des essais cette après-midi."
Aussitôt demandé, je prends mon vélo et pars chez mon oncle.
Comme il n'y a personne dans la maison, je passe par derrière et monte à son bureau pour prendre l'appareil photo. Et là, surprise, alors que j'allais descendre à l'atelier, j'entends des bruits à l'étage alors que je sais la maison vide car ma tante est à l'église. Curieux, je monte discrètement à l'étage et tends l'oreille. Les bruits proviennent de la chambre de ma cousine que je croyais en fac à Paris. Je m'approche sur la pointe des pieds de la porte et constate qu'elle n'est que poussée. Visiblement, aux bruits, ma cousine s'envoie en l'air avec son copain. Plutôt que redescendre, je pousse légèrement la porte pour voir ce qui s'y passe. Je fais cela très doucement. J'ai une vision trois quart arrière du lit. Et là, la surprise , c'est Henri le meilleur copain de mon oncle qui est en train de pistonner ma cousine . Je suis estomaqué car il a 40 ans et elle 19. Je vois d'ici le scandale si ça se sait. Je continue de regarder car c'est drôle de voir Henri avec ses fesses poilues et son crâne tout dégarni souffler comme un phoque. En disant :"ah c'est bon, t’aime ça hein, te faire ramoner par ma grosse bite, dis que je te bourre bien salope "
ET alors là, re-surprise car c'est la voix de ma tante que j'entends :" oh oui mon chéri, continue, plus fort, ne t'arrêtes pas, plus profond, comme ça oui c'est bon, continues ".
J'en suis resté comme deux ronds de flan, c'était ma tante qui baisait alors qu'elle devait être à la messe.
L'occasion était trop belle, j'ai pris l'appareil de mon oncle et j'ai commencé à mitrailler la scène. Ma chère tante, les cuisses écartées et les jambes sur les épaules d'Henri, ma tante se faisant prendre en levrette avec ses gros seins qui se balançaient au rythme d'Henri qui se déchaînait, ma tante avec la bitte d'Henri entre les seins mais qui refuse de le sucer. Pas content Henri. Et point d’orgue, ma tante écartelée qui se fait sucer et qui en redemande.» oui, oui, continue, c’est bon, plus vite ta langue, j'arrive, t'arrête pas c'est trop bon." Si ce n’était la voix de ma tante puis le nom de hi guette qui raisonnais au file de la baise, j’aurais pu pensais que c’est ma mère qui se faisait niquer par Henri. Oui, ma tante aurait pu se venger de l’instit de mon père en offrant sa jumelle à Henri.
J'ai pu faire des gros plans fantastiques de sa jouissance. Et Henri têtu qui réclame son du :"je t'ai bien sucée et prise tout ton jus dans la bouche, tu peux me faire pareil quand même " Ma tante a fini par céder :"d'accord je te suce mais tu ne jouis pas dans ma bouche !
""Ok, d’accord mais suce moi vite ma chérie j'en peux plus "
Là, j'ai fais les plus belles photos, ma très chère tante à quatre pattes qui prend la bitte d'Henri du bout des lèvres, je vois son beau fessier remuer. Et toujours Henri qui s'énerve :"mais suce bon dieu, fais pas semblant ". Et le voilà qui prends la tête de ma tante et appuie dessus pour l'obliger à avaler sa queue. Maintenant c'est lui qui rythme le mouvement. En fait, il lui baise la bouche. "Ah c'est bon, ta langue, plus rapide, oui, enfonce là bien, comme ça, oui continue je viens " Et là, il lui appuie la tête contre son ventre et se cambre en râlant .Ma tante se redresse furieuse et recrache le sperme qu'elle avait dans la bouche tout en s'essuyant avec un revers de main.
"T'es dégueulasse, Henri, tu sais bien que je déteste ça, je déteste le goût, si j'avais su je t'aurais pas sucé"
En attendant, moi j'ai pris deux rouleaux de photos fantastiques.
Je me suis alors retiré aussi doucement que j'étais arrivé. J'avais bien sur une trique d'enfer et arrive dans la cuisine je me suis masturbé et j'ai éjaculé sur la table de la cuisine. Je suis parti en laissant la trace de mon passage.
