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Dimanche 14 octobre 7 14 /10 /Oct 17:20

Je me nomme François et ma sœur Mireille. Mireille est ma cadette d’un peu plus de 7 ans. Mireille et moi allons vous raconter notre histoire vue différemment par ses yeux et les miens. C’est pourquoi nous allons identifier qui fait la narration pour la compréhension des lecteurs.

FRANCOIS

La naissance de ma sœur est une véritable calamité. Ma mère, dès mes 8 ans, m’empêche quelques fois d’aller rejoindre mes copains, pour l’aider à la maison et surtout passer du temps avec Mireille. Qu’est-ce qu’un petit gars de 8 ans fait avec un bébé qui n’a pas encore un an? Il s’ennuie à mourir. Le soir, avant que mes parentscouchent pour la nuit Mireille, je devais l’aider à apprendre des mots avec un livre imagé. J’avais 10 ans, je m’en rappelle encore, elle a fouillé dans mon sac d’école et a déchiré tous les travaux que j’avais peiné à faire et que j’ai du recommencé. Elle a rendu mon adolescence difficile. Elle passa son temps à fouiller dans ma chambre. Elle trouva une revue de Penthouse, un p’tit sac d’herbe que j’avais bien caché, etc. Chacune des trouvailles se retrouvaient inévitablement dans les mains de ma mère. Je voyais Mireille et ses yeux malicieux prendre plaisir aux punitions qui s’en suivaient. A partir de 13 ans, le nombre de sorties ratées parce que je devais faire la gardienne d’enfant pour permettre à mes parents une soirée. Quand j’ai eu 15 ans, elle m’a vu la main sur le sein de ma copine, ai-je besoin de vous dire la leçon de morale que j’ai reçue de ma mère. Sur ce point mon père lui eut un petit sourire et ses reproches étaient d’avoir plus de discrétion, ma sœur étant très jeune. J’ajouterai le nombre d’objets qu’elle m’a brisé ou abimé à la liste pour que les gens comprennent combien Mireille était pour moi une petite peste. D’ailleurs, j’ai 20 ans et je pense sérieusement à quitter la demeure familiale.

MIREILLE

Mon frère est grand. Il a beaucoup de permissions que je n’ai pas et il n’est jamais content. Je le vois quand il regarde des bandes dessinées avec moi pendant que nos parents sont sortis. Je suis curieuse, et mon frère a beaucoup de trésors dans sa chambre. Un jour j’ai demandé à ma mère pourquoi les femmes étaient nues dans une revue trouvée dans sa chambre. Il y a eu aussi un sac rempli d’herbes, je me demandais à quoi cela servait. Bref, il n’y avait aucune malice. Mon frère me demandait toujours de ne rien toucher dans sa chambre, mais j’aimais la musique et je n’étais pas très habile avec les CD à l’époque. J’en ai peut-être éraflé quelques uns. Par malchance c’était toujours ceux qu’ils aimaient le plus. Quand j’ai échappé son appareil photo, c’était un accident et par malchance la lentille se brisa. J’étais une petite fille bien normale mais mon frère pestait continuellement après moi. Pourtant à partir de mes 12 ans, je n’avais pas vraiment eu de problèmes ou d’incidents avec lui, peut-être quelques emprunts de CD sans sa permission. Je savais qu’il me détestait et l’idée qu’il quitte la maison ne me déplaisait pas.

FRANCOIS

Nous sommes au début décembre. Un terrible accident d’automobile allait modifier bien des choses dans ma vie. Mes sont parents sont tués, ma sœur est dans le coma. J’ai passé 6 jours au chevet de ma sœur avant qu’elle reprenne conscience. Les funérailles de mes parents ont eu lieu pendant que ma jeune sœur se remettait de ses blessures. Le notaire de mes parents, un ami de mon père, m’informait des dernières volontés de mes parents ainsi que de la sécurité financière qu’ils nous avaient laissée. Il m’informa aussi que mes parents ne souhaitaient pas que mes oncles ou tante prennent en charge ma sœur. J’appris que la sœur de mon père fut déjà accusée d’avoir offert la virginité de sa fille pour payer une dette de jeu. Plus, mes oncles, les frères de ma mère, ont déjà perdu leurs enfants pour maltraitance. Enfin, on parle de gérer l’héritage de ma sœur, un peu plus 1 ½ millions de dollar. Je me devais pour la sécurité autant physique que matérielle de ma sœur de devenir son tuteur. Je me dépêchai donc de réclamer en Cour, le tutorat de ma sœur. Quelques semaines ont passées, quand j’ai appris que ma demande de tutorat était contestée par chacun de mes oncles et de ma tante. Heureusement, je possédais beaucoup de documents contre eux. Ma sœur était revenue à la maison et avec des séances de physio allait se remettre physiquement de ses blessures. Vous comprendrez que j’ai terminé ma session universitaire un peu essoufflé et j’ai décidé de ne pas suivre la session d’hiver afin de me permettre de régler les détails de l’héritage, le suivi psychologique de ma sœur, elle faisait des cauchemars, revoyant l’accident. De plus, je me devais de changer ma relation avec Mireille d’autant plus que je voulais devenir son tuteur. Les cauchemars de ma sœur, bien qu’indésirables, allaient m’aider pour notre rapprochement. Souvent, après s’être réveillée en sueur, j’allais la rassurer en me couchant près d’elle, la serrant dans mes bras. Quelques fois, j’avais la surprise de la retrouver couchée dans mon lit à mon réveil. Pour la première fois, je m’intéressais à elle, je voulais savoir si cela allait bien à l’école, ses copains et copines, qu’est-ce qu’il lui ferait plaisir, ses peurs, etc. Autant avant la tragédie j’essayais de m’éloigner d’elle, autant je me rapprochais d’elle.

