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L'inceste vu par les yeux du plaisir.

Ceci est un blog pour vous donner une autre image sur l'inceste. celle du plaisir entre adultes et consentants. celle où l'on ne se pose pas de questions autres que celles qui nous ménent à la volupté. Nous ne voulons pas de conseils psychologiques ni de morale religieuse. De grâce, si le contenu vous choque ou ne vous plait pas passez votre chemin vers là où vous-vous sentirez mieux. Bienvenue aux commentaires de tous ceux qui veulent une améliorations et aussi au propositions voir récits et textes à publier. Bonne lecture à tous et à toutes et surtout laissez-vous emporter par le plaisir sans aucune résistance.

Maxime

Lundi 6 février 1 06 /02 /Fév 18:31

Quoi que ce n'est que plaisir,  je me donne un mal fou à satisfaire certains amateurs de l'inceste entre adules et consentants, comme moi. parcontre devant le manque de commentaires j'ai décidé d'areter un moment car c'est découragenat de ne pas trouver d' échos ne serait, même négatif.  en plus le manque de commentaire m'empeche d'augmenter la capacité de mon blog alors que je préconise y mettre des photos. je demanderais, par le biai de ce paragraphe plus de témoignage et des participations soi en ecits soi en photos. vous êtes les bienvenus merci.

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Jeudi 2 février 4 02 /02 /Fév 18:03

oe

 

 

Ma sœur ainée et moi étions toujours comme chat et chien jusqu’à ce qu’elle tombe très malade au début novembre. Elle était en secondaire V et moi en secondaire IV. Et oui, elle n’était âgée que de 17 ans et mon ainé de 12 mois et 2 jours. Selon les médecins, ma sœur avait une mononucléose sévère accompagnée par une anorexie. De plus, son cycle menstruel était  débalancé. Elle était menstruée plus du deux tiers du mois depuis plusieurs mois.

 

 

 

Le traitement était simple : Beaucoup de repos, bien mangé et avec la ‘pilule’ son cycle redeviendrait rapidement normal. Enfin pour combattre son anorexie, lorsqu’elle serait rétablie suffisamment, un suivi psychologique et médical s’imposait. Pour l’obligée à dormir et prendre du repos pour le premier mois, ma sœur eut droit à un cocktail de divers médicaments qui la rendait totalement droguée. Après l’absorption du cocktail, en moins d’une demi-heure, elle n’avait plus conscience des gens qui la bordaient, même secouée sévèrement et cela pendant 4 à 5 heures.

 

 

 

Mes parents possédaient une compagnie et devaient souvent voyagés pour affaires. Ma mère évidemment demeura à la maison pour prendre soin d’elle. Mais à la fin de la 2ième semaine, il y avait un congrès important pendant le week-end. Je vis ma mère déçue de ne pouvoir y aller. J’offris donc à ma mère de m’occuper de ma sœur pendant le week-end. Elle pourrait ainsi partir avec mon père le vendredi dès que j’arriverai de mes cours et revenir le dimanche soir. Après beaucoup  de discussions et d’hésitations, mes parents acceptèrent mon offre et que j’eus juré qu’il n’y aurait pas d’amis, que je ne m’absenterais sous aucun prétexte, que je m’assurerais que la médication soit suivi ainsi que les repas bien pris au complet. Ah! j’oubliais, je devais tenir compagnie à ma sœur dans ses moments de lucidité en évitant toute dispute.

 

 

 

Mes parents partirent donc pour ce congrès et moi je suivis à la lettre les demandes de mes parents. Après que ma sœur eut ingurgité le fameux cocktail, je la vis s’endormir et la quitta pour regarder la TV dans ma chambre en face de la sienne, porte grande ouverte au cas où elle se réveillerait. Après une heure, j’allai vérifier si tout allait bien quand j’entrai dans sa chambre et je vis ma sœur. Ses couvertures avaient glissées par terre et sa nuisette était remontée jusqu’aux seins. Mes yeux fixèrent ma sœur. Elle était allongée sur le dos, les jambes écartées mettant en évidence sa chatte. J’eus l’érection de ma vie. Mon pénis était tellement allongé, que sa peau étirée me faisait mal. Je m’approchai plus près pour mieux l’observer. Elle était très maigre, je pus distinguer chacune de ses côtes moulées dans sa peau, ses jambes n’étaient guère plus grosses que mes bras. Délicatement je soulevai sa nuisette pour voir ses seins. Ils étaient menus, avec des tétines roses. Mon cœur battait à l’épouvante. Divisé par l’envie de la caresser, de la cajoler et la morale, je cédai à mes désirs. Je mis une main sur un sein, le tâtai, puis lui léchai pendant plusieurs minutes. Je l’embrassai ensuite sur tout son corps, ses côtes, ses jambes. En remontant sur une de ses cuisses, je me dirigeai vers l’objet de mes désirs, sa chatte. Après avoir cajolé son pubis, avec ma langue, je me mis à lui lécher son clitoris. Quelques minutes passèrent, et soudain un gémissement de ma sœur. J’eus peur, je m’arrêtai un certain temps, mais elle dormait solidement droguée par le cocktail de médicaments. Je me remis au travail. Nouveau gémissent, mais cette fois je n’arrêtai pas. Un liquide coulait de ses lèvres que je léchai pour ne pas en perdre une goutte. L’envie de la pénétrer était intense surtout avec les gémissements de ma sœur, mais je ne pus me résoudre à la violer, car pour moi le viol consistait à la pénétration non désirée et je n’étais pas un violeur. Les caresses et attouchements même sur ses seins, sa vulve et ses fesses, bien qu’honteux ne comptaient pas. Je commençai à rebaisser sa nuisette quand ma sœur se mit soudain sur le côté. Je vis alors ses fesses toutes menues. Je me penchai lui embrassa le peu de chair que je trouvai. Son petit trou m’invita à lui faire un anallingus qui dura quelques minutes. Puis je redescendis sa nuisette, remis ses couvertures et retourna dans ma chambre. Je fus à la fois heureux d’avoir vu enfin ma sœur nue, de l’avoir caressé, léché mais hyper triste de sa constitution physique. Jamais je n’eus imaginé son corps aussi maigrichon.

 

 

 

Le week-end se termina sans encombre. Les semaines passèrent, ma sœur prit du mieux, son fameux cocktail fut diminué. Cependant, elle devait encore prendre beaucoup de repos et surtout reprendre du poids. Le médecin parlait d’environ 13-15 kilos (c’est énorme) pour avoir un poids normal pour sa taille et son ossature. Nous arrivions à Noël. Noël était l’occasion pour ma mère de voir sa famille qui habitait loin, près de 8 heures de route. En effet, chaque année nous allions passé plusieurs jours chez un de mes oncles qui avaient un immense chalet. Mais cette année, avec la maladie de ma sœur, ma mère qui culpabilisait de son manque de vigilance et de ses trop nombreuses absences se demandait si c’était bien d’y aller. Elle ne pourra pas prendre le repos nécessaire nous disait-elle, le regard triste de passer peut-être une autre année sans voir sa famille. Je fis de nouveau une proposition à ma mère. Je resterai m’occuper de ma sœur. Cela va lui faire du bien autant qu’à toi, tu ne la laisses pas 10 minutes en paix. J’avais raison, depuis son congrès, elle ne laissait jamais ma sœur tranquille, ce qui m’avait d’ailleurs peut-être empêché de caresser de nouveau ma sœur. Finalement, elle accepta avec les mêmes consignes que la première fois.

 

 

 

Mes parents partirent donc le 23 à midi, après avoir fêté Noël en avance avec nous. Ma sœur fit un ouf de soulagement. Elle va me rendre folle me dit-elle. Elle passe son temps à vouloir me faire manger. Je ne veux pas devenir grosse rajouta-t-elle. Je pris alors la parole en lui rappelant qu’elle devait prendre du poids qu’elle était maigrichonne, très maigrichonne et que moi j’en avais assez que les autres à l’école la traitent ainsi. Une dispute éclata entre nous. La notion mince et maigrichonne en était l’objet. Il n’y avait aucun argument pour la convaincre mais j’eus soudain une idée qui alla me rapporté beaucoup plus que je l’espérais. J’allai chercher quelques revues de femmes nues dans ma chambre. Je lui demandai son avis. Les femmes posées nues dans différentes positions étaient-elles minces ou grassettes. La réponse fut claire. Elles sont minces, très minces me dit-elle. Je lui dit d’aller dans sa chambre se mettre nue et se comparer. Regarde leurs côtes, leurs jambes, leurs bras, leurs cuisses, leur cul et regarde les tiens. Surprise, elle partit avec les revues et revint 5 minutes plus tard. Cela ne fonctionne pas. Je ne peux me comparer. Elles prennent des poses qui les avantagent. La seule façon serait que je sois prise en photo de la même manière et tu verrais que je ne suis pas maigrichonne. Je compris que c’était son dernier argument. J’eus cependant l’idée d’aller chercher le polaroid et les 2 films que j’avais acheté en fonction de Noël. Je lui dis : déshabille-toi, prends les poses, je vais te photographier et tu pourras comparer. Surprise, mais obstinée à prouver qu’elle avait raison, elle se mit nue et je pris 24 photos en prenant soin de prendre le même angle que le modèle.

 

 

 

Sans se rhabiller, elle commença à comparer photo par photo, son visage devenait de plus en plus triste et se mit à pleurer. Elle s’approcha de moi et me dit je suis laide. J’étais depuis un bon moment en érection. C’est lorsqu’elle s’assit sur moi pour se faire consoler que tout se corsa. Je lui dis qu’elle n’était pas laide, au contraire, elle avait tout pour être belle, mais qu’elle était trop maigre. C’est alors qu’elle s’aperçut de mon érection. Ah mon cochon, je veux la voir. Je veux te voir nu. Je me levai et me déshabillai et mon cœur se mit à battre des nouveaux records. Elle est superbe, de toutes les queues que j’ai vues, tu as la plus belle me dit-elle. Sans me demander la permission elle prit ma verge dans ses mains et se mit à me branler. Elle se pencha et se mit à me faire une fellation. Une, deux minutes au plus, j’allais venir. Je l’avertis mais elle continua de plus belle jusqu’à ce qu’elle reçoive une grosse giclée de sperme dans la bouche. Elle me regarda avec un sourire satisfait et avala le tout. C’était la première fois que j’éjaculais dans une bouche et évidemment que je voyais une femme avalé.

 

Il a bon goût me dit-elle tout en continuant à me branler. Elle m’assit en me poussant et s’assis sur mes genoux. Elle prit ma main, posa mes doigts sur son clitoris. Après quelques minutes, ses lèvres vaginales étaient mouillées, elle se releva, colla son ventre au mien et s’empala. Elle me chevaucha tout en gémissant au moins 15 minutes quand j’eus de nouveau une nouvelle éjaculation. Cette fois, mon pénis se ramollit. Ses yeux étaient pleins de joie. Elle approcha son visage du mien, colla ses lèvres aux miennes et me donna un baiser, timide au début mais d’une passion extrême à la fin. Fatiguée, elle me  demanda de l’accompagner dans sa chambre. Nous nous allongeâmes sur le lit, et, d’une manière que seule ma sœur a le tour, entrelaçâmes nos corps, la tête de ma sœur sur mon torse. Elle s’endormit rapidement et dormit un bon 3 heures. C’était déjà l’heure du repas. Ma sœur regarda de nouveau les photos. Cela l’encourageait à manger me dit-elle. Les 2 autres jours suivant nous fîmes l’amour. Fellation, anallingus, cunnilingus, 4-5 positions. A chaque fois, je réussis à lui donner un orgasme. Les spasmes vaginaux étaient si puissants qu’elle en hurlait. Cependant elle refusa la sodomie. Après l’amour, elle me fit beaucoup de confidences. Les filles de sa classe me trouvaient tellement beau qu’elle-même avait commencé à me regarder autrement depuis plus d’un an mais qu’elle n’avait jamais osé jusqu’à lors me montrer ses sentiments. Si elle voulait être mince, c’était pour que je la regarde, que je la désire. Je venais probablement d’aider ma sœur à combattre son anorexie.