Je suis rentré très vite à la maison, ai donné son appareil à mon oncle qui est parti faire des essais de macros dans le jardin, et me suis précipité dans le labo pour développer les deux pellicules. Et ça n'a pas traîné, en une demi-heure, j’avais 48 photos de ma tante qui ne m'intimidait plus du tout.
J'en ai choisi une, que j'ai fait sécher, et je suis descendu rejoindre tout le monde qui se demandait où j'étais passé. Ma tante était à, de retour de la messe, un peu en retard car elle était restée discuter avec le cure, dit-elle.
Je la trouvais superbe dans son tailleur gris très bon chic bon genre et son chemisier qui mettait ses seins en valeur. Je bandais comme un âne avec le cœur qui battait la chamade. Je suis parti au wc et après quelques va et vient, re-grosse éjaculation.
Elle continuait à m'exciter et quand je la regardais, je ne pouvais m'empêcher de la voir sur le lit avec les cuisses écartées. J'en pouvais plus. Quand elle s'est assise dans le canapé, j'ai cru que j'allais encore éjaculer dans mon pantalon.
A un moment, elle s'est levée et est allée aider ma mère dans la cuisine. De dos, je voyais sa CROUPE, la même que celle de ma mère, et pourtant je faisais une fixation sur la sienne même si je me disais qu’en voyant la celle de l’une j’ai vu celle de l’autre c'était intenable, j'avais l'impression que tout le monde me regardait et que j'étais tout rouge.
Je me suis levé à mon tour et suis parti à la cuisine, elles préparaient les toasts . Le premier plateau fini, ma mère l'a apporté au salon et je suis resté seul dans la cuisine avec ma tante, qui tout d'un coup me dit :"alors Marc, tu pourrais nous aider, toujours aussi fainéant à ce que je vois. Tu ferras rien de bon dans la vie si tu ne te secoues pas un peu ".Alors là, je ne sais pas ce qui m'a pris mais je lui ai répondu :"tiens au fait, y’a le curé qui m'a donné ça pour toi «.
Et je lui ai tendu la photo que j'avais dans ma poche avant de quitter précipitamment la cuisine et retourner au salon.
J'attendais son retour avec impatience.
En attendant son retour, mon cœur battait à deux cents pulsations au moins. Comment allait-elle réagir ?
Enfin, elle arriva avec le deuxième plateau de petits fours. Bien sûr, je scrutais son visage. Si je n'avais pas su qu'elle venait de voir une photo d'elle allongée se faisant sucer la chatte, les cuisses largement écartées, par Henri le meilleur ami et employé de son mari, je n'aurais rien remarqué.
Dieu qu'elle était belle dans la plénitude de ses 47 ans très bien conservée. Avec son visage plein, parfaitement fardé, son chignon de femme BCBG, ses grandes lunettes, elle me faisait bander comme ce n’était pas possible. Quand elle passa le plateau, je pris mon courage à deux mains et la regardais droit dans les yeux avec un sourire que j'espérais convaincant. C'est elle qui baissa son regard et je remarquais que le plateau tremblait un peu trop.
Elle était donc sur des chardons ardents et n'en menait pas plus large que moi. Cela me rassura complètement.
Pendant tout le repas, je n'arrêtais pas de la regarder et dans ma tête, je remplaçais déjà Henri. Je fixais sa bouche et ne pouvais m'empêcher de l'imaginer suçant ma queue. J'ai donc passé tout le repas avec une trique d'enfer. A un moment où elle me regardait à la dérobée, j'ai même osé sucer mon majeur de façon suggestive .Elle a de suite détourné son regard mais elle avait rougi.
A partir de ce moment, je crois que j'ai passé une année à bander en pensant à son corps que je désirais comme un fou.
Toutes les occasions étaient bonnes pour la détailler et de la déshabiller du regard.
A la fin du repas, mes parents proposèrent une promenade en foret. Au cours de cette promenade, ma tante se débrouilla pour être à côté de moi et se laissa légèrement distancer du groupe. Moi, je ne faisais rien, j'attendais la suite avec une grande curiosité.