MIREILLE

Bien que ce soit encore très flou, je me souviens quand j’ai repris conscience à l’hôpital, les larmes coulées sur le visage de mon frère. Il avait l’air totalement épuisé, mais soulagé que je sois vivante. Lorsqu’on m’a apprit la mort de nos parents, François me prenait la main pour me réconforter. Je sentais pour la première fois de sa part un côté protecteur à mon égard. Puis, il y a eu les séances de physio. Je ne l’avais vu prendre autant de patience, je n’avais jamais eu autant de mots pour m’encourager. Je ne pourrais expliquer combien j’avais besoin de me sentir protéger la nuit avec mes cauchemars et pour une fois, mon frère n’avais aucun reproche, juste de la tendresse envers moi. Il me parlait franchement, ne me cachait rien en particulier sur notre héritage et les tentatives des nos oncles et tante. Enfin, il s’intéressait à moi, à ma vie.

FRANCOIS

Je m’inquiétais beaucoup au niveau du tutorat. Mon avocat m’apprit que présentement, légalement j’étais son tuteur et pouvais prendre plein de décisions pour ma sœur, en particulier sur sa fortune. Il me conseilla fortement de placer son argent jusqu’à ses 18 ans avec un rendement garanti. Ainsi, si jamais je perdais le tutorat de ma sœur, personne n’aurait accès au capital, seulement aux dividendes dont je pouvais planifier les montants pour les besoins de ma sœur. Après quelques jours de discussions, j’ai donc placé la fortune de ma sœur jusqu’à ses 18 ans. Des dividendes mensuels suffisants pour voir au bien-être de ma sœur ont été prévus. Quand j’ai du me présenter en Cour, il y eu plein de protestations de la part des avocats de chacun de mes oncles et tante. Selon eux, je n’avais pas le droit de geler la fortune de ma sœur. Après avoir été interrogé longuement, le juge refusa de briser les placements que j’avais faits au nom de ma sœur. Il considéra que j’avais au contraire agi sagement, protégeant sa fortune, même contre son tuteur. Puis il fut question du tutorat. L’argent de ma sœur à l’abri, il n’y eu qu’un oncle pour vraiment essayer de m’arracher ma sœur. Cependant, il y avait suffisamment de doutes sur les natures de maltraitance sur ses propres filles. L’inceste avait été évoqué même si non prouvé. La nervosité de mon oncle dans son témoignage l’a rendu moins incisif contre moi et même à avouer que je pouvais très bien prendre soin de ma sœur. J’eus officiellement le tutorat.

MIREILLE

Mon frère me confia qu’il avait placé mon argent et que je recevrais un certain montant d’argent tous les mois. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi je ne pouvais avoir accès à tout mon argent, mais le montant mensuel était dans ma tête énorme, j’étais contente. Quand je suis allée à la Cour pour le tutorat, je fus surprise de l’assurance de mon frère. Il répondait à toutes les questions directement sans faux fuyant. Je percevais qu’il avait planifié les prochaines années de ma vie en pensant à mes besoins. J’étais fier de lui. Tant qu’à un de mes oncles, je sentais ses yeux me dévorer, il me faisait peur. Même si j’avais déjà un beau corps de femme à mes 13 ans, j’étais très niaiseuse au sujet de la sexualité et j’ignorais totalement ce que le mot inceste voulait dire. Aussi, c’est avec un grand sourire que j’ai accueilli le verdict du juge. J’allais demeurer avec mon frère. J’ai eu une immense étreinte de sa part, je ne me rappelle pas qu’il m’en ait fait une comme celle-là avant.