 

 

 

Mes parents revenus, il fut très difficile avec ma mère qui surveillait ma sœur d’avoir des moments intimes. Je crois que cela augmentait nos sentiments et nos désirs un envers l’autre.

 

Nous trouvâmes quelques minutes ici et là pour nous tâter et nous embrasser mais les baises furent rares et courtes. Enfin, juin arrivait, ma sœur avait repris un poids normal tout en reprenant des forces en faisant des exercices physiques. Ses seins étaient plus gros, elle avait enfin des belles jambes, des cuisses à faire baver, un superbe cul qui juste à y penser me faisait avoir une érection. L’année scolaire de ma sœur était évidemment totalement ruinée et en accord avec la direction du collège, il fut décidé que ma sœur et moi aurions tous nos cours ensemble ce qui pour nous malgré des protestations d’usage nous emballait au plus haut point. Cependant, nous devions convaincre notre mère de retourner aider notre père, de recommencer à voyager avec lui. Ce fut difficile. Ma mère craignait tellement une rechute de ma sœur. Cependant, je lui fis comprendre que ma sœur ne pourrait reprendre confiance en elle-même, si elle-même ne lui faisait pas confiance et que je la surveillerais d’un œil. Enfin, je convainquis mon père de transformer une pièce au sous-sol pour faire nos travaux, nos chambres étant trop petites pour travailler ensemble. Cette pièce je l’exigeai non pas pour nos cours, mais bien pour me retrouver seul avec ma sœur en toute sécurité. Les bruits de pas pour descendre au sous-sol nous serviraient d’alarme lors de nos ébats amoureux. Les années qui suivirent furent pour nous deux des années de bonheur intense. Nous pouvions nous ébattre totalement lors de l’absence de nos parents et quand ils étaient là, bien que nos ébats fussent plus courts, la pièce du sous-sol remplissait parfaitement sa fonction désirée.

 

 

 

Cependant, nos parents s’inquiétaient du manque de petit ami et de petite amie. Je venais d’avoir 20 ans quand ma sœur et moi prîmes cette décision. Au prochain voyage de nos parents, nous nous aimerons une dernière fois et ensuite plus jamais quelques soit les circonstances. Et ce qui fut décidé arriva. Mes parents partirent pour deux jours, et nous fîmes l’amour. Ma sœur me fit un cadeau inattendu, son petit trou. Je n’oublierai jamais. Après l’avoir humecté longuement avec ma langue, j’entrepris avec un doigt de stimuler son anus, puis deux doigts, enfin je mis mon gland. Elle poussa un léger cri de douleur, mais me demanda de continuer. Lentement j’introduis ma verge. Centimètre par centimètre, je la pénétrais le plus lentement et le plus délicatement possible. Enfin, ses fesses touchaient mon pubis. Je commençai lentement de légers mouvements de recul-avant, puis sentant qu’un fluide permettait un mouvement plus grand, j’augmentai le mouvement ainsi que la cadence. Ma sœur me demanda d’aller plus vite, je la sentais avoir du plaisir. Pendant plus de 30 minutes, j’enculai ma sœur et j’éjaculai enfin. Totalement épuisé, je me couchai à côté d’elle et elle me dit : Aucun autre homme n’aura droit à ce trou. C’est le seul cadeau que je peux faire à celui que j’aime, même si j’ai adoré. Elle m’embrassa longuement, s’entrelaça avec mon corps comme seule savait le faire avec sa tête sur mon torse. C’était la dernière fois.

 

 

 

Il arrive parfois que le destin tienne à réunir les amoureux et cela devait arriver. Sept ans plus tard, un accident d’auto emporta mes parents. Ma sœur et moi, durent prendre la place de mes parents à la direction de la compagnie. Heureusement, un associé de mon père nous aida beaucoup. Il nous disait, sans votre père, je serais probablement encore pauvre. Votre père a cru en moi, il m’a fait confiance et je vous serai toujours fidèle. Ce fut très difficile. Le deuil, apprendre plein de choses, mais le plus difficile c’était quand les regards de ma sœur et moi se croisaient. Il y avait un désir immense et une tristesse de ne pouvoir s’aimer. Nous respections notre décision. Ma sœur avait eu plusieurs petits amis et j’avais eu plusieurs petites amies. Ma dernière petite amie était celle qui m’avait comblé le plus depuis ma séparation avec ma sœur, mais au fond de moi, je savais que je l’aimais bien mais je n’étais pas amoureux. Le décès de mes parents avaient accéléré son désir de mariage, mais je n’étais pas prêt, je voulais d’abord prendre confiance dans mes moyens à la direction, terminer mon deuil et enfin, réussir à prendre mes distances face à ma sœur. Son insistance me fit perdre patience et terminai notre relation. Sans savoir ce qui se passa de mon côté, je ne lui en avais pas parlé, elle rompit de son côté avec son ami dans les semaines qui suivirent. Puis au début de décembre, ma sœur et moi furent invités au 40ième anniversaire de mariage du vieil associé de mon père. C’était à près de 3 heures de route. Nous nous rendîmes ensemble, une voiture pour un trajet semblable c’est bien assez. La célébration terminée, nous repartîmes vers notre ville. Il se mit à pleuvoir environ 15 minutes après notre départ. Cette pluie se changea rapidement en verglas. C’était devenu très dangereux. Puis, nous étions à mis chemin, un barrage policier nous obligea à prendre une sortie. Les policiers nous informèrent que toutes les routes étaient impraticables et qu’il valait mieux se trouver un endroit pour coucher. Après de multiples arrêts sans succès, nous arrêtâmes à une auberge, ma sœur allait pour trouver 2 chambres, elle revint en me disant, ils ont une seule chambre libre, ils l’appellent la chambre des amoureux, je l’ai prise, si on continue, on va finir par se tuer. Je stationnai l’auto et nous nous dirigeâmes vers notre chambre. C’était bien, un bain tourbillon, une petite dinette, sauf que le lit était plus petit qu’un lit double. Chez moi on appelle ça un trois-quart. Bof! Pour une nuit me dit ma sœur. Nous sortîmes aller chercher quelques victuailles chez un marchand à côté de l’auberge. C’était super glissant. De plus, le verglas avait fait place à une pluie fine. En revenant ma sœur glissa et s’étala en entier dans une mare d’eau, elle était complètement trempée. En essayant de l’aider pour se relever, je me suis retrouvé assis dans la même mare. Nous n’avions aucun vêtement de rechange et même si nous avions déjà fait l’amour des années auparavant, il y avait une pudeur ou la peur de se laisser aller à notre amour interdit. Ma sœur, maladroitement avec une serviette pour se cacher se mit nue et rapidement se faufila sous les couvertures du lit. Moi, je préparai du café, prit les vêtements de ma sœur les tordit du mieux que je pouvais et les mit sur des cintres accrochés au dessus d’un calorifère. J’enlevai mes pantalons, mon slip, me cacha enroulé dans une serviette et accrochés mes vêtements. Je donnai une tasse de café à ma sœur, prit la mienne et me glissa sous les couvertures. Ma sœur frissonnait, il faut dire que la chambre était froide lorsque nous sommes entrés et que j’ai remonté le thermostat afin de réchauffer la pièce. Le café but, nous cherchâmes une position pour dormir. Dos à dos, impossible, le lit est trop étroit. Il y avait donc la cuillère. J’essayai de ne pas coller ma sœur, mais ma sœur colla d’abord ses pieds sur mes jambes. Sentant la chaleur de mon corps, elle eut un mouvement de recul. Je reçus ses merveilleuses fesses directement sur mon sac. En moins d’une, ma verge s’érigea rapidement, caressa les fesses de ma sœur et se colla dans la raie de son cul. La tête de ma sœur se retourna, elle avait un bras cachant ses seins et la main de l’autre protégeait sa chatte. Nos yeux se regardèrent longuement. Il y avait un désir passionnel intense doublé d’une tristesse de la honte de cet amour. Sans s’en rendre compte, lentement, nos têtes se rapprochèrent. 10, 9, 8, …, 2, 1 cm. Nous fûmes de nouveau à la porte de l’inceste. Combien de temps cela dura-t-il? Je ne saurais le dire, le temps s’était arrêté. Puis nos lèvres se  touchèrent, nos langues se retrouvèrent après une longue séparation, les bras de ma sœur abandonnèrent leur position protectrice et m’attachèrent solidement collé sur la poitrine de ma sœur. Pendant près de deux heures, un baiser brûlant accompagné de caresses incessantes des mains, des bras, des jambes, des pieds, de nos torses fit rejaillir la réalité de notre amour, amour interdit mais bien réel, un amour qui ne meurt jamais et qui ne veut pas mourir. Nous fîmes ensuite l’amour et entrelacés comme seule ma sœur savait le faire, nous nous endormîmes. Le matin nous refîmes l’amour, mais ma sœur m’indiqua qu’un petit trou s’ennuyait depuis trop longtemps. Je l’enculai alors pour la 2ième fois de notre vie. Nous prîmes un bain et retournâmes chez nous. Quelques jours plus tard, ma sœur gênée plutôt inquiète de ma réaction me dit qu’elle avait arrêté de prendre la pilule et qu’en regardant son calendrier, elle était en ovulation la nuit de l’auberge. Un peu plus d’un mois plus tard ses craintes furent confirmées. Elle était enceinte. Ma sœur me dit qu’elle irait aux Etats-Unis, passer des tests, et si tout est correct, elle désirait le garder. Je l’embrassai pour lui indiquer mon accord. Les tests démontrèrent que tout était normal, sauf que nous aurons des triplés. Nous eûmes deux filles et un garçon. Depuis les triplés sont devenus adultes et en bonne santé, ils furent mis au courant que leur oncle est leur père. Bien qu’étonnés, ils nous dirent que jamais ils n’avaient vu autant d’amour entre deux personnes. Il y a déjà plus de 2 ans, ma tourterelle m’apprit qu’elle était atteinte du cancer et qui ne lui restait que quelques mois. Toujours honteux des gestes posés sur ma sœur lorsqu’elle était malade, je lui ai raconté en lui demandant pardon. Elle sourit et me répondit : « Cette nuit là, j’ai fait semblant de m’endormir. Une fois que tu as quitté la chambre, j’ai poussé mes couvertures au pied du lit, j’ai enlevé ma petite culotte et remonté ma nuisette. J’avais l’espérance que tu reviennes vérifier que j’allais bien et que tu me regardes enfin non pas comme ta sœur mais comme une femme. J’étais depuis longtemps sous ton charme et je n’arrivais pas à me faire voir de toi. Quand je me suis réveillée et que j’ai vu que ma nuisette était rebaissée, les couvertures me couvraient, j’étais heureuse et j’espérais que tu en avais profité un peu. Cela m’a grandement aidé quand tu m’as proposé de prendre des photos. Nue, j’espérais te voir en érection et t’obliger à te mettre nu toi aussi. Ce serait un jeu d’enfant ensuite de sentir ta queue à l’intérieur de moi. ». Elle est décédée quelques temps après. J’ai fait une grave crise de cœur récemment et les médecins me disent qu’à moins d’une grosse opération je ne survivrai pas longtemps. J’ai refusé, je n’ai qu’un désir, retrouver ma sœur, ma compagne de vie, mon aimante, ma confidente, bref mon seul amour.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ma sœur, mon seul amour.