"Qu'est ce que c'est que cette histoire, Marc ? C'est toi qui as pris cette photo ? "
"Bien sûr ma tante et il y en a beaucoup d'autres "
"Et que veux tu ? De l'argent ? Combien ? Tu sais bien que c'est ton oncle qui est riche, pas moi. Et d'ailleurs tu vas me faire le plaisir de me les donner sinon je dis tout à ta mère
A ces mots, j’ai accéléré l'allure. C'est elle qui m'a rattrapé et qui m'a dit : "Alors que décides-tu? "
"Il est hors de question de vous donner ces photos ma tante, elles sont trop chouettes. Depuis le temps que je me masturbe en pensant à vous, maintenant au moins j'ai les photos "
"Petit saligaud. Et tu crois que je vais rester comme cela? Que veux-tu à la fin ?
"Ce que je veux ma tante c'est remplacer Henri et vous faire tout ce qu'il vous a fait. Après je vous rendrais toutes les photos et les négatifs."
"Tu es fou ou quoi? Je suis ta tante, la sœur de ta mère, et je pourrais être ta mère. C'est hors de question "
"Bon, on verra bien tantine (elle déteste ce terme), mon oncle est très jaloux, vous le savez. En plus ça mettrait Henri dans une drôle de situation, vous ne croyez pas ?"
Le groupe devant avait fait demi-tour et la discussion s'arrêta là.
De retour à la maison, mon père et mon oncle s'installèrent devant la télé et les deux femmes discutèrent dans la cuisine. En tendant l'oreille, je me suis rendu compte qu'elles ne parlaient pas du tout de mon affaire.
Pendant le repas du soir, j'étais assis face de ma tante et j'avais tout le loisir de la dévisager. Je savais que ce que je faisais était dégueulasse mais je ne pouvais pas résister à cette envie tenace que j'avais dans le bas ventre. Ras le bol des bonnes conduites qui nous font rater tant de choses. A un moment où elle parlait avec mon oncle, j'ai tendu la jambe en la regardant et glissais mon pied que j'avais déchaussé entre ses genoux. Instinctivement, ses cuisses se sont resserrées et elle m'a regardé. Si son regard avait pu tuer je ne serais pas là à vous narrer mon histoire. Mais elle n'a rien dit. Aussi, plusieurs fois au cours du repas, j'ai laissé mon pied s'égarer. Sans grand succès il faut l'avouer. A la fin du repas, j’ai laissé tomber un couvert et me suis baissé pour le ramasser après l'avoir légèrement poussé du pied sous la table. Là, j'ai cru que j'allais décharger dans mon pantalon. La fourchette étant assez loin sous la table, j'ai poussé naturellement ma chaise et me suis mis à quatre pattes. J'avais sous les yeux les cuisses de ma tante serrées l'une contre l'autre. Alors j'ai glissé mon bras très rapidement entre la jupe et ses cuisses que j'ai pu palper. Pas très longtemps, mais qu'elles étaient douces et charnues. A en rêver.
Quand je me suis relevé, j'étais estomaqué de l'audace que j'avais eue. J'étais complètement en dehors du repas. Il était temps de participer à la discussion générale pour ne pas éveiller de soupçons. Ma tante discutait comme si rien ne c'était passé. Quelle maîtrise elle avait !
Ces petits intermèdes ne m'avaient pas calmé loin s'en faut.