FRANCOIS

Mireille a environ 13 ½ ans. Cette journée-là, j’ai pris congé et me lève un peu plus tard. La porte de ma chambre est directement devant celle de la salle de bain. Ma porte est légèrement entrouverte et j’allais l’ouvrir quand j’ai aperçu ma sœur totalement nue dans la salle de bain. J’étais stupéfié. Ma gamine de sœur a un corps de femme. Deux beaux seins aux tétines roses se tiennent bien droits, la courbe sensuelle de ses hanches arrive à de belles fesses rondes qui surmontent des jambes de mannequin. Seul son visage trahi son âge. Jamais, je n’ai vu devant moi un si beau corps de femme. Est-ce besoin de vous dire qu’en moins de deux, j’ai eu une érection. J’ai du passé 15-20 minutes à la regarder, le cœur me débattant, honteux d’être un voyeur, plutôt honteux de désirer ma sœur. Lorsque finalement elle s’est habillée, j’ai cru qu’elle m’avait aperçu, mais elle n’a eu aucune réaction. Mon honneur était sauf. J’ai attendu d’entendre la porte d’entrée se refermer avant de sortir de ma chambre. Le soir au repas, je ne pouvais m’empêcher de la déshabiller des yeux. J’essayais de la regarder le moins possible afin qu’elle ne se doute de rien mais même dans ma voix il y avait un petit quelque chose d’anormal, du moins c’est ce que je ressentais. La nuit venue, impossible de dormir, le corps nu de ma sœur envahissait toutes mes pensées. Les jours suivants ont été éprouvants. Je n’arrivais pas à chasser l’image de ma sœur dénudée. Puis lentement, j’ai réussi à me faire une sorte de carapace face à elle. Cela n’enlevait pas mon trouble mais me donnait bonne conscience. Je n’étais pas incestueux, ni pédophile.

MIREILLE

Ce matin-là, j’ai cru voir mon frère me regarder. J’étais totalement nue depuis plus d’une demi-heure. Surprise, je n’ai pas réagi. Puis, je me suis dit que j’ai mal vu. De toutes façons, j’étais rendu à m’habiller. Je suis parti. Le soir, je trouvais que François avait un air bizarre. Il semblait nerveux. Je me demandais quel était son nouveau problème. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé qu’il me regardait le cul. J’étais mal à l’aise, certes je voyais bien des hommes me regarder de la sorte, mais mon frère. A l’intérieur de moi, une excitation de plaisir se mêlait à une honte. J’ai réalisé que mon frère m’avait bien vu nu le matin. Bien des questions me venaient dans la tête. Combien de temps m’a-t-il regardé? Me trouve-t-il belle? A-t-il eu une érection? Va-t-il finir par m’en parler? Me voit-il comme une femme? Que va-t-il faire ou tenter? Je dois dire que je commençais à mieux comprendre la sexualité et j’avais réalisé que j’exerçais une certaine attraction. Toutes mes copines me disaient que j’étais très belle. Les gars et bien des hommes me regardaient. J’oserais dire qu’ils me désiraient, du moins pour mon corps. Les jours ont passé et rien n’est arrivé, même que mon frère semble de plus en plus indifférent à ma présence, mais de temps en temps, je le surprends me jeter un regard spécial quand il pense que je ne peux le voir. Il m’arrive même de voir une bosse anormale dans son pantalon. Mon frère bande sur moi. Je suis fière de moi. J’ai découvert récemment la masturbation et imaginer le pénis de mon frère dans toute sa splendeur deviendra un de mes fantasmes préférés.

FRANCOIS

Les mois passent sans incident. Oui, j’ai toujours des envies sur ma sœur, mais à part quelques érections non voulues, je me contrôle bien. Mireille a beaucoup moins de cauchemars. Depuis les derniers orages, elle n’en a eu aucun. Nous sommes fin janvier, elle aura bientôt 14 ans, un grosse tempête de neige s’abat avec de forts vents. Pendant la nuit, le courant manque. Mireille se réveille, elle a peur de la noirceur. Depuis son accident, il y a toujours une veilleuse d’allumée, elle vient me retrouver dans ma chambre. Le lendemain en me réveillant, je l’aperçois couchée à mes côtés, sa jaquette est remontée jusqu’à la taille me laissant voir ses superbes fesses à moins de 15cm de ma main. Je tremble, j’ai un désir épouvantable de la caresser. Pendant 2-3 minutes j’ai fixé son cul et finalement dans un effort dicté par la morale, j’ai réussi à me lever et sortir honorablement de ma chambre. J’ai du aller à la salle de bain pour vider mes couilles. Depuis ce matin-là, mes relations sexuelles avec les femmes ne sont plus les mêmes. Quand je les pénètre, j’imagine que c’est ma sœur. Je suis totalement troublé.

