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Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 19:01

  Mais qu'est ce qui leur a pris aux parents de fabriquer ce chiare? Moi je demandais rien à personne et surtout pas un mouflet qui va venir
m'emmerder et me pourrir ma vie tranquille dans cette famille bourgeoise
et sans histoire aucune. Ils sont débiles ou quoi? pour se replonger dans
les histoires de couches à changer et de biberons en pleine nuit! Après
être sorti d'affaire avec moi qui ai maintenant seize ans et me
débrouille très bien seul, je ne vois vraiment pas pourquoi ils ont fait ça.
Sans doute la peur de vieillir qu'éprouvent certains bipèdes quand ils
approchent de la quarantaine comme papa. Maman elle, elle frise les trente
cinq. Jusqu'ici, elle vivait sa petite vie bourgeoise entre le tennis et
le shopping et les thés pris entre copines chez l'une ou chez l'autre. Une
vie confortable et sans souci quoi, très bourge, très aisé très con aussi,
mais c'est un autre problème.

Depuis que je sais que maman est en cloque je ne décolère pas, je fais la
gueule carrément. J'ai l'air de quoi dans ce tableau? Les potes à l'école ne vont pas tarder
à me faire des réflexions du style " tiens, ta mère est enceinte? à son
âge, tu vas avoir un petit frère ou une petite sœur, veinard va! " ou
encore plus cru "elle est en cloque ta vieille?!!! " ou bien plus ironique : " ils s'embêtent pas tes parents on dirait! dis donc, qu'est ce qu'il lui a mis ton père! " Je sais que certains n'hésiteront pas à mettre en doute la paternité de mon père en prétendant qu'à cet âge
c'est souvent un autre qui est le vrai père. Bref je devrai passer par
toutes sortes de réflexions et ça j'ai du mal à l'admettre, d'autant plus
que je n'ai pas envie de me mettre tout le monde à dos, peinard je vous
dis, peinard, j'ai pas besoin d'embrouilles.

Ils sont gagas depuis qu'ils savent. Mon père est aux petits soins avec
maman, il lui épargne tout ce qui est pénible à la maison, il fait le
ménage. Il m'énerve et je préfère prendre la tangente quand il est là.
Heureusement c'est pas souvent, papa est du genre businessman, toujours
sur la brèche et par monts et par vaux. Il est rare qu'il soit là en
semaine, toujours entre deux avions et deux fuseaux horaires. Maman n'a
qu'à se la couler douce pendant ce temps, c'est pourquoi j'arrive pas à
comprendre cette sorte de cata qu'ils m'ont tricotée sans rien me dire.

Remarquez, ils n'avaient pas à me demander la permission pour faire leur
connerie, mais quand même, s'ils m'avaient demandé avant j'aurais mis mon
veto. Mais c'est trop tard, maman est enceinte et il n'y a pas à y
revenir. Elle sent bien que je fais la gueule, ça la chagrine. Elle essaie de
rattraper le coup mais je me dérobe pour montrer mon hostilité, je me
tire, je fous le camp, m'éloigne de cette baraque. S'ils veulent pouponner qu'ils le fassent sans moi. Mais je sens que maman ça la rend triste mon attitude, elle sent bien
qu'ils ont gaffé et qu'ils auraient du me demander. Elle fait des approches, me sourit et essaie de me parler dans les coins. Rien à faire, je m'esquive et je fuis. Je la trouve et peu con avec son ventre qui n'arrête pas de grossir, ses seins qui ont gonflé et doublé de volume. Fini le tennis, pas question de courir après la petite balle avec son gros bidon, elle sort moins aussi et reçoit davantage ses copines piaillantes et hystériques à l'idée que maman soit enceinte. Je ne vois pas ce que ça leur apporte à elles, mais elles sont toutes excitées comme des puces,
j'en sais même qui sauteraient bien le pas pour emboîter le pas à ma mère
et se faire-faire un gosse elles aussi. C'est contagieux comme état et ça
provoque des confidences, car j'ai beau fuir, je ne suis pas très loin, à
portée de voix pour entendre ces dames se plaindre de leurs maris dont
l'ardeur au lit faibli. Elles voudraient bien elles aussi se faire-faire
un petit avant que n'arrive la quarantaine, enluminer leurs vieux jours
par des babillements juvéniles, mais monsieur ne veut pas ou bien il est
trop fatigué d'avoir gagné trop de pognon dans la journée, ou d'avoir déjà
eu ce qu'il voulait avec sa secrétaire si dévouée. Elles savent tout ces
dames! j'en suis sur le cul, même les coucheries de leur maris. Elles
devinent, instinctivement et connaissent leur bonhomme sur le bout de
leurs doigts mani-curés. Remarquez, elles ne sont pas en reste coté sexe, c'est pas les galants qui manquent surtout que généralement elles sont bien balancées les mémés, je
le sais, je matte, je vois leur corps encore bien roulé et leurs cuisses
bien fuselées quand elles sont assises sur notre canapé profond. J'en ai
même vu qui me montraient plus que je n'aurais du voir.