Après le repas, tout le monde participe pour débarrasser la table, les hommes au transport et les femmes au lavage pour les couverts fragiles. Peut-être encore une occasion d'en profiter pensais-je de suite. J'étais toujours sur un nuage, inconscient des risques que je prenais. Ma tante était au lavage des couverts fragiles car ma mère est un peu brusque pour ne pas dire plus. Moi, j'amenais les couverts et toutes les occasions étaient bonnes pour frôler ouvertement ma tante. A chaque fois, elle se dégageait en me fusillant du regard. A mon dernier voyage, elle était seule dans la cuisine, les mains dans l'eau de vaisselle. Je déposais rapidement les objets dans l'évier et vins me coller dans son dos. Je me frottais contre ses fesses et elle ne pouvait plus ignorer l'état de mon sexe. Dans le même temps, j'avais passé mes bras sous les siens et pris ses seins dans mes mains. La situation me fait encore bander aujourd'hui. Ses seins étaient bons, comme de la bonne pâte à pétrir. Encore durs mais d'une souplesse que les jeunes n'ont pas. C'était merveilleux mais malheureusement bref car elle s'est retournée, m'a repoussé en disant :" Ca suffit Marc, tu exagères, n'importe qui peux entrer " Tiens donc, c'est ça qui la tracasse, se faire surprendre "M'en fou, de toute façon je vous aurai. Ce soir je vais encore me masturber en pensant à vous mais bientôt c'est vous qui me ferrez juter "
"T'es complètement fou mon pauvre Marc, tu rêves ou quoi. Vas donc fréquenter les filles de ton âge"
La discussion s'arrêta car ma mère entra "Encore là vous deux, toujours à vous chamailler je suppose, tu sais, Huguette (ma tante ), Marc n'est pas doué pour les études mais son maître d'apprentissage est très content de lui. Je suis sûre qu'il aura un bon métier "
Quand tout fut rangé, mon oncle et ma tante nous quittèrent. J'en profitais d'ailleurs, lors des bisous d'adieu, à embrasser la chère Huguette presque sur la bouche.
Je montais directement dans ma chambre et m'installais très confortablement pour une séance de masturbation devant les photos qui me faisait rêver. Malheureusement, j’étais dans un tel état d'excitation qu'après trois ou quatre aller-retour de ma main sur mon sexe je déchargeais déjà. Jamais je n'avais produit une telle quantité de sperme, j'en avais plein la main. Dommage que ma tante n'ai pas profité de ce bon jus fabriqué pour elle.
Le lendemain, je partais pour trois semaines de stage. Dieu que ces trois semaines furent longues. Je n'arrêtais pas de penser et de me branler en me remémorant cette journée fantastique. J'en arrivais à croire qu'elle sortait de mon imagination.
Enfin le jour du retour est arrivé. Pendant tout le temps du voyage dans le train, je ne pensais qu'à ma tante et étais dans un état d'excitation extrême. J'avais ma main dans la poche et mon sexe était dur comme une barre d'acier.
A l'arrivée, surprise, c'est ma tante qui est là. Pas un bonjour, pas un bisou, rien.
A peine installés dans leur superbe Mercedes ma tante attaque :" Comme ta mère n'était pas disponible, j'ai proposé de venir te chercher. Il faut qu'on discute, la situation a assez duré. Quoi que tu ais vu, c'est ma vie et tu n'as pas le droit de t'en mêler. De plus, je suis ta tante et j'ai 47 ans. Il n'est pas question que cette histoire aille plus loin et je te demande de me donner de suite les photos et les négatifs."
Pendant qu'elle me parlait, j'écoutais à peine, tout occupé à la détailler. Elle était vraiment magnifique, toujours habillée de façon aussi stricte avec un tailleur bleu marine dont la jupe arrivait aux genoux et un chemisier vert foncé fermé jusqu'au col. Elle n'avait rien mis qui puisse m'aguicher, mais je l'avais vue nue et je savais les trésors cachés derrière cette façade austère.
" Je suis désolé tantine " "ne m'appelles pas tantine s'il te plait, tu sais très bien que je déteste ça"
"Je suis désole tantine mais je ne peux pas accepter et j'ai trop envie de vous"
"Ne m'appelle plus tantine mais Huguette ou tante. Je ne sais pas si tu te rends bien compte mais c'est d'inceste dont tu parles, pourquoi pas avec ta mère t'en que tu y es! En plus c’est ma doublure"
"Tout simplement parce que c'est avec vous que je veux baiser, j'adore votre corps, vos seins, votre ventre rond, vos cuisses si douces. Ca fait trois semaines que je bande en pensant à vous et que je me masturbe au moins deux fois par jour en regardant les merveilleuses photos. J'adore particulièrement celles ou vous êtes allongée avec les cuisses largement écartées en train de savourer le plaisir que vous donne la langue du cher Henri. Dommage que je n'ai pas pu prendre le son."
J'avais fait exprès d'employer des mots un peu crus car je voulais la choquer et reprendre un certain avantage.