MIREILLE

Je me réveille dans la noirceur, j’ai peur, je suis allée me coucher avec mon frère. Même si sa présence me rassure, je n’ai pas dormi de la nuit. J’ai senti qu’il se réveillait, une idée folle m’est soudainement venu, lui montrer mes fesses. Je n’ai pas réfléchi, j’ai levé ma jaquette jusqu’au ventre et j’ai attendu coucher sur le côté. J’ai senti les couvertures se relever et puis, rien, pendant de longues minutes, rien. Enfin, François s’est levé et est allé à la salle de bain. J’ai le goût de rire, je sais qu’il a regardé mes fesses pendant un bon bout de temps. Pendant qu’il me regardait les fesses, je me suis demandé s’il oserait les toucher. Ca m’excitait. Pourtant, le reste de la journée, François semble de marbre, comme s’il ne m’avait pas maté du tout.

FRANCOIS

L’été est enfin arrivé et ce premier week-end de juillet je peux profiter pleinement de la cour arrière. J’ai passé les autres à planter des fleurs, préparer la piscine etc. J’étais assis en train de déguster un verre de jus quand Mireille est arrivée pour se baigner. Le cul de ma sœur dans son maillot qui ballottait de gauche à droite m’a donné une érection telle que le gland sortait du mien. Gêné, je suis aussitôt entré dans la maison. J’ignore si ma sœur m’a vu dans cet état. J’ai compris que j’allais passer un été misérable avec mes pensées tellement honteuses. Certes, je me suis acheté un maillot genre boxeur me permettant de cacher mes érections, mais mes désirs inavouables me noircissaient la vie. Je me répétais sans cesse, je suis son tuteur, je suis son frère, elle est une gamine pour ne pas céder à mes instincts.

MIREILLE

Pour la première fois, je me suis acheté un maillot, un deux pièces qui moule parfaitement mon corps. J’étais vraiment très sexy avec. Même quand je suis avec des copines, c’est moi que François regarde. Mon frère a eu des érections quand il me voyait, même qu’il s’est acheté un maillot beaucoup plus ample pour les cacher. D’ailleurs, j’ai vu le bout de son pénis au début de juillet. Je lui ai fait beaucoup d’effets. Je l’ai excité et ça m’a excité. Pourtant, il n’a pas semblé heureux cet été là. Je me suis demandé s’il n’avait pas de gros problèmes.

FRANCOIS

Le retour à l’école est enfin arrivé. Mireille avait besoin de vêtements. Elle se dirigeait vers ses 15 ans et ses goûts vestimentaires avaient évolué. Ce fut 2 jours pénibles d’essayage, de je ne suis pas certaine, etc. Pire, elle a passé son temps à me demander mon avis. Avec son corps, tout lui fait bien. Je cherchais donc à lui donner un look de 15-16 ans, je ne voulais pas trop la vieillir, ni rien de trop sexy. Était-ce pour moi, pour me protéger ou pour elle? Un peu des deux j’imagine. Jupes, chemisiers, jeans, pantalons, chandails, tailleur furent enfin trouvés après certains compromis de sa part et surtout de la mienne. Je croyais mon cauchemar terminé quand le tour des dessous est arrivé. Je suis gêné quand j’entre dans une boutique de lingerie fine, imaginez comment je me sentais quand Mireille me demandait si ce soutien-gorge lui allait bien. Je la voyais très bien, un petit sourire narquois, lancer des regards en bas de ma ceinture. Elle le faisait de façon délibérée pour me torturer. Comment rester de glace quand une femme présente ses seins dans un soutien qui les présente comme des fruits prêt à croquer. Pire, elle a mis un string qui ne cache presque rien. Pendant plus d’une heure, mon pénis m’a fait sentir sa longueur et le désir de se trémousser. Encore là, après quelques compromis surtout de mon côté, elle a fini par acheté ce qu’elle avait besoin. Ma nuit fut difficile. Je ne pensais qu’à lui faire sentir ma virilité.

MIREILLE

J’ai passé 2 merveilleuses journées à essayer toutes sortes de vêtements. François n’a pas vraiment de goût. J’ai du le convaincre presque pour tous mes vêtements, si je l’avais écouté j’aurais eu l’air d’une niaiseuse totalement out. Je me suis bien amusé à la boutique de lingerie fine. Mon frère a passé plus d’une heure rouge comme une tomate. Je savais qu’il bandait comme un taureau quand je l’obligeais à me donner son avis. Dans un sens, il est formidable, je n’aurais pas cru qu’il patienterait autant. Je ne comprends pas pourquoi il était si fatigué à notre retour, tout ce qu’il a fait les 2 jours, c’est de s’assoir et d’attendre, c’est moi qui n’avais pas arrêté. J’aurais aimé lui montrer de nouveau mes achats.