 

 

 

Ma sœur ainée et moi étions toujours comme chat et chien jusqu’à ce qu’elle tombe très malade au début novembre. Elle était en secondaire V et moi en secondaire IV. Et oui, elle n’était âgée que de 17 ans et mon ainé de 12 mois et 2 jours. Selon les médecins, ma sœur avait une mononucléose sévère accompagnée par une anorexie. De plus, son cycle menstruel était  débalancé. Elle était menstruée plus du deux tiers du mois depuis plusieurs mois.

 

 

 

Le traitement était simple : Beaucoup de repos, bien mangé et avec la ‘pilule’ son cycle redeviendrait rapidement normal. Enfin pour combattre son anorexie, lorsqu’elle serait rétablie suffisamment, un suivi psychologique et médical s’imposait. Pour l’obligée à dormir et prendre du repos pour le premier mois, ma sœur eut droit à un cocktail de divers médicaments qui la rendait totalement droguée. Après l’absorption du cocktail, en moins d’une demi-heure, elle n’avait plus conscience des gens qui la bordaient, même secouée sévèrement et cela pendant 4 à 5 heures.

 

 

 

Mes parents possédaient une compagnie et devaient souvent voyagés pour affaires. Ma mère évidemment demeura à la maison pour prendre soin d’elle. Mais à la fin de la 2ième semaine, il y avait un congrès important pendant le week-end. Je vis ma mère déçue de ne pouvoir y aller. J’offris donc à ma mère de m’occuper de ma sœur pendant le week-end. Elle pourrait ainsi partir avec mon père le vendredi dès que j’arriverai de mes cours et revenir le dimanche soir. Après beaucoup  de discussions et d’hésitations, mes parents acceptèrent mon offre et que j’eus juré qu’il n’y aurait pas d’amis, que je ne m’absenterais sous aucun prétexte, que je m’assurerais que la médication soit suivi ainsi que les repas bien pris au complet. Ah! j’oubliais, je devais tenir compagnie à ma sœur dans ses moments de lucidité en évitant toute dispute.

 

 

 

Mes parents partirent donc pour ce congrès et moi je suivis à la lettre les demandes de mes parents. Après que ma sœur eut ingurgité le fameux cocktail, je la vis s’endormir et la quitta pour regarder la TV dans ma chambre en face de la sienne, porte grande ouverte au cas où elle se réveillerait. Après une heure, j’allai vérifier si tout allait bien quand j’entrai dans sa chambre et je vis ma sœur. Ses couvertures avaient glissées par terre et sa nuisette était remontée jusqu’aux seins. Mes yeux fixèrent ma sœur. Elle était allongée sur le dos, les jambes écartées mettant en évidence sa chatte. J’eus l’érection de ma vie. Mon pénis était tellement allongé, que sa peau étirée me faisait mal. Je m’approchai plus près pour mieux l’observer. Elle était très maigre, je pus distinguer chacune de ses côtes moulées dans sa peau, ses jambes n’étaient guère plus grosses que mes bras. Délicatement je soulevai sa nuisette pour voir ses seins. Ils étaient menus, avec des tétines roses. Mon cœur battait à l’épouvante. Divisé par l’envie de la caresser, de la cajoler et la morale, je cédai à mes désirs. Je mis une main sur un sein, le tâtai, puis lui léchai pendant plusieurs minutes. Je l’embrassai ensuite sur tout son corps, ses côtes, ses jambes. En remontant sur une de ses cuisses, je me dirigeai vers l’objet de mes désirs, sa chatte. Après avoir cajolé son pubis, avec ma langue, je me mis à lui lécher son clitoris. Quelques minutes passèrent, et soudain un gémissement de ma sœur. J’eus peur, je m’arrêtai un certain temps, mais elle dormait solidement droguée par le cocktail de médicaments. Je me remis au travail. Nouveau gémissent, mais cette fois je n’arrêtai pas. Un liquide coulait de ses lèvres que je léchai pour ne pas en perdre une goutte. L’envie de la pénétrer était intense surtout avec les gémissements de ma sœur, mais je ne pus me résoudre à la violer, car pour moi le viol consistait à la pénétration non désirée et je n’étais pas un violeur. Les caresses et attouchements même sur ses seins, sa vulve et ses fesses, bien qu’honteux ne comptaient pas. Je commençai à rebaisser sa nuisette quand ma sœur se mit soudain sur le côté. Je vis alors ses fesses toutes menues. Je me penchai lui embrassa le peu de chair que je trouvai. Son petit trou m’invita à lui faire un anallingus qui dura quelques minutes. Puis je redescendis sa nuisette, remis ses couvertures et retourna dans ma chambre. Je fus à la fois heureux d’avoir vu enfin ma sœur nue, de l’avoir caressé, léché mais hyper triste de sa constitution physique. Jamais je n’eus imaginé son corps aussi maigrichon.

 

 

 

Le week-end se termina sans encombre. Les semaines passèrent, ma sœur prit du mieux, son fameux cocktail fut diminué. Cependant, elle devait encore prendre beaucoup de repos et surtout reprendre du poids. Le médecin parlait d’environ 13-15 kilos (c’est énorme) pour avoir un poids normal pour sa taille et son ossature. Nous arrivions à Noël. Noël était l’occasion pour ma mère de voir sa famille qui habitait loin, près de 8 heures de route. En effet, chaque année nous allions passé plusieurs jours chez un de mes oncles qui avaient un immense chalet. Mais cette année, avec la maladie de ma sœur, ma mère qui culpabilisait de son manque de vigilance et de ses trop nombreuses absences se demandait si c’était bien d’y aller. Elle ne pourra pas prendre le repos nécessaire nous disait-elle, le regard triste de passer peut-être une autre année sans voir sa famille. Je fis de nouveau une proposition à ma mère. Je resterai m’occuper de ma sœur. Cela va lui faire du bien autant qu’à toi, tu ne la laisses pas 10 minutes en paix. J’avais raison, depuis son congrès, elle ne laissait jamais ma sœur tranquille, ce qui m’avait d’ailleurs peut-être empêché de caresser de nouveau ma sœur. Finalement, elle accepta avec les mêmes consignes que la première fois.

 

 

 

Mes parents partirent donc le 23 à midi, après avoir fêté Noël en avance avec nous. Ma sœur fit un ouf de soulagement. Elle va me rendre folle me dit-elle. Elle passe son temps à vouloir me faire manger. Je ne veux pas devenir grosse rajouta-t-elle. Je pris alors la parole en lui rappelant qu’elle devait prendre du poids qu’elle était maigrichonne, très maigrichonne et que moi j’en avais assez que les autres à l’école la traitent ainsi. Une dispute éclata entre nous. La notion mince et maigrichonne en était l’objet. Il n’y avait aucun argument pour la convaincre mais j’eus soudain une idée qui alla me rapporté beaucoup plus que je l’espérais. J’allai chercher quelques revues de femmes nues dans ma chambre. Je lui demandai son avis. Les femmes posées nues dans différentes positions étaient-elles minces ou grassettes. La réponse fut claire. Elles sont minces, très minces me dit-elle. Je lui dit d’aller dans sa chambre se mettre nue et se comparer. Regarde leurs côtes, leurs jambes, leurs bras, leurs cuisses, leur cul et regarde les tiens. Surprise, elle partit avec les revues et revint 5 minutes plus tard. Cela ne fonctionne pas. Je ne peux me comparer. Elles prennent des poses qui les avantagent. La seule façon serait que je sois prise en photo de la même manière et tu verrais que je ne suis pas maigrichonne. Je compris que c’était son dernier argument. J’eus cependant l’idée d’aller chercher le polaroid et les 2 films que j’avais acheté en fonction de Noël. Je lui dis : déshabille-toi, prends les poses, je vais te photographier et tu pourras comparer. Surprise, mais obstinée à prouver qu’elle avait raison, elle se mit nue et je pris 24 photos en prenant soin de prendre le même angle que le modèle.

 

 

 

Sans se rhabiller, elle commença à comparer photo par photo, son visage devenait de plus en plus triste et se mit à pleurer. Elle s’approcha de moi et me dit je suis laide. J’étais depuis un bon moment en érection. C’est lorsqu’elle s’assit sur moi pour se faire consoler que tout se corsa. Je lui dis qu’elle n’était pas laide, au contraire, elle avait tout pour être belle, mais qu’elle était trop maigre. C’est alors qu’elle s’aperçut de mon érection. Ah mon cochon, je veux la voir. Je veux te voir nu. Je me levai et me déshabillai et mon cœur se mit à battre des nouveaux records. Elle est superbe, de toutes les queues que j’ai vues, tu as la plus belle me dit-elle. Sans me demander la permission elle prit ma verge dans ses mains et se mit à me branler. Elle se pencha et se mit à me faire une fellation. Une, deux minutes au plus, j’allais venir. Je l’avertis mais elle continua de plus belle jusqu’à ce qu’elle reçoive une grosse giclée de sperme dans la bouche. Elle me regarda avec un sourire satisfait et avala le tout. C’était la première fois que j’éjaculais dans une bouche et évidemment que je voyais une femme avalé.

 

Il a bon goût me dit-elle tout en continuant à me branler. Elle m’assit en me poussant et s’assis sur mes genoux. Elle prit ma main, posa mes doigts sur son clitoris. Après quelques minutes, ses lèvres vaginales étaient mouillées, elle se releva, colla son ventre au mien et s’empala. Elle me chevaucha tout en gémissant au moins 15 minutes quand j’eus de nouveau une nouvelle éjaculation. Cette fois, mon pénis se ramollit. Ses yeux étaient pleins de joie. Elle approcha son visage du mien, colla ses lèvres aux miennes et me donna un baiser, timide au début mais d’une passion extrême à la fin. Fatiguée, elle me  demanda de l’accompagner dans sa chambre. Nous nous allongeâmes sur le lit, et, d’une manière que seule ma sœur a le tour, entrelaçâmes nos corps, la tête de ma sœur sur mon torse. Elle s’endormit rapidement et dormit un bon 3 heures. C’était déjà l’heure du repas. Ma sœur regarda de nouveau les photos. Cela l’encourageait à manger me dit-elle. Les 2 autres jours suivant nous fîmes l’amour. Fellation, anallingus, cunnilingus, 4-5 positions. A chaque fois, je réussis à lui donner un orgasme. Les spasmes vaginaux étaient si puissants qu’elle en hurlait. Cependant elle refusa la sodomie. Après l’amour, elle me fit beaucoup de confidences. Les filles de sa classe me trouvaient tellement beau qu’elle-même avait commencé à me regarder autrement depuis plus d’un an mais qu’elle n’avait jamais osé jusqu’à lors me montrer ses sentiments. Si elle voulait être mince, c’était pour que je la regarde, que je la désire. Je venais probablement d’aider ma sœur à combattre son anorexie.