Bon, je m'éloigne du sujet. Maman fait des efforts considérables pour me
rattraper par la manche, elle me fait mes plats préférés mais j'y touche à
peine. Elle m'achète des fringues, des baskets, des trucs et des machins.
Quand je suis dans ma chambre, elle vient me voir et me prend dans ses
bras. Elle me colle contre sa poitrine volumineuse, je m'enfonce là dedans
comme dans un édredon. C'est doux et dur à la fois, si elle continue elle
va me faire bander. Tiens c'est fait! je me paie une gaule pas possible,
j'essaie de me retirer mais elle me tient fermement contre elle, ma frime
s'imprime dans ses nichons, merde, j'étouffe entre ses roploplos rebondis.
Je voudrais respirer, remonter à la surface, temps pis j'y mets les mains,
c'est ma survie qui en dépend. Je prends le sein de maman dans ma main et
je masse pour me donner de l'air. La vache c'est bon cette chair
élastique, maman ne dit rien et sent bien que je manque d'air, elle
relâche son étreinte et me laisse respirer, mais ma main est toujours à la
même place, je ne peux me défaire de cette sensation voluptueuse. Maman me
sourit toujours, je la regarde, ma main palpe son sein gonflé, c'est dur
et tendre, drôle de sensation. Je sens que je rougis à vue d'œil,
l'émotion, ma bite est dure dans mon pantalon, voilà que je bande pour
maman maintenant!

Ma main joue toujours avec son sein, j'en palpe la rondeur et je sens le
téton qui durcit à chaque fois que je passe ma paume sur lui. Le sourire
de maman se fige un peu, elle prend ma main et arrête le mouvement qui
était le mien. Elle glisse ma main sur son ventre rond et me fait caresser
la rotondité de son abdomen. Je suis fasciné et me laisse faire, son
ventre est dur et plus rond que je ne l'imaginais. Elle est enceinte six
mois mais je n'ai jamais touché un ventre de femme enceinte. Ma main se
promène sur son ballon, de gauche à droite j'en prends la dimension, et de haut en bas aussi, ma main glisse sous son nombril jusqu'au pubis. Je la
regarde dans les yeux, elle est troublée je le sens. Moi j'ai peu
d'expérience féminine, juste quelques attouchements au bal de l'école, une
main dans la culotte pendant un slow, peu de chose. Mais je sais ce qu'est
une chatte de femme! Ma main glisse toujours, j'ai envie de voir jusqu'où je peux aller sans me faire rabrouer. J'ai la main sur la chatte maintenant, carrément, maman
réagit enfin et se recule un peu " voyons Fabien! ". Je me lève et je
prends sa main pour la mettre sur la bosse qui orne mon pantalon. Maman a
rougi violemment mais sa main reste où je l'ai mise. " Je ne savais pas
que je te faisais cet effet " me souffle-t-elle. Je ne réponds rien,
l'instant paraît si irréel. Je tends les bras vers elle et la prends dans
mes bras. Je ne sais plus ce que je fais, j'ai envie d'elle et elle ne se
dérobe pas. Je sens son ventre qui repousse le mien, ses seins qui
refoulent ma poitrine et je l'embrasse dans le cou . " Non! Fabien! " mais
elle ne bouge pas quand mes mains se promènent sur son dos de ses épaules
à ses fesses. J'embrasse furieusement ses épaules alternativement et avec
fougue. Mes mains palpent le bas de ses reins, ses fesses sont fermes, je
sens la culotte qui glisse sous mes doigts. J'ai remonté la robe de
grossesse et je flatte la chair nue, je suis passé sous son slip et je
masse ses globes fessiers. Maman halète dans mes bras, surprise par mon
attaque soudaine, elle ne bouge plus et se contente de temps en temps de
murmurer " Fabien! " d'un ton de tendre reproche et de surprise.