FRANCOIS

Noël est déjà passé. J’ai enfin retrouvé la sérénité face à ma sœur. J’ignore comment et pourquoi, mes fantasmes ont presque totalement disparu. Cependant, je trouvais anormal que Mireille n’avait pas encore de petit copain. Presque 15 ans, une fille aussi jolie devait assurément se faire courtiser. Peut-être qu’elle me cachait ce qu’elle dévoilerait probablement à une mère, après tout, j’étais avant tout son frère. Je me devais en tant que responsable d’en connaître plus, sans entrer trop loin dans sa vie amoureuse, ne serais ce que pour la mettre en garde afin de lui éviter des mésaventures. J’ai eu l’idée de l’inviter dans un restaurant où certaines tables sont isolées permettant une discussion discrète. Je pourrais en même temps connaître ses souhaits pour ses cadeaux d’anniversaire. Après avoir passé une journée de ski, nous sommes arrivés au restaurant. Elle était radieuse et ravie de sa journée. Je l’avais négligée les derniers mois avec mes études pour le bac mais aussi pour prendre mes distances. Pour une rare fois, j’ai accepté qu’elle puisse prendre un peu de vin, j’ai soudoyé le serveur. Cela nous permettrait une discussion plus relaxe. Après avoir bavardé de tout et de rien, j’ai pris mon courage et j’ai abordé la question des p’tits copains. Il y avait longtemps que je n’avais vu cette réaction chez Mireille, elle semblait intimidée par mes propos et sur la défensive. J’étais sur le point de laisser tomber tellement elle était mal à l’aise quand elle s’est décidée à se confier. Moi, qui la voyait fonceuse et trop hardie avec moi, j’apprenais combien elle pouvait être timide avec les gars. Jamais elle n’avait osé embrasser un gars de peur de ne pas le faire correctement. C’est pourquoi, elle n’avait jamais eu de petit copain, la peur de ne pas être à la hauteur l’en empêchait. J’espérais que Mireille soit encore pucelle, mais pucelle comme ça, je ne m’y attendais pas. Son secret dévoilé, elle m’a demandé avec une voix tremblotante si j’accepterais de l’initier aux plaisirs corporels. D’une seule phrase, elle venait de faire rejaillir des désirs que j’avais difficilement enfouis à un endroit dans mon être pour les oublier. J’étais de nouveau torturé des images de ses fesses, de ses seins, de son corps. Ma réponse était claire, ce n’était pas à moi de l’initier. Les arguments que plusieurs de ses copines l’ont fait avec un cousin et même un oncle n’avaient pas modifié mes intentions. Elle l’avait mal pris et elle me bouda les jours suivants. Elle a même osé la semaine suivante recommencer la discussion sur mon refus jusqu’à me traiter de vieux con borné.

MIREILLE

Ca faisait longtemps que je n’avais pas passé une aussi belle journée avec mon frère. J’avais remarqué depuis quelques temps qu’une joie de vivre lui était revenue. Je pensais que ses études de bac étaient la cause de son éloignement. Au restaurant, je me suis sentie piéger par mon frère. S’il savait tout le courage que cela m’a pris pour lui avouer ma complète innocence sur les plaisirs amoureux, il n’aurait sûrement pas refusé de m’aider. Devant les garçons, je paniquais. Toutes mes copines savaient faire une fellation et ont déjà eu une relation complète, moi, je ne savais même pas embrasser. Plusieurs ont été initiées par leurs cousins, mais moi, je ne pouvais pas vraiment y penser. Du vivant de mes parents, nous ne les fréquentions guère et depuis leurs morts je ne les ai jamais revus. Inceste pour inceste, y a-t-il une si grosse différence entre un cousin et son frère? J’avais besoin qu’il m’aide et il me laissait tomber sous un prétexte moral. Je savais bien qu’il bande quelques fois sur moi, il aurait pu apaiser ses désirs tout en m’éduquant. J’ai tenté plusieurs jours après de le faire changer d’idée, mais rien n’y fit. C’est un vieux con et borné en plus.

FRANCOIS

La fête de Mireille s’est passée sans grand éclat. Elle m’a boudé pendant plusieurs mois. J’étais pour céder à son chantage quand elle a recommencé à me parler, mes désirs étant de plus en plus difficiles à gérer. Nous sommes arrivés au week-end de Pâques, début avril. Pour le dimanche midi, nous sommes allés manger dans un beau restaurant. Elle portait une superbe robe qui modelait son corps de mannequin, son visage a perdu le côté gamine de ses 15 ans, peut-être du au maquillage, elle en parait 17-18. Le repas était excellent agrémenté de bonnes discussions. De retour à la maison, le soir venu, Mireille s’était assise près de moi. D’une petite voix douce, elle me redemanda de l’initier. Mon cœur s’est mis à battre. J’étais épuisé de combattre entre la morale et mes désirs. J’ai finalement flanché avec un OK désespéré. Pendant les semaines suivantes, en allant à un rythme qui lui conviendrait, je ne voulais surtout pas la brusquer et lui faire du mal. J’allais lui apprendre les baisers, la fellation, j’allais la dépuceler mais une fois toutes les étapes franchies, je ne voulais plus en entendre parler et secret absolu.