 

 

 

Mes parents revenus, il fut très difficile avec ma mère qui surveillait ma sœur d’avoir des moments intimes. Je crois que cela augmentait nos sentiments et nos désirs un envers l’autre.

 

Nous trouvâmes quelques minutes ici et là pour nous tâter et nous embrasser mais les baises furent rares et courtes. Enfin, juin arrivait, ma sœur avait repris un poids normal tout en reprenant des forces en faisant des exercices physiques. Ses seins étaient plus gros, elle avait enfin des belles jambes, des cuisses à faire baver, un superbe cul qui juste à y penser me faisait avoir une érection. L’année scolaire de ma sœur était évidemment totalement ruinée et en accord avec la direction du collège, il fut décidé que ma sœur et moi aurions tous nos cours ensemble ce qui pour nous malgré des protestations d’usage nous emballait au plus haut point. Cependant, nous devions convaincre notre mère de retourner aider notre père, de recommencer à voyager avec lui. Ce fut difficile. Ma mère craignait tellement une rechute de ma sœur. Cependant, je lui fis comprendre que ma sœur ne pourrait reprendre confiance en elle-même, si elle-même ne lui faisait pas confiance et que je la surveillerais d’un œil. Enfin, je convainquis mon père de transformer une pièce au sous-sol pour faire nos travaux, nos chambres étant trop petites pour travailler ensemble. Cette pièce je l’exigeai non pas pour nos cours, mais bien pour me retrouver seul avec ma sœur en toute sécurité. Les bruits de pas pour descendre au sous-sol nous serviraient d’alarme lors de nos ébats amoureux. Les années qui suivirent furent pour nous deux des années de bonheur intense. Nous pouvions nous ébattre totalement lors de l’absence de nos parents et quand ils étaient là, bien que nos ébats fussent plus courts, la pièce du sous-sol remplissait parfaitement sa fonction désirée.

 

 

 

Cependant, nos parents s’inquiétaient du manque de petit ami et de petite amie. Je venais d’avoir 20 ans quand ma sœur et moi prîmes cette décision. Au prochain voyage de nos parents, nous nous aimerons une dernière fois et ensuite plus jamais quelques soit les circonstances. Et ce qui fut décidé arriva. Mes parents partirent pour deux jours, et nous fîmes l’amour. Ma sœur me fit un cadeau inattendu, son petit trou. Je n’oublierai jamais. Après l’avoir humecté longuement avec ma langue, j’entrepris avec un doigt de stimuler son anus, puis deux doigts, enfin je mis mon gland. Elle poussa un léger cri de douleur, mais me demanda de continuer. Lentement j’introduis ma verge. Centimètre par centimètre, je la pénétrais le plus lentement et le plus délicatement possible. Enfin, ses fesses touchaient mon pubis. Je commençai lentement de légers mouvements de recul-avant, puis sentant qu’un fluide permettait un mouvement plus grand, j’augmentai le mouvement ainsi que la cadence. Ma sœur me demanda d’aller plus vite, je la sentais avoir du plaisir. Pendant plus de 30 minutes, j’enculai ma sœur et j’éjaculai enfin. Totalement épuisé, je me couchai à côté d’elle et elle me dit : Aucun autre homme n’aura droit à ce trou. C’est le seul cadeau que je peux faire à celui que j’aime, même si j’ai adoré. Elle m’embrassa longuement, s’entrelaça avec mon corps comme seule savait le faire avec sa tête sur mon torse. C’était la dernière fois.

 

 

 

Il arrive parfois que le destin tienne à réunir les amoureux et cela devait arriver. Sept ans plus tard, un accident d’auto emporta mes parents. Ma sœur et moi, durent prendre la place de mes parents à la direction de la compagnie. Heureusement, un associé de mon père nous aida beaucoup. Il nous disait, sans votre père, je serais probablement encore pauvre. Votre père a cru en moi, il m’a fait confiance et je vous serai toujours fidèle. Ce fut très difficile. Le deuil, apprendre plein de choses, mais le plus difficile c’était quand les regards de ma sœur et moi se croisaient. Il y avait un désir immense et une tristesse de ne pouvoir s’aimer. Nous respections notre décision. Ma sœur avait eu plusieurs petits amis et j’avais eu plusieurs petites amies. Ma dernière petite amie était celle qui m’avait comblé le plus depuis ma séparation avec ma sœur, mais au fond de moi, je savais que je l’aimais bien mais je n’étais pas amoureux. Le décès de mes parents avaient accéléré son désir de mariage, mais je n’étais pas prêt, je voulais d’abord prendre confiance dans mes moyens à la direction, terminer mon deuil et enfin, réussir à prendre mes distances face à ma sœur. Son insistance me fit perdre patience et terminai notre relation. Sans savoir ce qui se passa de mon côté, je ne lui en avais pas parlé, elle rompit de son côté avec son ami dans les semaines qui suivirent. Puis au début de décembre, ma sœur et moi furent invités au 40ième anniversaire de mariage du vieil associé de mon père. C’était à près de 3 heures de route. Nous nous rendîmes ensemble, une voiture pour un trajet semblable c’est bien assez. La célébration terminée, nous repartîmes vers notre ville. Il se mit à pleuvoir environ 15 minutes après notre départ. Cette pluie se changea rapidement en verglas. C’était devenu très dangereux. Puis, nous étions à mis chemin, un barrage policier nous obligea à prendre une sortie. Les policiers nous informèrent que toutes les routes étaient impraticables et qu’il valait mieux se trouver un endroit pour coucher. Après de multiples arrêts sans succès, nous arrêtâmes à une auberge, ma sœur allait pour trouver 2 chambres, elle revint en me disant, ils ont une seule chambre libre, ils l’appellent la chambre des amoureux, je l’ai prise, si on continue, on va finir par se tuer. Je stationnai l’auto et nous nous dirigeâmes vers notre chambre. C’était bien, un bain tourbillon, une petite dinette, sauf que le lit était plus petit qu’un lit double. Chez moi on appelle ça un trois-quart. Bof! Pour une nuit me dit ma sœur. Nous sortîmes aller chercher quelques victuailles chez un marchand à côté de l’auberge. C’était super glissant. De plus, le verglas avait fait place à une pluie fine. En revenant ma sœur glissa et s’étala en entier dans une mare d’eau, elle était complètement trempée. En essayant de l’aider pour se relever, je me suis retrouvé assis dans la même mare. Nous n’avions aucun vêtement de rechange et même si nous avions déjà fait l’amour des années auparavant, il y avait une pudeur ou la peur de se laisser aller à notre amour interdit. Ma sœur, maladroitement avec une serviette pour se cacher se mit nue et rapidement se faufila sous les couvertures du lit. Moi, je préparai du café, prit les vêtements de ma sœur les tordit du mieux que je pouvais et les mit sur des cintres accrochés au dessus d’un calorifère. J’enlevai mes pantalons, mon slip, me cacha enroulé dans une serviette et accrochés mes vêtements. Je donnai une tasse de café à ma sœur, prit la mienne et me glissa sous les couvertures. Ma sœur frissonnait, il faut dire que la chambre était froide lorsque nous sommes entrés et que j’ai remonté le thermostat afin de réchauffer la pièce. Le café but, nous cherchâmes une position pour dormir. Dos à dos, impossible, le lit est trop étroit. Il y avait donc la cuillère. J’essayai de ne pas coller ma sœur, mais ma sœur colla d’abord ses pieds sur mes jambes. Sentant la chaleur de mon corps, elle eut un mouvement de recul. Je reçus ses merveilleuses fesses directement sur mon sac. En moins d’une, ma verge s’érigea rapidement, caressa les fesses de ma sœur et se colla dans la raie de son cul. La tête de ma sœur se retourna, elle avait un bras cachant ses seins et la main de l’autre protégeait sa chatte. Nos yeux se regardèrent longuement. Il y avait un désir passionnel intense doublé d’une tristesse de la honte de cet amour. Sans s’en rendre compte, lentement, nos têtes se rapprochèrent. 10, 9, 8, …, 2, 1 cm. Nous fûmes de nouveau à la porte de l’inceste. Combien de temps cela dura-t-il? Je ne saurais le dire, le temps s’était arrêté. Puis nos lèvres se  touchèrent, nos langues se retrouvèrent après une longue séparation, les bras de ma sœur abandonnèrent leur position protectrice et m’attachèrent solidement collé sur la poitrine de ma sœur. Pendant près de deux heures, un baiser brûlant accompagné de caresses incessantes des mains, des bras, des jambes, des pieds, de nos torses fit rejaillir la réalité de notre amour, amour interdit mais bien réel, un amour qui ne meurt jamais et qui ne veut pas mourir. Nous fîmes ensuite l’amour et entrelacés comme seule ma sœur savait le faire, nous nous endormîmes. Le matin nous refîmes l’amour, mais ma sœur m’indiqua qu’un petit trou s’ennuyait depuis trop longtemps. Je l’enculai alors pour la 2ième fois de notre vie. Nous prîmes un bain et retournâmes chez nous. Quelques jours plus tard, ma sœur gênée plutôt inquiète de ma réaction me dit qu’elle avait arrêté de prendre la pilule et qu’en regardant son calendrier, elle était en ovulation la nuit de l’auberge. Un peu plus d’un mois plus tard ses craintes furent confirmées. Elle était enceinte. Ma sœur me dit qu’elle irait aux Etats-Unis, passer des tests, et si tout est correct, elle désirait le garder. Je l’embrassai pour lui indiquer mon accord. Les tests démontrèrent que tout était normal, sauf que nous aurons des triplés. Nous eûmes deux filles et un garçon. Depuis les triplés sont devenus adultes et en bonne santé, ils furent mis au courant que leur oncle est leur père. Bien qu’étonnés, ils nous dirent que jamais ils n’avaient vu autant d’amour entre deux personnes. Il y a déjà plus de 2 ans, ma tourterelle m’apprit qu’elle était atteinte du cancer et qui ne lui restait que quelques mois. Toujours honteux des gestes posés sur ma sœur lorsqu’elle était malade, je lui ai raconté en lui demandant pardon. Elle sourit et me répondit : « Cette nuit là, j’ai fait semblant de m’endormir. Une fois que tu as quitté la chambre, j’ai poussé mes couvertures au pied du lit, j’ai enlevé ma petite culotte et remonté ma nuisette. J’avais l’espérance que tu reviennes vérifier que j’allais bien et que tu me regardes enfin non pas comme ta sœur mais comme une femme. J’étais depuis longtemps sous ton charme et je n’arrivais pas à me faire voir de toi. Quand je me suis réveillée et que j’ai vu que ma nuisette était rebaissée, les couvertures me couvraient, j’étais heureuse et j’espérais que tu en avais profité un peu. Cela m’a grandement aidé quand tu m’as proposé de prendre des photos. Nue, j’espérais te voir en érection et t’obliger à te mettre nu toi aussi. Ce serait un jeu d’enfant ensuite de sentir ta queue à l’intérieur de moi. ». Elle est décédée quelques temps après. J’ai fait une grave crise de cœur récemment et les médecins me disent qu’à moins d’une grosse opération je ne survivrai pas longtemps. J’ai refusé, je n’ai qu’un désir, retrouver ma sœur, ma compagne de vie, mon aimante, ma confidente, bref mon seul amour.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Jeudi 2 février 4 02 /02 /Fév 17:54