Je ne m'arrête plus, sa robe remonte entre mes mains, j'ai défais la
fermeture dans le dos et le vêtement glisse sans difficulté par dessus ses
épaules. Maman est en soutien gorge noir, sa culotte est assortie, mais ce
qui me fascine le plus est ce ventre proéminent qu'elle pousse devant elle
comme un trophée. J'en prends plein les yeux: son ventre gonflé, ses seins
dardés comme des obus. Je perds un peu les pédales et je me précipite pour défaire l'agrafe du
soutien gorge, je le lui arrache plus que je ne l'enlève. Les seins
bondissent vers moi, leurs auréoles sombres et les tétons durs et
saillants. Maman me regarde, vaguement apeurée alors que je me rue sur ses
seins et embouche un téton que je me mets à téter furieusement. " Fabien,
Fabien, mon chéri, qu'est-ce que tu fais, oh Fabien! qu'est-ce que tu
fais! ", Je n'écoute plus, je tète ma mère tandis que mes mains s'égarent
sur son corps. Je sens bien qu'elle n'est pas contre, que ça lui fait du
bien, mais il y a le poids du qu'en dira-t-on, si ça venait à se savoir,
l'infamie de l'inceste, la honte perpétuelle d'avoir fauté avec son fils.
Elle résiste et se tortille tandis que ma main fouille sous sa culotte, je
suis dans la jungle chaude de sa toison. Vache! elle est fournie maman,
c'est dru et serré, mes doigts naviguent au radar à la recherche d'une
grotte probable que je n'arrive pas à situer encore. Elle a beau balancer
des " non! " sans trop de conviction, je lui fouille la foufoune et je
parviens à l'entrée de sa case au trésor. C'est chaud et humide, je glisse mes doigts le long de sa fente poilue, elle essaie de se soustraire mais je persiste dans mon attouchement. Je
sens à sa respiration saccadée que je lui fais du bien, elle a envie mais
elle ne veut pas encore l'admettre. Je la pousse sur mon lit où je l'allonge. Elle proteste « Fabien ne fait pas ça, non Fabien! » mais je n'en ai cure je continue mon exploration,
j'ai ouvert les grandes lèvres de son sexe et je masse son clitoris érigé
et dur sous mes doigts, une vraie petite bite et qui bande. Il me plait ce
petit bout de queue et je le titille entre mes doigts agiles. Je sens que
maman ne va pas tarder à partir au septième ciel car elle halète sous mes
caresses. Sans prévenir la voilà qui se raidit, elle me tend son bas ventre
et se met à râler un son de gorge que je ne lui connaissais pas. Elle
donne des coups de reins dans le vide et pousse un cri aigu en agitant la
tête de tout coté, je viens de faire jouir ma mère.