MIREILLE

Mon anniversaire, quel fiasco. Mon frère est resté de marbre. Ce vieux crétin a goûté à ma colère. J’avais confiance en lui, et lui m’a laissé dans mes problèmes. S’il ne voulait pas m’aider, pourquoi a-t-il fallu qu’il aborde le sujet. Je lui ai fait sentir ma frustration pendant de longues semaines. C’est Pâques, je me suis acheté une merveilleuse robe. J’espérais que nous sortions enfin car depuis le restaurant, nous sommes restés cloitrés à la maison. C’est pourquoi d’ailleurs, j’ai recommencé à lui parler, il y a quelques semaines. Je n’ai pas été déçue, François nous a amené dans un chic restaurant. J’ai pu mettre ma robe. Mon frère me regardait en me dévorant des yeux. J’hésitais de revenir à la charge et finalement je pensais qu’il valait mieux attendre un moment propice à la maison. Après tout, le soir sera un bien meilleur moment. Quand je me suis risquée à nouveau, j’ai compris tout de suite que mon frère était vulnérable cette fois-ci. Était-ce ma bouderie ou avait-il évolué dans ses pensées? Après quelques arguments bien placés son OK m’a surprise. Je m’attendais à une discussion bien plus longue. C’était évident que j’allais accepter toutes ses conditions en me disant que cela peut changer. Un accord tient seulement quand les deux s’y conforment.

FRANCOIS

Puisque Mireille voulait des relations sexuelles, un rendez-vous chez un gynéco était primordial. Je tenais à ce qu’elle prenne la pilule. Le condom, absolument pour les MTS mais il y a tellement d’histoires sur les condoms percés que je ne voulais pas voir ma sœur se faire engrosser. J’allais commencer par les baisers, un enseignement un peu farfelu, il me semblait à moi que tout était tellement naturel. Il y a bien sûr les mains fouineuses, mais encore là, pour moi, je trouvais cela un étrange que je doive le montrer à ma sœur. C’est ainsi ma sœur a appris à donner des baisers, laisser aller les mains baladeuses si c’était son désir seulement. Après quelques heures de merveilleux baisers pendant lesquels je pelotais les seins et l’entre-jambe de ma sœur, je savais qu’elle était prête aux leçons suivantes. De son côté, elle a deviné rapidement que ses mains pouvaient caresser le membre sensible d’un mâle même par dessus son pantalon. D’ailleurs, j’ai jailli dans mon slip, ce qui m’a gêné un peu. Pendant quelques jours, nous échangions des baisers et des caresses. Enfin, un soir, je me suis décidé à lui caresser les seins. Je l’ai senti nerveuse quand j’ai déboutonné son chemisier. Puis après avoir dégrafé son soutien-gorge, je me suis mis à caresser ses seins avec mes mains. Quand j’ai collé mes lèvres sur l’un deux, je l’ai senti respirer plus intensément. Moi, j’avais le cœur qui fracassait son record de battements par minute. Ma langue touchait sa tétine qui a durci presqu’au même moment. Ses seins qui m’avaient stupéfié quand elle n’avait que 13 ans m’appartenaient. Pendant que je lui caressais ses melons, mon autre main remontait le long d’une cuisse en direction de son trésor enseveli sous un tissu dentelé. Elle est enfin arrivée au haut de sa petite culotte, s’est glissée entre sa peau et son fin tissu. Elle a découvert son pubis assez fourni et enfin son clito pour la rendre heureuse. D’un léger mouvement rotatif qui s’accélérait de minute en minute, j’allais donner les premières jouissances à Mireille par un homme. J’ai descendu alors mon autre main et habilement ai fait glisser sa petite culotte à ses chevilles. Mes lèvres ont quitté ses seins pour se retrouver sous sa jupe relevée pour assouvir leur soif. Pendant de longues minutes, avec la langue, elles se sont abreuvées du jus suave de ma sœur. J’ai du guider Mireille pour qu’elle ouvre ma braguette et sorte mon pénis prêt à la rendre folle. La lueur de surprise dans ses yeux était visible. D’une main malhabile, elle me branlait. J’ai du lui dire main plus ferme un peu moins ferme avant qu’elle trouve la juste tendresse que j’aimais. Elle a approché ensuite ses lèvres, me caressant le gland. Je n’ai pas eu à lui dire, sa langue s’était mis rapidement en action. Sa bouche ouverte s’est refermée sur mon gland et un va et vient a débuté. J’ai averti Mireille que j’allais exploser, mais elle continuait à me pomper. Tant pis, mon volcan a fait éruption, déversant ma lave blanchâtre dans sa bouche. Elle recracha quelques secondes plus tard. Elle n’a pas vraiment aimé ni la texture ni le goût. Je l’avais pourtant prévenu mais cela mis fin à nos ébats ce soir là. Quelques jours plus tard, j’ai invité Mireille dans mon lit. J’avais l’intention de lui entrer mon pieu et lui faire sentir toute ma virilité. Les démarches du déshabillage terminées, ma sœur était toute nue, telle que je la désirais secrètement depuis trop longtemps. La fellation a été couronnée de succès, Mireille retirant sa bouche juste à temps pour éviter de goûter à ma semence. Je pouvais enfin entreprendre le corps de ma sœur. Ses seins, ses hanches, ses fesses ses jambes, sa vulve, tout son corps était à moi. Des caresses sur tout son corps sont arrivées par ma bouche, mes mains, mes pieds, mes bras, mes jambes. Quand elle fut mouillée à mon goût, j’ai pris ma verge d’une main, ai écarté ses lèvres vaginales de l’autre, ai placé mon gland pour attaquer désormais son hymen sans défense. Lentement j’ai glissé mon membre dur comme jamais par l’excitation du dépucelage. Un petit cri, c’est fait, Mireille était désormais une femme émancipée. Je désirais éjaculer dans ma sœur, lui faire sentir ma semence chaude dans son vagin brulant. En m’assurant que je pouvais continuer, j’ai fait des va et vient de plus en plus rapides. Enfin, je sentais de nouveau la jouissance par le jaillissement de ce liquide si mystérieux. Elle semblait à la fois heureuse et inquiète. Je regardais ses belles fesses et l’idée d’être le premier à la sodomiser se mettait à germer. Dans notre accord, il n’en avait pas été question. Elle aurait mal saisi mes paroles pensais-je. Pendant les jours suivants, je n’ai pas voulu de pénétration. Je voulais être certain que la déchirure de l’hymen était totalement guérie, permettant ainsi à Mireille de se laisser aller pour jouir totalement de la pénétration. Je n’ai pas eu à le regretter, à notre 5ième baise, Mireille s’était mise à crier comme une pute et plus d’une fois. C’est cette fois là que j’ai décidé de l’enculer. Si les autres fois, j’avais joué un peu avec mes doigts dans son anus, cette fois, j’ai un but précis. J’étais certain qu’elle ne s’en doutait pas. Mais déjà 3 doigts travaillaient à la dilatation de son petit trou. Son anus était prêt et juste à l’idée de la sodomiser j’ai bandé de nouveau. Elle croyait que je la prenais en levrette, mais quand elle a senti mon gland dans son cul, elle a voulu m’en empêcher mais il était trop tard, je la tenais fermement par les fesses et j’avais un bon 12cm de pénétrer. Elle a compris qu’il valait mieux se laisser faire. J’ai du la pistonner un bon 20 minutes, ma joie était totale, son corps m’avait appartenu totalement. Son initiation au sexe était terminée et j’espérais que mes désirs sexuels sur ma sœur disparaissent.