Vacances avec ma fille

Je ne sais pas comment commencer, parce que ce qui m'est arrivé est quelque chose de tellement incroyable qu'aujourd’hui encore j’ai peine à croire que cela a eu lieu, mais c’est bien arrivé. Souvent, j'ai voulu partager cette histoire, et après avoir lu certaines histoires sur ce site, il m’apparaît que ce sont des choses qui arrivent.
Je suis veuf, et j’ai une seule fille qui étudie dans un pays européen. J'ai 46 ans et ma fille Silvina 19. Étant donné la distance, nous nous voyons peu, donc quand j'ai décidé de prendre quelques jours de vacances, j'ai proposé à ma fille d’aller dans une île des Caraïbes, nous pouvions ainsi partager quelques jours en prenant le soleil et en jouissant de la mer. Nous nous retrouvons alors après plusieurs mois. Elle était tellement belle comme toujours. Silvina est grande comme moi, très mince avec un très joli corps, une jeune poitrine et de superbes jambes. Silvina avait un peu changé depuis la dernière fois qui je l'avais vue... je ne sais pas trop comment l'expliquer... elle était plus provocante, plus sensuelle. Nous avions loué une très jolie maison qui donnait sur la mer, avec deux chambres, une salle de bain entre les deux chambres et un petit salon. Ce lieu était un paradis et la zone où nous étions était assez dépeuplée. La maison la plus proche était à 30 ou à 40 mètres. Le petit bar où la nuit on pouvait danser, était à quelques deux cents mètres plus ou moins.
Quand nous sommes allés à la plage pour la première fois, j'ai eu ma première surprise. Silvina avait mis un bikini comme ceux que l’on ne voit qu’au Brésil. Il était tellement petit que de loin elle paraissait nue. J’allais lui dire quelque chose à ce sujet quand Silvina a détaché la partie supérieure et s’est installée pour prendre le soleil avec sa poitrine à l'air. Je lui ai alors dit :
"Silvina, qu’est-ce que c’est que ça ?"
"Ne sois pas vieux jeu... en Europe tout le monde prend le soleil dévêtu ".
Je suis resté sans mot.
je me suis senti honteux parce que la voir ainsi m'avait excité. J’ai du aller à l'eau plusieurs fois pour me rafraîchir et pour que mon érection disparaisse. Cette nuit-là, nous sommes allé prendre une bière au bar qui était tout près, sur la plage. Il y avait très peu de gens. Près de nous, il y avait un couple. L’homme était plus âgé et la demoiselle (ou Madame) étai de l'âge de Silvina, plus ou moins. J’ai alors pensé que c'était un cas comme le nôtre, père et fille, mais quand la musique a commencé, ils se sont mis à danser ils étaient comme deux amants. J'ai alors dit à Silvina : "Regarde, elle pourrait être sa fille!".
Ma fille a pris ma main et m’a emmené danser. Silvina s’était déchaussée, elle avait une minijupe très courte et un top. Elle s’est mise à danser très sensuellement alors qu’elle me surveillait. Elle m'a alors dit : "Ne sois pas vieux jeu... relâche-toi un peu", et elle m'a mis les bras autour du cou et en m’embrassant, nous avons dansé en collant nos corps. Je sentais ses seins contre ma poitrine et son entrejambe contre ma verge qui croissait au fur et à mesure que passait le temps. Silvina n'était pas tracassée. Ainsi nous avons dansé un instant jusqu'à ce qu'elle me dise :
"Allons marcher sur la plage jusqu'à la maison". J’ai payé la note et nous sommes partis.
La nuit était très chaude et la plage était complètement déserte. Quand nous arrivons face de notre maison, Silvina me dit : " allons dans l’eau!".
Se déshabillant totalement elle me dit : "et... toi, c’est pour quand ?".
Entre les bières que nous avons bues et l'excitation, je n'ai pensé à rien. Je me déshabille, et dès que je suis nu, Silvina me prend par la main et nous nous mettons dans l'eau. Nous nageons quelques minutes, et ensuite, nus, nous rentrons à la maison. Nous prenons une douche pour enlever l'eau salée et entrons dans la salle. C’était étrange être ainsi, nu face à ma fille, elle aussi nue. Sous la lumière ténue, je peux jouir du spectacle qui est en face de moi. Silvina n'est pas seulement ma fille, c’est aussi une belle femme, sensuelle... et nue. Sa poitrine ferme, ses jambes se terminant par une entrejambe avec peu de duvet, ses cheveux mouillés sur ses épaules, son sourire …. je ne pense à rien, nous nous prenons de la main et allons vers la chambre. Quand nous sommes sur le lit, elle s'approche et pose ses lèvres sur les miennes. Nous nous fondons dans un baiser long, passionné. Peu à peu nos mains commence à explorer le corps de l'autre. Je caresse son dos, sa poitrine, ses mamelons, ses jambes. Elle parcourt mon dos avec ses ongles jusqu'à mon derrière. Elle prend mes fesses et me serre sur son pubis, elle sent alors toute mon érection. Elle s’écarte ensuite de quelques centimètres et avec sa main droite, elle caresse ma verge qui est déjà dure comme une pierre. En même temps, je caresse sa chatte avec mes doigts, en touchant délicatement son clítoris, déjà complètement humide. elle soupire et pose sa tête sur mon épaule en jouissant de mes caresses. Je la couche alors sur le lit et je me suis consacre à embrasser son corps, en commençant par son visage et en terminant par ses pieds, pour retourner à son entrejambe. Entre temps, je lèche sa chatte et je me mets de telle manière qu'elle puisse faire la même chose avec moi. Elle commence à absorber ma verge d'une manière exceptionnelle. Je me rends compte que ma fille est déjà une femme complète. Elle sait parfaitement ce qu'elle fait... elle sait comment satisfaire un homme. Il est clair que ce n'est pas la première verge qu’elle a entre ses lèvres... Puis après quelques minutes, elle cesse de me sucer et commence à soupirer tandis qu'elle dit :
"Oui, continue, je vais venir...".
Très vite, j’entends un cri noyé et Silvina s’agite, traversée par un orgasme fantastique. Je reviens vers son visage et nous nous donnons plusieurs baisers.
Je suis encore dur et alors elle me pousse sur le dos, monte sur moi, et introduit ma verge dans sa chatte. Elle commence à se balancer sur ma verge tendue qui entre et sort de son vagin. Je la regarde un moment, c’est merveilleux. Sa poitrine touche ma tête, son ventre monte et descend sur le mien. Ses cheveux s’agitent d'un côté à l’autre. elle me fait l’amour comme jamais une autre femme me l’a fait, même se mère. Silvina sait ce qu'elle fait... elle m'emmène jusqu'au point de non retour, là où je vais exploser. Peu à peu nous atteignons un orgasme qui est presque simultané et elle s’effondre sur ma poitrine tandis que mon sperme coule dans sa chatte. Je sens ensuite ma verge se détendre au milieu de nos fluides à tous les deux. Elle me donne un baiser, il me dit : "Je savais que tu serais un grand amant...".
Il se pose sur mon épaule et peu à peu nous nous endormons avec nos corps collés. Le matin, je me lève alors que Silvina est encore endormie, nue et plus belle que jamais. Je prends un bain et elle se réveille entre temps et je prépare le déjeuner. En la voyant sur le lit, je ne peux croire que je vois la femme avec laquelle j’ai joui et que cette femme est Silvina, ma fille. Elle se lève et dans toute sa nudité, elle s'approche de moi. Elle me dit bonjour et me donne un baiser sur les lèvres puis entre dans la salle de bain. Après quelques minutes, elle sort et... nue, elle me regarde et elle me dit :
"Jje suis heureuse de ce que nous avons fait hier soir, et toi?".
J'ai acquiescé de la tête et je lui donne un chaud baiser sur les lèvres. Nous prenons le déjeuner en regardant la mer presque sans parler. Quand nous terminons, je demande si elle en veut un peu plus, en pensant à quelque chose pour manger, et elle me répond :
"Oui, je veux te faire l'amour".
Mon maillot, disparaît très vite. Nous retournons sur ce lit où nous avons tant joui la nuit précédente et nous nous effondrons sur lui. Nous nous embrassons et nous caressons frénétiquement. Rapidement, nous sommes très excités et Silvina me dit : "Je veux te sentir en moi".
Ses jambes s’écartent un peu pour que je la pénètre. Je la prends lentement, en cherchant à ce qu’elle ait un orgasme la première ; ce qui ne tarde pas à arriver, avec le même cri noyé de la nuit précédente. Ma verge reste dure. J'ai un degré d'excitation jamais obtenu avec une autre femme. Je la pénètre lentement pour ensuite augmenter le rythme. Silvina est tordue dans le lit tandis qu'elle crie "J'aime ça, j'aime ça, viens dans ma chatte... ". Elle a de nouveau un orgasme. Silvina a cette caractéristique de quelques femmes qui peuvent contracter leur vagin, c’est quelque chose qui m'excite beaucoup. Je sens que ma verge est serrée par son vagin et je ne peux supporter plus... et j’éjacule dans son ventre pendant que Silvina atteint son dernier orgasme.
Nous passons la journée entière dans la maison, nous mangeons très peu car chaque fois que nous voulons sortir pour manger un de nous deux décide qu'il veut faire l'amour et l'autre accepte. Nous terminons les vacances ainsi, comme deux amants. Voilà sept mois que cela c’est passé, nous ne nous sommes plus vus depuis. Bien que nous nous parlions parfois au téléphone sans aborder le sujet. Je me demande ce qui va arriver la prochaine fois que nous nous verrons... _.