"Tu es complètement fou, comment peux tu croire que je vais céder et coucher avec mon neveu que je n'aime pas beaucoup en plus"
"Je m'en fou mais je continuerai à vous harceler, à vous tripoter quand l'occasion s'en présentera et à chaque fois que nous serons seuls". En disant cela j'avais glissé ma main sous sa jupe et palpais une cuisse dodue à souhait. Bien sûr, elle a de suite retiré ma main, mais le mal était fait. "Arrête, s'il te plait, tu te crois tout permis ? Ça va bien maintenant, il faut que ça cesse !"
"Et non chère tantine ça ne s'arrêtera pas. Touchez ma bite, vous verrez, elle est toute dure et ne demande qu'a vous satisfaire, à juter pour vous" . J'aurais pu tutoyer ma tante mais je préférais continuer à la vouvoyer, je trouvais ça plus jouissif.
"Bon maintenant ça suffit, on rentre et j'en parlerai à ta mère " dit-elle en démarrant
"C'est ça, et moi j'en parlerai à Claude (mon oncle)"
Plus un mot ne fut prononcé pendant le trajet. Le silence était glacial.
Arrivés à la maison, je lui glissais une autre photos :" Tenez, chère Huguette, voilà la photo qui m'a le plus servi dans mes masturbations solitaires. Vous êtes vraiment géniale avec cette queue dans la bouche. Je suis sûr que la mienne qui est bien plus grosse vous plairait vraiment. "
La masturbation devenait mon occupation principale. Une fois "calmé", je suis redescendu dans la cuisine pour embrasser ma mère qui était rentrée. Elle était toute pimpante dans une petite robe à fleurs. C'est vrai qu'elle était belle. Je n'avais jamais fantasmé sur ma mère mais les paroles de ma tante : " et pourquoi pas avec ta mère.." me revinrent en mémoire.
Pendant cette semaine à la maison, je ne perdis pas une occasion pour rencontrer ma tante et lui glisser des mains fureteuses dès que nous étions seuls.
Le samedi matin, ma mère m'apporta mon petit déjeuner au lit comme elle le fait tout le temps quand je suis à la maison. Les avantages d'être fils unique. Elle semblait préoccupée. " Il faut que l'on parle, Marc. Hier Huguette est venue me voir et m'a parlé de ce qui se passe entre elle et toi. Elle m'a avoué que tu l'avais surprise avec Henri, que tu avais fait des photos et que depuis tu ne fais que la tripoter et que tu veux coucher avec elle." En disant cela, elle était de plus en plus rouge et semblait très gênée. Qu'elle aborde la question de façon aussi directe m'a étonné et malgré moi je me suis mis à bander. "Il faut à tout pris arrêter ça Marc, c'est ta tante et c'est inadmissible de faire chanter les gens pour une petite bêtise qui concerne leurs vies privées. Tu devrais plutôt trouver une fille de ton âge."
"Bien sûr que je devrais trouver une fille de mon âge, mais j'ai vraiment envie d'Huguette, c'est elle qui m'excite". Je bandais de plus en plus et la bosse que faisait le drap devenait de plus en plus difficile à dissimuler. "Regarde, je bande comme un âne rien que d'y penser et il faudra que je me branle pour me calmer. Tu crois que c'est une vie ? " . En disant cela, j'ai rejeté le drap et mon sexe s'est dressé tout droit, dur comme une barre de fer. Ma mère a tout d'abord détourné le regard puis m'a regardé dans les yeux avec un sourire de compréhension et de gentillesse. " Je te comprends mais ce n'est pas une raison pour embêter ta tante. " Après un silence qui m'a paru durer une éternité et pendant lequel je me caressais doucement le sexe, elle repris :" Pour te calmer, comme tu dis, je veux bien t'aider mais il faudra que ça reste entre nous et que jamais personne n'en sache rien. Tu me le promets ? ". " Promis, maman, ce sera notre secret ".