MIREILLE

Après la visite chez le gynéco, mon frère s’est mis à me donner des baisers, de plus en plus langoureux. Ses mains baladaient partout sur mon corps. Je n’étais pas certaine, mais je trouvais que pour une leçon mon frère se contentait un peu trop. J’ai été surprise de la grosseur et longueur de son pénis même si je le caressais avec son pantalon. Une fois, j’ai eu un effet bizarre. Je n’ai pas vraiment compris mais il était gêné. Un soir, il m’a déboutonné mon chemisier. Avait-il l’intention de me dépuceler? Cela me rendait nerveuse, mais sa langue sur mes seins me donnèrent de belles jouissances. Il y avait sa main dans ma culotte, il n’allait quand même pas me mettre le doigt, non, il savait ce qu’était un clito. Il me masturbait avec une habilité remarquable. Puis il a fait tomber ma culotte, j’étais certaine que c’était le grand soir, mais non, il a seulement dévoré ma chatte. Quand il m’a fait baisser sa braguette, j’étais anxieuse, j’allais voir devant moi un pénis en érection. Je le regardais un peu surprise de la longueur et du diamètre, 20cm peut-être 21 par près de 4 mais certainement plus de 3. Après quelques tests, j’ai fini par sentir mon frère vibrer. Je l’ai sucé et il m’a jeté son sperme dans la bouche. Non, je n’aime pas ça. C’est vrai, il m’avait prévenu, mais je ne pensais pas que c’était pour arriver si vite. J’ai apprise à m’enlever à temps par la suite. Je préfère en recevoir ailleurs que dans la bouche. Puis, le soir où il m’a invité dans son lit, je le savais qu’il irait jusqu’au bout. Pas évident la déchirure de l’hymen mais c’était quand même pas si mal, mais lui, il a vraiment joui. Les fois suivantes, c’était un peu mieux, je dirais que ça s’améliorait lentement, mais lui se gâtait pas mal, 3 à 4 pénétrations dans des positions où j’ai l’impression d’être un objet pour lui. Mais j’aimais bien la sensation du gland qui tente de défoncer le fond de mon vagin. Enfin la dernière fois, j’ai vraiment aimé les immenses jouissances que j’ai eues, mais il m’a joué un tour quand il m’a enculé. C’a fait mal, du moins au début et c’est resté sensible une couple de jour. Je ne me rappelais pas que je serais sodomisée dans notre accord même que j’étais certaine qu’il n’en avait jamais été question. Enfin quand il m’a dit que mon initiation était terminée, j’ai trouvé cela un peu bête. J’avais le goût de continuer quelques semaines de plus. J’ai eu l’impression d’être mise à la poubelle, il me le paierait.