Vacances avec ma fille

Je ne sais pas comment commencer, parce que ce qui m'est arrivé est quelque chose de tellement incroyable qu'aujourd’hui encore j’ai peine à croire que cela a eu lieu, mais c’est bien arrivé. Souvent, j'ai voulu partager cette histoire, et après avoir lu certaines histoires sur ce site, il m’apparaît que ce sont des choses qui arrivent.
Je suis veuf, et j’ai une seule fille qui étudie dans un pays européen. J'ai 46 ans et ma fille Silvina 19. Étant donné la distance, nous nous voyons peu, donc quand j'ai décidé de prendre quelques jours de vacances, j'ai proposé à ma fille d’aller dans une île des Caraïbes, nous pouvions ainsi partager quelques jours en prenant le soleil et en jouissant de la mer. Nous nous retrouvons alors après plusieurs mois. Elle était tellement belle comme toujours. Silvina est grande comme moi, très mince avec un très joli corps, une jeune poitrine et de superbes jambes. Silvina avait un peu changé depuis la dernière fois qui je l'avais vue... je ne sais pas trop comment l'expliquer... elle était plus provocante, plus sensuelle. Nous avions loué une très jolie maison qui donnait sur la mer, avec deux chambres, une salle de bain entre les deux chambres et un petit salon. Ce lieu était un paradis et la zone où nous étions était assez dépeuplée. La maison la plus proche était à 30 ou à 40 mètres. Le petit bar où la nuit on pouvait danser, était à quelques deux cents mètres plus ou moins.
Quand nous sommes allés à la plage pour la première fois, j'ai eu ma première surprise. Silvina avait mis un bikini comme ceux que l’on ne voit qu’au Brésil. Il était tellement petit que de loin elle paraissait nue. J’allais lui dire quelque chose à ce sujet quand Silvina a détaché la partie supérieure et s’est installée pour prendre le soleil avec sa poitrine à l'air. Je lui ai alors dit :
"Silvina, qu’est-ce que c’est que ça ?"
"Ne sois pas vieux jeu... en Europe tout le monde prend le soleil dévêtu ".
Je suis resté sans mot.
je me suis senti honteux parce que la voir ainsi m'avait excité. J’ai du aller à l'eau plusieurs fois pour me rafraîchir et pour que mon érection disparaisse. Cette nuit-là, nous sommes allé prendre une bière au bar qui était tout près, sur la plage. Il y avait très peu de gens. Près de nous, il y avait un couple. L’homme était plus âgé et la demoiselle (ou Madame) étai de l'âge de Silvina, plus ou moins. J’ai alors pensé que c'était un cas comme le nôtre, père et fille, mais quand la musique a commencé, ils se sont mis à danser ils étaient comme deux amants. J'ai alors dit à Silvina : "Regarde, elle pourrait être sa fille!".
Ma fille a pris ma main et m’a emmené danser. Silvina s’était déchaussée, elle avait une minijupe très courte et un top. Elle s’est mise à danser très sensuellement alors qu’elle me surveillait. Elle m'a alors dit : "Ne sois pas vieux jeu... relâche-toi un peu", et elle m'a mis les bras autour du cou et en m’embrassant, nous avons dansé en collant nos corps. Je sentais ses seins contre ma poitrine et son entrejambe contre ma verge qui croissait au fur et à mesure que passait le temps. Silvina n'était pas tracassée. Ainsi nous avons dansé un instant jusqu'à ce qu'elle me dise :
"Allons marcher sur la plage jusqu'à la maison". J’ai payé la note et nous sommes partis.
La nuit était très chaude et la plage était complètement déserte. Quand nous arrivons face de notre maison, Silvina me dit : " allons dans l’eau!".
Se déshabillant totalement elle me dit : "et... toi, c’est pour quand ?".
Entre les bières que nous avons bues et l'excitation, je n'ai pensé à rien. Je me déshabille, et dès que je suis nu, Silvina me prend par la main et nous nous mettons dans l'eau. Nous nageons quelques minutes, et ensuite, nus, nous rentrons à la maison. Nous prenons une douche pour enlever l'eau salée et entrons dans la salle. C’était étrange être ainsi, nu face à ma fille, elle aussi nue. Sous la lumière ténue, je peux jouir du spectacle qui est en face de moi. Silvina n'est pas seulement ma fille, c’est aussi une belle femme, sensuelle... et nue. Sa poitrine ferme, ses jambes se terminant par une entrejambe avec peu de duvet, ses cheveux mouillés sur ses épaules, son sourire …. je ne pense à rien, nous nous prenons de la main et allons vers la chambre. Quand nous sommes sur le lit, elle s'approche et pose ses lèvres sur les miennes. Nous nous fondons dans un baiser long, passionné. Peu à peu nos mains commence à explorer le corps de l'autre. Je caresse son dos, sa poitrine, ses mamelons, ses jambes. Elle parcourt mon dos avec ses ongles jusqu'à mon derrière. Elle prend mes fesses et me serre sur son pubis, elle sent alors toute mon érection. Elle s’écarte ensuite de quelques centimètres et avec sa main droite, elle caresse ma verge qui est déjà dure comme une pierre. En même temps, je caresse sa chatte avec mes doigts, en touchant délicatement son clítoris, déjà complètement humide. elle soupire et pose sa tête sur mon épaule en jouissant de mes caresses. Je la couche alors sur le lit et je me suis consacre à embrasser son corps, en commençant par son visage et en terminant par ses pieds, pour retourner à son entrejambe. Entre temps, je lèche sa chatte et je me mets de telle manière qu'elle puisse faire la même chose avec moi. Elle commence à absorber ma verge d'une manière exceptionnelle. Je me rends compte que ma fille est déjà une femme complète. Elle sait parfaitement ce qu'elle fait... elle sait comment satisfaire un homme. Il est clair que ce n'est pas la première verge qu’elle a entre ses lèvres... Puis après quelques minutes, elle cesse de me sucer et commence à soupirer tandis qu'elle dit :
"Oui, continue, je vais venir...".
Très vite, j’entends un cri noyé et Silvina s’agite, traversée par un orgasme fantastique. Je reviens vers son visage et nous nous donnons plusieurs baisers.
Je suis encore dur et alors elle me pousse sur le dos, monte sur moi, et introduit ma verge dans sa chatte. Elle commence à se balancer sur ma verge tendue qui entre et sort de son vagin. Je la regarde un moment, c’est merveilleux. Sa poitrine touche ma tête, son ventre monte et descend sur le mien. Ses cheveux s’agitent d'un côté à l’autre. elle me fait l’amour comme jamais une autre femme me l’a fait, même se mère. Silvina sait ce qu'elle fait... elle m'emmène jusqu'au point de non retour, là où je vais exploser. Peu à peu nous atteignons un orgasme qui est presque simultané et elle s’effondre sur ma poitrine tandis que mon sperme coule dans sa chatte. Je sens ensuite ma verge se détendre au milieu de nos fluides à tous les deux. Elle me donne un baiser, il me dit : "Je savais que tu serais un grand amant...".
Il se pose sur mon épaule et peu à peu nous nous endormons avec nos corps collés. Le matin, je me lève alors que Silvina est encore endormie, nue et plus belle que jamais. Je prends un bain et elle se réveille entre temps et je prépare le déjeuner. En la voyant sur le lit, je ne peux croire que je vois la femme avec laquelle j’ai joui et que cette femme est Silvina, ma fille. Elle se lève et dans toute sa nudité, elle s'approche de moi. Elle me dit bonjour et me donne un baiser sur les lèvres puis entre dans la salle de bain. Après quelques minutes, elle sort et... nue, elle me regarde et elle me dit :
"Jje suis heureuse de ce que nous avons fait hier soir, et toi?".
J'ai acquiescé de la tête et je lui donne un chaud baiser sur les lèvres. Nous prenons le déjeuner en regardant la mer presque sans parler. Quand nous terminons, je demande si elle en veut un peu plus, en pensant à quelque chose pour manger, et elle me répond :
"Oui, je veux te faire l'amour".
Mon maillot, disparaît très vite. Nous retournons sur ce lit où nous avons tant joui la nuit précédente et nous nous effondrons sur lui. Nous nous embrassons et nous caressons frénétiquement. Rapidement, nous sommes très excités et Silvina me dit : "Je veux te sentir en moi".
Ses jambes s’écartent un peu pour que je la pénètre. Je la prends lentement, en cherchant à ce qu’elle ait un orgasme la première ; ce qui ne tarde pas à arriver, avec le même cri noyé de la nuit précédente. Ma verge reste dure. J'ai un degré d'excitation jamais obtenu avec une autre femme. Je la pénètre lentement pour ensuite augmenter le rythme. Silvina est tordue dans le lit tandis qu'elle crie "J'aime ça, j'aime ça, viens dans ma chatte... ". Elle a de nouveau un orgasme. Silvina a cette caractéristique de quelques femmes qui peuvent contracter leur vagin, c’est quelque chose qui m'excite beaucoup. Je sens que ma verge est serrée par son vagin et je ne peux supporter plus... et j’éjacule dans son ventre pendant que Silvina atteint son dernier orgasme.
Nous passons la journée entière dans la maison, nous mangeons très peu car chaque fois que nous voulons sortir pour manger un de nous deux décide qu'il veut faire l'amour et l'autre accepte. Nous terminons les vacances ainsi, comme deux amants. Voilà sept mois que cela c’est passé, nous ne nous sommes plus vus depuis. Bien que nous nous parlions parfois au téléphone sans aborder le sujet. Je me demande ce qui va arriver la prochaine fois que nous nous verrons... _.

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Mercredi 14 décembre 3 14 /12 /Déc 19:58

Une précision est nécessaire avant d’entamer l’histoire que je vais vous raconter. Si l’inceste est un tabou ancestral, véhiculé par les religions et certaines civilisations de par le monde, il l’est doublement en France. Le sujet est associé automatiquement à la pédophilie voir au viol. Les différentes affaires d’agressions sexuelles sur mineurs, que ça soit au sein de la famille ou en dehors, que la France a connu ces dernières années sont pour beaucoup dans l’amalgame qui s’est opéré. La confusion est affligeante car on a pas le droit de confondre deux situations qui n’ont de lien que la nature des relations filiales. L’age légal pour faire l’amour, en France, est de 15 ans. Tout acte sexuel avec un enfant de moins de 15 ans est considérer comme de la pédophilie, qu’il y a consentement ou pas. Ceci est valable en dedans et en dehors de la famille. Quant à la répression du viol, cela concerne toutes les catégories d’age. Ce qui est normal. Or de quoi s’agit-il ? L’inceste est cette relation sexuelle que pourraient avoir deux membres d’une même famille. Et le degré de parenté diffère d’un peuple à un autre et d’une religion à une autre. Tandis que les musulmans tolèrent le mariage entre les cousins, les chrétiens l’interdisent sous peine d’inceste. Ce petit exemple nous renseigne sur la subjectivité dans le traitement du problème, si problème il y a !!! Ainsi, la loi autorise les relations sexuelles entres adultes et consentants. Sans précision si ces adultes sont parents ou pas. Bien que cette dernière interdise les mariages entre membre d’une même famille elle ne dit mot sur les relations sexuelles entre ces même membres. Reste la morale qui persiste et n’en démord pas sur la diabolisation de ces relations là. L’argument l plus fréquent, dans les deux cas, est la procréation entre (mère-fils, père-fille, frère –sœur, tante-neuveu.etc) Mais, est ce que cet argument tien toujours à l’époque de la contraception? La question se pose ! Si la mauvaise foie des institutions et de la religion n’est pas clairement établie par contre certains indices plaident contre eux. Dire qu’interdire l’inceste est pour sauvegarder le genre humain des maux qui pourraient l’accabler va à l’encontre de ce qu’a connu la civilisation humaine depuis la nuit des temps. La civilisation égyptienne, par exemple, bâtissait ses dynasties sur la des mariages incestueux et ça ne les pas empêcher d’établir l’une des plus grandes civilisations du monde.


 

 

 

 

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Mardi 6 décembre 2 06 /12 /Déc 17:11


Bonjour,

 

Je me présente, je suis Florence 48 ans petite brune. Je suis veuve depuis
bientôt 3 ans suite à un accident de la route. Je vis avec mon fils JC qui a 25 ans avec qui j’entretiens des relations sexuelles depuis deux ans maintenant, je dois dire que nos relations sont plutôt hard en effet depuis le début je suis sa soumise, j’accepte tout de lui, je suis sa mère sa femme sa maîtresse son esclave et sa putain personnelle.
Mais revenons au début de notre relation, nous étions tous les deux en vacances dans un petit studio, l’étroitesse des lieux nous obligeait souvent à nous voir en petite tenue voir quelques fois nus ce qui m’excitait je dois l’avouer. Un matin alors que je n’avais pas vraiment le moral, JC est venu près de moi pour me consoler puis il a commencé à me chatouiller comme il le faisait quelques fois, je me suis prise au jeu et comme des enfants nous nous courions après autour de la table et quand il a voulu m’attraper, sa main n’as pris que ma nuisette ce qui eut pour effet de la déchirer, je me retrouvais nue devant lui et j’ai essayé de récupérer mon habit au sol mais malheureusement j’ai perdu l’équilibre et je me suis retrouvée allongée sur le lit sans savoir quoi faire.
JC a été aussi surpris que moi mais il a fait comme si de rien n’était et il a continué notre petit jeu, trop heureux je pense de pouvoir toucher le corps d’une femme, je me tortillais sous ses chatouilles mais pendant mes contorsions, ma main s’est posée au niveau de son sexe qui était
bandé. A ce moment, notre petit jeu a pris aussitôt fin et je lui dis

 

« Je sais que nous allons faire une bêtise mais je n’en peux plus de voir ton sexe devant moi sans pouvoir en profiter mais là je craque »

 

Je commençais à le branler doucement au fur et à mesure que sa bite devenait bien dure.