Alors elle s'est assise sur le bord du lit, face à moi, et a pris doucement mon sexe dans sa main. Je m'en souviens comme si c'était hier. Sa main était d'une douceur incroyable. Je regardais cette main monter et descendre sur mon sexe, décalottant au maximum mon gland prêt à éclater. La scène était d'un érotisme inimaginable. Elle n'osait pas trop serrer et son massage était ample mais trop lent. "Serres plus, maman, et plus vite s'il te plait. Oui !!!! Comme ça c'est bon, continue. Oh, putain, c'est trop bon ". Je donnais en même temps des coups de reins pour amplifier le mouvement et je sentais mon jus monter. Sa main avait maintenant un rythme très rapide, c'était trop bon. Si au début, elle me regardait dans les yeux, maintenant elle fixait mon sexe et suivait mes mouvements de bassin. Au bout de deux trois minutes de ce traitement, je ne pouvais plus me retenir, alors je l'ai prise par les épaules et l'ai plaquée contre moi en lui murmurant à l'oreille " Continue, ça vient, je vais juter, Oh comme c'est bon maman ". Sa main était maintenant prise de frénésie et je sentais qu'elle voulait que je jouisse. "ça y est je jouis !! Continue, t'arrête pas, continue". Mon corps était parcouru de véritables décharges électriques et mes reins faisaient des bonds d'au moins 20 centimètres. C'était merveilleux, je n'avais jamais joui comme cela. Et tout en libérant tout mon jus, je la tenais tout contre moi et sans m'en apercevoir j'embrassais son visage, elle, blottie contre mon épaule. Une fois les dernières secousses passées, nous sommes restés comme cela, blottis dans les bras l'un de l'autre. Les battements de mon cœur se calmaient et je me suis rendu compte que ma mère aussi était essoufflée. Une fois calmés, elle s'est redressée et m'a regardé :" je crois qu'on vient de faire une belle bêtise ". Je n'ai rien répondu sur le moment, encore secoué par cette jouissance extrême. Ma mère s'était redressée. Il y avait du sperme partout. J'avais mon ventre tout englué et des filaments de foutre épais coulaient des doigts de ma mère. Il y en avait plein le devant de sa robe de chambre. Ma mère regardait tout cela comme dans un rêve, elle secouait sa main et a fini par l'essuyer sur sa robe de chambre en disant :"En tout cas, tu en avais vraiment besoin, il va falloir tout laver maintenant." Elle s'est alors levée et a quitté assez précipitamment ma chambre.
Je suis resté hébété un bon moment, je voulais ma tante et c'est ma mère qui venait de me branler. Tout en me remettant de cet instant magique, je massais doucement mon sexe au repos encore tout gras de ce plaisir interdit par je ne sais quelle société hypocrite. Très vite je rebandais et suis donc allé prendre une douche pour me calmer.
Une fois habillé, je suis descendu à la cuisine. Ma mère était là, toute seule, devant un café qui devait déjà être froid. Je me suis approché d'elle par derrière, ai posé mes mains sur ses épaules et l'ai embrassé tendrement sur les joues. "C'était magnifique, maman, ne sois pas triste, il n'y a rien à regretter je t'assure." Dans le feu de l'action et presque de façon inconsciente mes mains étaient descendues sur ses seins que je massais doucement.
"Arrête" me dit ma mère "OK, j'ai fait une bêtise tout à l'heure mais il ne faut pas que ça aille plus loin. Je ne veux pas que tu me touches et je ne coucherais pas avec toi. Il faudra que tu te contentes de ce que j'ai fait et pas plus; OK, "
"Ok maman je m'en contenterais mais je suis sûr que tu étais aussi excitée ".
"Là n'est pas la question, j'aime ton père et il est là pour régler mes envies "
"OK , d'accord mais j'ai encore envie ". En disant cela je lui ai pris la main et l'ai posée sur la bosse de ma braguette. Elle a soupiré mais a descendu ma braguette et a entrepris de sortir (difficilement) ma queue tendue de mon slip. J'étais debout dans la cuisine, avec mon sexe en dehors de mon pantalon et ma mère assise qui se préparait à me faire jouir une nouvelle fois. La situation était torride. Cette fois ci, pas d'hésitation, ses deux mains ont pris possession de ma verge. En fait, je me branlais dans ses doigts qui n'avaient presque pas besoin de bouger. Je ne voyais que le haut de sa tête alors je lui ai pris le visage dans les mains pour la regarder pendant qu'elle me masturbait. Voir ce beau visage et ses yeux magnifiques me faisait presque plus d'effet que ses mains. "Oui, c'est ça, continue, plus fort, plus vite, plus vite, je sens que ça vient, continue"; Je lui disais tout ça en la regardant dans les yeux et elle m'obéissait avec ses doigts de fée." ça y est ça vient, ça vient, je vais juter, oui, oui, oui ". Mes premiers jets très puissants sont partis jusque sur la table. "Continue encore, t'arrêtes pas". Elle continuait à me masturber et elle avait du sperme plein les mains. Elle a continué à me masser jusqu'à ce que mon sexe soit au repos.