FRANCOIS

Les mois qui ont suivi n’ont rien changé à mes désirs charnels sur ma sœur surtout qu’elle n’hésitait pas à se promener nue dans la maison. Il y a eu enfin un premier copain. J’ai eu un pincement au cœur quand j’ai entendu les ébats de ma sœur dans sa chambre. En vérité, j’aurais aimé être à la place du petit copain. Ces ébats répétitifs m’envahissaient l’esprit. Même si je baisais régulièrement et que ma libido était contentée, je désirais de plus en plus Mireille. Pendant plus de deux ans, elle m’a torturée l’esprit avec ses aventures. J’étais jaloux de ces copains. Cependant, je trouvais qu’elle n’était pas très heureuse et même que cela se dégradait depuis quelques mois. C’était l’été, elle avait 17 ½ ans, j’avais planifié un voyage de vacances de près d’un où elle serait la bienvenue. Je m’attendais à une réponse négative, mais elle a accepté de m’accompagner. Il est vrai qu’elle avait largué son dernier copain il y a quelques semaines. Les premiers jours du voyage ont été cordiaux mais quand même un peu froid. Un soir, devant un feu de camp, je la laissais prendre quelques bières, que la discussion s’est arrêtée sur elle. Un peu saoule, elle m’avouait que depuis 2 ans, elle n’avait pas vraiment trouvé un copain qui la satisfasse. Elle se mit à rire, et m’a avoué qu’aucuns avaient un pénis comparable au mien, même qu’il y en avait de très petits. Beaucoup éjaculent trop rapidement. La majorité ne sait pas peloter une femme. Bref, tout ce qu’ils veulent c’est leur petit plaisir. Elle a tenté de me rendre jaloux, elle espérait pouvoir me conquérir parce qu’avec moi elle se sentait femme. De plus, elle a ajouté qu’à chaque fois qu’elle savait que je sortais avec une femme, cela la rendait malade, elle avait l’impression que c’était elle qui aurait du être là. Enfin, l’inceste pour elle n’a pas vraiment de signification, elle ne me voyait pas comme son frère, mais comme un homme plutôt exceptionnel. Je lui ai exprimé ensuite mes sentiments et mes tourments. Cette nuit là, nous avons fait pour la première fois l’amour, pas juste une baise. Le voyage de vacances en est devenu un d’amoureux. Nous sommes déménagés 2 ans plus tard dans une petite ville où les gens nous croient mariés. J’ai 30 ans aujourd’hui et même si je sais que je n’aurai pas d’enfant, je suis super heureux avec Mireille.

MIREILLE

Pendant 2 ans, j’ai eu beaucoup d’aventures, mais aucune satisfaisante. J’exagérais mes cris pour embêter mon frère. Il le méritait bien. Je me promenais nue parce que j’espérais qu’il me baise de nouveau. A chaque fois que mon frère avait une femme dans sa vie, je me sentais délaissée encore plus. Pourtant, chaque fois qu’il était là, mon cœur battait pour lui. Quand il m’a proposé le voyage, j’ai hésité beaucoup, j’avais peur de vivre encore plus mon éloignement de lui en étant en vacances avec lui. Puis, il y a eu le feu de camp, j’ai bu beaucoup parce que je désirais être dans ses bras et finalement je me suis vidée le cœur. J’ai été surprise comment la morale peut tourmenter mon frère, c’est peut-être pourquoi il est si responsable. Mais quand il m’a dit combien il me désirait depuis mes 13 ans, j’étais au septième ciel. Il m’aimait et l’avait prouvé en faisant tout pour ne pas me violer. Combien pour lui ce fut difficile de m’initier, contentant ses désirs, en sachant qu’il devait me laisser libre. Cette nuit là, il m’a fait l’amour, pas une baise il y a une grande différence. Je vis depuis un parfait bonheur avec mon homme dans une petite ville tranquille. J’ai eu 23 ans et notre voisine a eu une jolie fille le mois dernier. Je sais que François croit que c’est impossible, mais j’en veux un, je le convaincrai bien.

 

Merci à Mireille et François pour ce magnifique texte que j'ai reçu en mars 2006.

 

Maxime

 

Chers lecteurs, le site nouveau est entrain de se faire

 

 

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Par maxime
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