 

«Tu sais maman moi aussi j’y ai pensé souvent, tu l’as déjà vu »

 

Je me suis rapprochée de lui pour l’embrasser à pleine bouche, il a posé sa main sur mon sein et a commencé à me peloter. Après quelques minutes de pelotage mutuel je lui ai dit :

 

«tu sais quand ton père était là, nous avions des relations sexuelles très hard et diverses et maintenant que tu es là, j’espère reprendre tout cela car ça me manque beaucoup ; je te raconterais tout ce que tu veux savoir mais pour le moment laisse aller tes instincts et prends-moi comme bon te semble. »

 

Il a compris à ce moment que je ne lui refuserais rien et qu’il pourrait bien en profiter.

 

«Tu sais maman moi aussi j’aime l’amour hard et ne sois pas paniquée si
j’emploie des mots un peu crus »

 

«Tu sais mon petit amour, tu peux tout me dire et me traiter comme la pire des putes ; d’ailleurs viens vite fourrer ta bite dans les trous de ta salope de mère.»

 

« D’accord Florence commence par me tailler une bonne pipe »

 

Je descendis mon visage au niveau de sa queue, ouvris la bouche et engobai
pratiquement en entier sa bite, je commençai des va et viens et lui pompai le dard comme une vrai pro. Ses mains pendant ce temps jouaient avec mes seins, puis ses doigts se mirent à me pincer les tétons de plus en plus fort, je reculai la tête pour lui dire :

 

« Oui petit vicieux tu peux y aller tu as la même bite que ton père et le même esprit vicelard, je crois que je vais bientôt reprendre mon état d’esclave sexuelle et j’en mouille déjà »

 

« Oh oui ma salope, tu vas devenir ma chose mais pour le moment il faut que tu me vides les couilles au fond de ta gorge »

 

Je repris ma position à quatre pattes en face de lui, à genoux sur le lit, ma bouche coulissant sur sa tige de plus belle.

 

«Oui suce-moi bien, vieille chienne, aspire-moi bien à fond, excite-moi, je vais bien m’occuper de toi et je vais m’appliquer à faire de toi ma putain personnelle.»

 

Il se pencha légèrement et posa ses mains sur mes fesses et les écarta, il put voir pour la première fois ma petite rosette fripée et fit glisser son majeur vers mon petit trou et il força le passage, mon cul s’ouvrit et il commença à me branler par ce trou qui n’avait pas été visité depuis longtemps mais il dut lâcher prise en sentant que ma fellation allait bientôt porter ses fruits.
J’avais senti aussi l’imminence de l’explosion et je le pompais de plus belle.

 

«Vas-y suceuse de mère fais-moi jouir ! »

 

Son foutre explosa au fond de ma gorge, quatre giclées bien fournies, j’avale sa semence fraîche, puis je me relevai avec des traces de foutre au coin des lèvres.

 

« Alors mon chéri comment trouves-tu la bouche de ta mère ? »

 

« Si j’avais su ça plus tôt, crois-moi, j’en aurais déjà abusé et je pense que je t’aurais violée depuis longtemps ! »

 

Nous nous allongeons sur le lit pour un peu de repos tout en continuant à nous caresser : ma main sur sa pine, lui me caressant le clito.

 

« Dis donc maman, tu m’as dit tout à l’heure que tu avais des relations hard avec papa, dis-moi en plus en attendant que ma bite reprenne forme pour te défoncer »

 

« Oui bien sûr, ton père était comme toi, il aimait me traiter comme une traînée, il m’a baisée par tout les trous et j’aimais ça, il m’a offerte à plusieurs de ses amis, il a même réussi à me faire gouiner avec plusieurs filles dont ma sœur, j’ai même servi de trou à bites lors d’un de ces repas d’affaire avec ses clients et crois-moi j’ai vraiment aimé être humiliée pour son plaisir »

 

« Mais alors maman tu es une vraie salope, moi qui rêvais de trouver une fille pour en faire ce que je voulais et voilà que tu es exactement ce que je voulais, j’ai envie de baiser maintenant mets-toi à quatre pattes »

 

Une fois en place, il s’est mis derrière moi, il a pris sa bite dans la main et une fois bien en place, en face de mon vagin il m’a pénétrée d’un seul coup en me tenant bien par les hanches ; il me limait à fond, et je pris son pied une première fois, ses assauts étaient de plus en plus violents, sa main s’est alors abattue sur mon fessier et il portait des coups de plus en plus violents, j’avais orgasme sur orgasme, sa bite était inondée de mouille mais je réussis à lui dire :

 

« Défonce-moi plus, abuse de moi, lâche ta purée dans mon con, déchire-moi,
baise ta pute de mère »

 

A ces mots, il rentre sa bite bien au fond de ma matrice et lâche tout son sperme en hurlant son bonheur, il finit par s’étaler sur mon dos en sueur.

 

« Ecoute-moi, ça me plaît de savoir que maintenant tu es à moi donc tu devras m’obéir, faire tout ce que je veux, à partir de ce jour tenue sexy obligatoire, sous vêtements interdits en ma présence, tu vas être mon esclave et ma pute. »

 

« Si cela fait ton bonheur alors oui, fais de moi et de mon corps ce que tu veux»

 

Depuis ce jour, ma chambre est devenue la nôtre, mes tenues sont devenues courtes et transparentes et il abuse à volonté de tous mes trous et nous vivons des histoires folles de sexe seul ou à plusieurs, mais cela est une autre histoire.

 

Nota :dans un soucis de facilité ce sera JC qui vous contera la suite de nos aventures bien que de temps à autre, je reprendrais le clavier.

à suivre...


 

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 16:35

Bonjour, je viens vous raconter une histoire peu banale, je suis Martine, j’ai 42 ans mariée avec Laurent 45 ans, et nous avons deux garçons Christophe 21 ans et Fabien 17 ans.
Laurent est commercial, et de ce fait, il passe parfois deux ou trois jours sans revenir à la maison. Et ce soir là justement il n’était pas présent, j’étais seule dans mon lit, terrorisée par l‘orage qui se déchaînait, et qui m’avait réveillée. Les roulements de tonnerre étaient vraiment effrayants. Je suis consciente qu’à mon âge je devrais me contrôler, mais l’orage avait toujours déclenché en moi une peur panique. Tout à coup un bruit de tonnerre encore plus violent que les autres, me fait trembler, absolument paniquée, je m’enfuis de ma chambre pour aller chercher une protection près de mon fils Fabien. Lui aussi avait été réveillé par le bruit, et connaissant m’a peur, il ne fut pas surprit de me voir arriver.
Avec sa permission je me suis glissée dans ses draps, et je me suis serrée contre lui pour qu’il me protège de ses bras.
Nous étions en été, et dans m’a panique je n’avais même pas pensé à m’a tenue : une simple nuisette en satin sans rien dessous, lui n’avait qu’un slip, mais cela je ne l’ai vu qu’après car pour le moment j’étais blottie dans ses bras, et il essayait de m’encourager en me disant des petits mots et en m’embrassant gentiment sur le front. Sur un nouveau roulement de tonnerre je me suis aplatie encore plus contre lui, et à cet instant j’ai nettement senti une bosse au niveau de son bassin contre ma cuisse. Je n’étais plus en état d’analyser la situation, J’aurais dû me lever et sortir, mais j’en étais incapable, tellement paralysée par la peur. Lui de son côté avait bien tenté de s’écarter mais je ne pouvais pas m’empêcher de me blottir contre lui.
Puis soudain, le vacarme cessa, le tonnerre n’était plus qu’un roulement lointain.
Peu à peu, je reprenais mon calme, c’était maintenant Fabien qui se serrait contre moi et je n’avais plus aucun doute, il était en érection et il me le faisait sentir. Tout d’un coup, je me rendais compte de la situation, je ne savais pas quoi dire ni quoi faire. Fabien prenant mon silence pour un accord, glissa une de ses mains sous ma nuisette.
-Fabien tu es fou ! Arrête!
-Ho maman, laisse toi faire ! J’en ai tellement envie.
J’étais déboussolée, cela faisait plusieurs jours que Laurent était parti, je me sentais seule, il y avait ce sexe dur et chaud collé contre ma cuisse, et cette main qui m’empoignait la motte.
-Toi aussi tu en as envie maman, regarde t’es toute trempée.
Effectivement à ma grande honte, je dois avouer que sa caresse ne me laissait pas insensible. Et puis il y eut cette demande de Fabien :
-Maman branle moi toi aussi.
En disant cela il me prit une main et il tenta de l’amener vers son sexe. Devant ma résistance il me dit :
-M’man j’ten prie !
Il y avait dans sa voix tellement de désir mêlé de détresse, que j’ai fait ce qu’il demandait. Et c’est ainsi que je me suis retrouvée en train de masturber mon fils pendant qu’il me masturbait lui aussi. Jamais je n’oublierai la sensation de sa verge chaude et dure dans ma main, j’ai été heureuse de constater qu’il était bien pourvu, et en le branlant comme ça dans le noir j’avais l’impression de branler son père tant leurs queues étaient semblables. Et puis soudain, je sentis Fabien se coucher sur moi. Comprenant ses intentions, j’essayais de me dégager.
-Arrête Fabien! Ne fais pas ça.
-Pourquoi ?
-Parce que je suis ta mère et qu’il ne faut pas.
-Mais regarde, comme j’en ai envie.
En disant cela, il avait appuyé sur l’interrupteur de sa lampe de chevet.
-Regarde comme tu me fais bander! Et toi aussi t’en a envie je le sais !
Il y eut une petite lutte entre nous, mais plus pour la forme car c’est vrai que j’en avais envie, et que si je ne l’avais pas vraiment voulu, il ne m’aurait pas possédée, ce qu’il fit dès que je relâchais la pression de mes cuisses. Il me prit non pas comme un petit sauvage avec des grands coups de reins, mais comme un homme qui sait faire l’amour à une femme, doucement, tendrement.
Ma nuisette maintenant inutile fut enlevée, et il se mit en devoir de me caresser les seins, de les embrasser, de les téter. Moi je lui avais baissé son slip aussi loin que possible, et je lui pétrissais les fesses, j’ai toujours aimé les fesses des hommes et son petit cul musclé de jeune mec sportif me comblait. Je le regardais pendant qu’il me limait et comme il ressemble beaucoup à son papa, j’avais l’impression d’être revenue plus de vingt ans en arrière. Tout à coup, je sentis ses mouvements s’accélérer, il me lança un regard troublé et je compris qu’il ne savait pas s’il pouvait me jouir dedans.
-Viens mon chéri, donne moi tout, vide toi en moi...
-ARRGH....Maman!!!!
Quel bonheur pour moi de voir la jouissance sur son visage !
Nous nous sommes endormis, enlacés, et nous avons recommencé le lendemain matin.
Je tiens à dire que lorsque Laurent est rentré, je l’ai mis au courant. Je ne voulais pas d’une situation qui aurait été pour Fabien d’attendre et d’espérer le départ de son père pour me faire l’amour, et puis je voulais que tout soit clair car j’aime mon mari, s’il avait été contre j’y aurais mis un terme. Mais cela n’a pas été le cas, bien sûr, il a été frappé de stupeur quand je le lui ai annoncé. Et puis il a plutôt bien accepté ce fait, il a simplement eu une discussion sérieuse avec son fils, que j’étais toujours sa mère quoi que nous fassions ensemble, que s’il avait d’autres rapports à l’extérieur avec des jeunes filles, il utilise des préservatifs pour ne pas qu’il se contamine par une M.S.T et qu’il me contamine en retour.
Dans le fond je sais que Laurent est excité par cette situation, je me suis rendue compte qu’il adorait me prendre juste après le passage de son fils, il me dit qu’il a l’impression de rentrer dans un pot de yaourt tellement Fabien largue du foutre, il me traître de salope, de putain, et comme maintenant il me fait l’amour avec la porte de notre chambre ouverte pour que son fils l’entende, ce petit garnement utilise les mêmes termes que son papa.... et j’adore cela.
Je ne regrette rien, si ce n’est de ne pas l’avoir fait plus tôt, et avec mon fils aîné Christophe aussi. Mais il a un studio et comme il a une petite copine, il ne rentre pas souvent et d’ailleurs il ignore ce que je fais avec son frère.
Voilà mon histoire, si vous avez des commentaires, ils sont les bienvenus