" Ah, nom de dieu, qu'est. ce que c'est bon".
Je lui ai alors pris les mains pleines de mon sperme et lui ai léché un doigt en faisant tournoyer ma langue. "Ah non, pas ça, jamais je ne te sucerais, je te l'ai dit tout à l'heure, mes mains et rien d'autre".
Pendant trois jours, je n'ai plus pensé à ma tante, me contentant de me faire masturber par ma maman chérie, sans rien avoir de plus. Le mercredi, comme les autres matins, ma mère m'apporta mon petit déjeuner au lit. Comme les autres matins, j'avais une érection d'enfer et ma mère ne fut pas étonnée de me voir rejeter les draps pour lui montrer un sexe déjà bandé. Comme les autres matins, elle s'assit au bord du lit et tendit la main, presque machinalement, vers ma queue frémissante d'excitation. Elle n'avait plus d'appréhension et je crois même qu'elle prenait un certain plaisir à ce cérémonial n'y voyant plus le soi-disant tabou du premier jour. Mais cette fois ci, je voulais changer un peu. Je la pris par les épaules et la fis culbuter par dessus moi. " Comme cela, on sera plus à l'aise".Elle ne dit rien. Elle était allongée à coté de moi, la tête posée sur ma poitrine et pendant qu'elle prenait ma queue dans sa main je pouvais caresser son visage et passer mes doigts dans ses cheveux courts. C'était encore meilleur que d'habitude et mes reins allaient et venaient à la rencontre de sa main qui faisait merveilleusement glisser ma peau le long de ma queue. Maintenant, elle prenait elle même les initiatives et alternait rapidité et amplitude quand elle me sentait près à partir. J'appuyais de temps en temps sur sa tête pour l'inciter à me prendre dans sa bouche mais rien à faire, elle résistait.
Apres un bon quart d'heure de ce traitement j'étais au bord de la jouissance.
"Ca y est, ça vient, accélère, serre plus fort, oui comme ça, continue et t'arrête surtout pas". J'avais pris sa tête dans mes deux mains et je me cabrais de plus en plus.
"OUI, OUI, je jute, continue, encore, encore, encore…….".
Mes premiers jets étaient si puissants qu'ils passèrent par dessus la tête de ma mère que je maintenais fermement. Les suivants engluèrent ses cheveux et son visage. Malgré tout, elle continuait à me masturber magnifiquement comme pour me retirer jusqu'à la dernière goutte. Je l'ai alors allongée sur le dos et me suis penché sur son visage souillé de mon plaisir. Elle en avait partout, cette vision m'a presque fait rebander. Autour de sa bouche, des filaments descendaient doucement dans son coup. J'ai pris son visage dans mes mains et l'ai embrassée tendrement.
"Tu es merveilleuse, maman, tu peux pas imaginer le plaisir que tu me donnes, laisse-moi te faire jouir aussi, s'il te plait.
" Non, n'insiste pas, je trouve que l'on va déjà trop loin. Maintenant, laisse moi, il faut que j'aille me laver".
Je ne dis rien et la regardai quitter ma chambre, triste de ne pouvoir lui rendre le plaisir qu'elle me donnait. J'étais sûr qu'elle se masturbait après chaque séance du matin.