Sans plus attendre je lui arrache sa culotte, le tissus craque et le bout
de dentelle choit sur la moquette. Maman a poussé un cri de surprise. J'ai
défais mon pantalon et fais glisser slip et pantalon à mes pieds. Le tout
rejoint le slip de maman par terre. Ma queue est triomphante, bandée à mort, pleine d'un sang fougueux qui bat à mes tempes. Je suis à genoux auprès du lit et j'attire maman au bord de celui-ci, cuisses ouvertes et pendantes de part et d'autre de moi. Son ventre bombe
en face de mes yeux et ses seins sont érigés vers le plafond. Elle geint
encore en balbutiant des " non, non, non " mais sans vraiment opposer de
résistance. J'ajuste sa fente au bord du lit et guide ma queue à l'entrée
de sa grotte. Elle a un dernier recul mais je m'y attendais, je la tiens
par les hanches et je donne un coup de reins. Mon gland a franchi le seuil
de sa chatte, ma chaleur rejoint la sienne, c'est une délicieuse
sensation, tout est humide et chaud, ça glisse sans peine et le second
coup de reins me propulse au fond de son vagin. Tout son corps se raidit et
ses muscles se contractent autour de ma queue comme dans un dernier refus
mais c'est trop tard me voilà dans son ventre profondément entré dans sa
chatte. Maman semble prise de panique, " non, Fabien, il ne faut pas!
retire-toi, non, mon enfant ne fait pas cela! non, retire-toi! " mais
autant siffler dans un violon, je suis là, j'y reste. Et mieux encore je
me mets à aller et venir dans le vagin chaud de maman. Je pistonne sa
fente et mes mains prennent possession de ses seins, je masse ses doudounes
fermes et élastiques, je titille les mamelons, je les étire, les torture,
les fais se dresser, en un mot j'excite ma mère. Elle réagit, ne proteste
plus, elle a fermé les yeux et se laisse faire en gémissant de plus belle.
Je la fouille de ma queue bien plantée en son ventre je pistonne comme un
fou et sans plus tarder je sens monter du fond de mes couilles la liqueur
bouillonnante que je ne peux contenir.

Je jouis sans retenue, je me vide littéralement, le sperme gicle de ma
queue furieusement en saccades que je ne peux ni ne veux réprimer. Cela
dure un temps que je ne peux évaluer, mais je sens ma semence couler par
vagues et envahir le vagin maternel, je suis fasciné par le spectacle de
cette bite qui a chaque soubresaut envoie dans la cavité maternelle des
quantités de sperme qui s'écoule tout autour dans la toison sombre de sa
chatte. Maman a été surprise par ma décharge abondante, elle pousse de petits cris
à chacune de mes éjaculations et se met à jouir à son tour. J'ai la bite encore dure et je suis resté en elle. J'ai pistonné à nouveau dans la glue de sa fente et nous avons joui encore une fois. Longtemps après, maman s'est relevée péniblement, assommée par son
aventure. Elle s'est rhabillée et j'ai fait de même sans un mot. Elle est
sortie de ma chambre et j'ai entendu la douche fonctionner. J'étais pas très fier de moi, comment maman allait-elle réagir? Je n'ai pas longtemps
à attendre, après sa douche elle est revenue dans ma chambre en peignoir
et elle s'est assise sur mon lit. Elle me souriait, c'était plutôt bon
signe, ça m'a rassuré. "Tu sais Fabien je crois que nous avons pris beaucoup de plaisir l'un et
l'autre, je voulais te dire que si tu le veux nous...., enfin, tu vois ce
que je veux dire? "Si je voyais!! quel soulagement! Bien sur, mais comment donc, mais oui maman, quand tu veux. Et nous avons recommencé, tous les jours quand papa n'était pas là. Elle m'a appris des trucs ma maman, des choses qui ne sont pas dans les livres,
en tout cas pas dans les livres scolaires. Elle m'a sucé la queue, m'a
fait jouir dans sa bouche, j'ai pistonné sa fente jusqu'à l'épuisement et
enfin quand elle a été trop grosse pour que je la prenne par devant, je
l'ai prise par son œil de bronze. La, je l'ai dépucelée, papa ne s'était
jamais aventuré dans les coins sombres, très bourge, même dans la baise.
Elle a aimé maman, en a redemandé et a trouvé pratique dans le fond, pour
éviter les grossesses. Hé oui ma chère maman, c'est comme ça que font les femmes qui n'ont pas de contraceptifs! Elle m'a parlé de ses copines, il paraît que Gislaine voudrait bien un
enfant mais son mari..."comprends-tu? ". Oui très bien! "Amène-moi Gislaine "

Enfin, maman et moi sommes devenus complices sur bien des choses et notre
univers a bien changé sans que papa ne soupçonne quoi que ce soit. Juste un petit contretemps, après son accouchement nous avons continué à
baiser ensemble, mais nous avons du manquer de prudence, être trop pressés
de reprendre nos frasques et maman est enceinte à nouveau.

 

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Par maxime - Publié dans : incestueux
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