Par Martine - Publié dans : incestueux
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 16:24

Suite à la découverte de ce site et surtout de ses histoires, j’ai décidé avec l’accord de mon fils de raconter notre histoire.
Je m’appelle Nadège et je suis une mère qui vit avec son fils Philippe depuis maintenant 3 ans. Comment cela a-t-il commencé ? Disons simplement que le désir sexuel a été plus fort que les liens familiaux.
Divorcée de mon mari, j’ai eu la garde de mon fils qui a maintenant 23 ans et moi 43. J’ai une bonne situation ce qui me permet de l’élever correctement.
Notre histoire s’est déroulée il y a maintenant 3 ans. Il avait à l’époque 20 ans et comme tous les garçons de son âge, il lui arrivait d’avoir des petites copines. Un soir en rentrant du travail, je le découvrais assis devant la télé avec sa petite copine de l’époque qui s’appellait Alexandra, il me demanda si elle pouvait rester dîner et dormir à la maison, n’y voyant aucun inconvénient, j’ai accepté. Après le dîner, je les ai laissés et allais me coucher, fatiguée par une dure journée. Au milieu de la nuit comme à mon habitude, j’ai des problèmes d’insomnie, je me suis levée pour aller boire un verre et prendre un cachet dans la salle de bain. Je n’ai pas allumé la lumière car ma chambre et celle de mon fils communiquent directement avec la salle de bain et je sais qu’il dort souvent avec la porte ouverte et je ne voulais pas le réveiller. Lorsque je suis entrée dans la salle de bain, j’ai constaté que sa porte était entrebâillée et qu’il y avait une petite lumière qui venait de sa chambre. Etonnée qu’il ne soit pas encore endormi à cette heure tardive de la nuit, j’ai voulu aller lui demander pourquoi il ne dormait pas encore. Mais lorsque je me suis approchée de la porte, j’ai entendu des gémissements, je me suis arrêtée nette. Par l’entrebâillement, je le voyais en train de baiser Alexandra, c’est vrai que j’avais oublié qu’elle dormait à la maison cette nuit. Alexandra était assise à califourchon sur mon fils et il la tenait par les fesses et tous deux rythmaient en cadence. J’avoue être un peu troublée par cette vision assez érotique et très sensuelle. Je ne l’avais pas remarqué de suite à cause du peu de lumière provenant de la veilleuse mais il n’était pas en train de la baiser mais plutôt de la sodomiser car sa queue était plantée dans son cul, et quel cul, il savait les choisir ses copines. Je les observais encore un petit moment, plus par curiosité qu’autre chose, car je n’avais jamais pratiqué la sodomie. Je les laissais ensuite, retournant me coucher non sans avoir eu des pensées troublantes sur ce que je venais de voir.
Le lendemain soir, pendant le repas, nous avons discuté de choses et d’autres, de nos journées respectives, de son avenir, des études qu’il veut faire et de ses intentions vis à vis d’Alexandra, et à ce propos je lui ai dit que j’avais entendu leurs ébats la nuit dernière;à cela, il rétorqua en disant avec un petit sourire que je ne les avais pas qu’entendu mais vu aussi. Cette remarque me fit rougir ; il m’avoua qu’il avait fait exprès de laisser la porte entre ouverte connaissant mes insomnies et qu’il m’a vu les observer à travers le miroir de son armoire et que cela l’avait excité encore plus.
« Tu n’as pas honte de me dire ça ? »
« Pas du tout, c’est la stricte vérité, et toi qu’en as-tu pensé ? »
Essayant de garder le contrôle de moi-même pour ne pas lui montrer que j’étais un peu gênée par la question.
« J’ai trouvé cela très beau, 2 personnes qui font l’amour est très sensuel »
« Cela ne t’a pas un peu excité toi aussi ? »
J’ai vu que la conversation prenait une mauvaise tournure, alors je me suis levée cherchant à débarrasser la table en espérant qu’il s’en irait vaquer à ses occupations. J’étais donc en train de faire la vaisselle quand je sentis ses mains se poser sur mes hanches, je portais un jogging rouge et un petit haut à bretelles noir en coton qui s’arrêtait juste au dessus du nombril.
« Qu’est ce que tu fais ? »
« Rien de spécial, mais tu n’as pas répondu à ma question, avoue que cela t’a excité au moins un peu, tu n’as pas eu beaucoup d’amants ces temps-ci, cela doit te manquer un peu quand même, non ! »
« Oui c’est vrai cela m’a un peu troublée, voilà tu as eu ta réponse, laisse moi maintenant terminer de faire la vaisselle ».
Ses mains sont peu à peu remontées, caressant mon ventre, pour ensuite passer sous mon petit haut et venir attraper mes seins.
« Que fais-tu, arrête ça tout de suite »
Sans m’écouter, il continua ses caresses sur mes seins, jouant avec mes tétons que je sentis durcir malgré moi. Coincée entre lui et l’évier, je ne pouvais bouger, je ne savais plus ce qu’il m’arrivait ; mon fils était en train de me caresser les seins, une situation que je n’aurais jamais imaginée même dans mes pires cauchemars.
J'étais partagée entre arrêter cet acte tabou et celui de me laisser aller à faire quelque chose d'inavouable mais tellement excitant. C'est lui qui a, en quelque sorte, pris la décision pour moi lorsque sa main gauche a délaissé mon sein et est descendue, passant la barrière de l'élastique de mon jogging pour arriver entre mes cuisses.
« Mais tu mouilles maman ? »
Sa déclaration a brisé définitivement mes dernières volontés, j'ai compris alors que je ne pouvais plus faire marche arrière et me suis donc laissée aller, telle une poupée de chiffon dans les bras de mon fils. Je basculais ma tête en arrière et pour la première fois, nos lèvres se sont rencontrées dans un baiser torride, je sentais son sexe durcir contre mes fesses, notre baiser sembla durer une éternité, j'avais l'impression que le temps s'était arrêté, je me disais que si c'était un rêve, que jamais je ne me réveille et que si c'était la réalité, que jamais je ne m'endorme. C'est une fois de plus lui qui m’a fait redescendre sur terre, il a reculé, m'entraînant avec lui, m'a allongée sur la table de la cuisine, il a ensuite remonté mon haut au dessus de mes seins et à commencé à me les lécher en mordillant les tétons, j'ai eu un orgasme foudroyant, qui a duré plus d'une minute, jamais je n'avais ressenti quelque chose de si intense, j'avais l'impression d'avoir perdu connaissance tellement j'ai joui. Ne me laissant pas un instant de répit, il me retourna et baissa mon jogging à mes pieds, j'étais complètement dans les vaps, et je le voyais qui dégrafait son jean et baissait son boxer pour faire apparaître une queue, celle là même qui hier soir était dans les fesses d'Alexandra. Je me demandais à quelle sauce j'allais être mangée, trop fatiguée pour esquisser le moindre mouvement, j'étais là le cul à l'air, offerte à mon bourreau de fils.
Sans prévenir, il me pénétra de force, je poussais un cri mélangé à un gémissement, il me baisa avec beaucoup de conviction et de force, j'avais l'impression d'être une chienne, de me sentir sale, d'être une mère indigne qui baise avec son fils et pourtant je me surprends à aimer cela. Cette queue qui va et vient me procure le plus grand bien. Comment peut-on ressentir cela dans de tels moments. (C’est la question que je me pose encore à l'heure actuelle, est-ce que le sexe est plus fort que les liens familiaux ?). Quoiqu'il en soit à chaque pénétration, je gémissais de plus en plus fort, c'était tellement bon. Il m'a redressée pour que je prenne appui sur mes bras afin qu'il puisse saisir mes seins tout en continuant à me besogner. Il a ensuite malaxé mes fesses en les écartant, en les triturant dans tous les sens ; il a même insinué un doigt dans mon cul, mais il a senti que je me contractais à son contact, le retirant de suite il a continué à me baiser. Je ne me rappelle plus combien d'orgasmes j'ai eu avant qu'il ne jouisse, je pensais que c'était fini pour ce soir, qu'il avait eu satisfaction, j'étais loin d'imaginer la suite. Malgré qu'il ait joui, sa queue n'avait pas tout à fait débandé (sûrement du à la force de la jeunesse), moi étalée sur la table comme un pantin essayant de reprendre tant bien que mal mon souffle, toujours cul à l'air avec le surplus du sperme de mon fils qui dégoulinait le long de mes jambes.
Prétextant me nettoyer un peu, il récupérait le surplus et me le déposa sur l'anus au passage, et sans crier gare, il me sodomisa, trop fatiguée pour voir venir la chose, j'ai ressenti la pénétration comme un viol, essayant de me débattre et en lui disant d'arrêter mais il me plaquait fermement sur la table et j'ai du subir ses assauts pendant plus de 20 min. La douleur était intense mais au bout d'une dizaine de minutes, elle laissa place à des gémissements et je me surprenais à la fin à couiner comme une chienne en chaleur et à en redemander, il me souria en disant qu'il savait que j'allais apprécier, il a continué à me sodomiser jusqu'à jouir dans mes entrailles. J'ai du perdre connaissance, puisque je me suis réveillée le lendemain dans mon lit, en espérant avoir rêvé de tout cela, mais mon cul endolori et le sperme séché sur les draps et mes cuisses m'ont convaincue de la réalité des choses.

Voilà vous savez maintenant comment tout cela a commencé, si vous le désirez je peux vous faire partager d'autres expériences, j'attends maintenant vos histoires ou vos questions, je me ferai une joie de faire partager mes avis avec vous.

nanouphilou@wanadoo.fr

 

Chers lecteurs, le site nouveau est entrain de se faire

 

  http://www.incest.over-blog.com/ 


Par Nadège et Philippe - Publié dans : incestueux
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