Le lendemain matin, j'attendais avec impatience son entrée dans ma chambre. Elle entra, posa le plateau sur la table et se baissa pour me faire un petit "bisou du matin "comme elle disait. Tout en se baissant, sa main rampa sous les draps pour attraper ma queue qui n'attendait que cela. "Toujours prêt, à ce que je sens " dit-elle avec un merveilleux sourire. En rigolant, je la basculais et me retrouvais sur elle, une jambe entre les siennes qu'elle referma immédiatement. "Non dit-elle sois sympa, on était d'accord ". "Oui OK, OK, mais moi aussi je voudrais te faire jouir". En disant cela, mes mains ne restaient pas inactives et pétrissait sa superbe poitrine. Je sentais ses tétons durcir. "Arrêtes, tu vas finir par m'exciter et je ne veux pas " dit elle en me repoussant.
" Bon occupons nous de la bébête maintenant". Elle était comme hier, la tête posée sur ma poitrine et sa main qui caressait mon sexe exacerbé d'attendre. Je caressais son visage, ses cheveux et malgré ma promesse, une de mes mains s'égara dans son corsage. Que ce sein était doux et moelleux, il se laissait sculpter par mes doigts impatients qui le périssaient avec ferveur. Ma mère essaya timidement de retirer ma main mais la laissa bientôt libre de jouer avec ce sein merveilleux de douceur. Son téton était dressé comme un petit pénis et je ne doutais plus qu'elle devait mouiller de désir. En même temps, j'essayais d'amener sa bouche vers mon sexe tendu.
"Je t'en prie, maman, j'ai trop envie, prends moi dans ta bouche s'il te plait, s'il te plait ". Petit à petit sa respiration s'accélérait et je sentais sa tête glisser ostensiblement vers mon ventre.
" S'il te plait, j'ai trop envie, suce moi s'il te plait ". En disant cela, je m'arquais le plus possible pour approcher ma queue de cette bouche qui se dérobait toujours. Je ne reposais que sur les talons et les épaules. J'appuyais de plus en plus sur sa tête qui se rapprochait inexorablement de mon sexe. Je ne caressais plus ses seins, je les malaxais et elle ne disait rien. Seuls quelques gémissements très discrets s'échappaient de ses lèvres. Et là, le miracle, je manquais de décharger de suite, une langue agile tournoyait autour de mon gland. Celle langue virevoltait et me donnait des frissons partout. Alors j'appuyais fermement sur cette tête chérie et je sentis ma bite s'engouffrer dans un puits de velours. C'était fou, ma mère me suçait divinement. Elle enfonçait mon sexe le plus profond possible et le ressortait avec des dégauchissements à faire jouir un moine. C'était une déesse du sexe. Elle se mit à genoux pour être plus à l'aise et se mit à me pomper avec frénésie. Je voyais son visage, les yeux fermés, monter et descendre sur mon sexe. Sa salive coulait et poissait mon bas ventre. De temps en temps, elle ralentissait et tout doucement engloutissait mon sexe, sa bouche était déformée par la grosseur de ma queue et puis elle remontait lentement, laissant ma bite luisante de salive. A un moment elle leva les yeux et me regarda en souriant. Elle quitta mon sexe et des filaments restaient tendus entre sa bouche et mon sexe. Cette vue manqua me faire juter. Elle ré enfourna ma bite et se mit à me sucer à une vitesse telle que je suis parti en criant : "OUIIIIIIIIIIII!!!!
Je lui tenais la tête et je remplissais sa bouche qui continuait malgré tout de monter et de descendre sans en perdre une goutte. Elle dut quand même ouvrir la bouche car la quantité était telle qu'elle ne pouvait tout garder. La vision de cette bouche laissant échapper mon sperme épais le long de ma bite restera à tout jamais dans ma mémoire. Une fois complètement vidé, j'ai pris son visage dans mes mains, l'ai approché du mien et ai embrassé tendrement ma mère. J'ai bien sur essayé de l'embrasser sur la bouche mais elle a tourné la tête. Elle avait encore du sperme dans la bouche mais ne voulait visiblement pas l'avaler, aussi elle le recracha discrètement dans les draps. Puis elle m'embrassa doucement et me dit :" Jure moi que tout cela restera à jamais entre nous, que jamais personne ne le saura, jure le moi".
" Je te le jure, maman ".

 

La suite très bientôt si elle vous intéresse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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