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Jeudi 2 février 4 02 /02 /Fév 18:03

oe

 

 

Ma sœur ainée et moi étions toujours comme chat et chien jusqu’à ce qu’elle tombe très malade au début novembre. Elle était en secondaire V et moi en secondaire IV. Et oui, elle n’était âgée que de 17 ans et mon ainé de 12 mois et 2 jours. Selon les médecins, ma sœur avait une mononucléose sévère accompagnée par une anorexie. De plus, son cycle menstruel était  débalancé. Elle était menstruée plus du deux tiers du mois depuis plusieurs mois.

 

 

 

Le traitement était simple : Beaucoup de repos, bien mangé et avec la ‘pilule’ son cycle redeviendrait rapidement normal. Enfin pour combattre son anorexie, lorsqu’elle serait rétablie suffisamment, un suivi psychologique et médical s’imposait. Pour l’obligée à dormir et prendre du repos pour le premier mois, ma sœur eut droit à un cocktail de divers médicaments qui la rendait totalement droguée. Après l’absorption du cocktail, en moins d’une demi-heure, elle n’avait plus conscience des gens qui la bordaient, même secouée sévèrement et cela pendant 4 à 5 heures.

 

 

 

Mes parents possédaient une compagnie et devaient souvent voyagés pour affaires. Ma mère évidemment demeura à la maison pour prendre soin d’elle. Mais à la fin de la 2ième semaine, il y avait un congrès important pendant le week-end. Je vis ma mère déçue de ne pouvoir y aller. J’offris donc à ma mère de m’occuper de ma sœur pendant le week-end. Elle pourrait ainsi partir avec mon père le vendredi dès que j’arriverai de mes cours et revenir le dimanche soir. Après beaucoup  de discussions et d’hésitations, mes parents acceptèrent mon offre et que j’eus juré qu’il n’y aurait pas d’amis, que je ne m’absenterais sous aucun prétexte, que je m’assurerais que la médication soit suivi ainsi que les repas bien pris au complet. Ah! j’oubliais, je devais tenir compagnie à ma sœur dans ses moments de lucidité en évitant toute dispute.

 

 

 

Mes parents partirent donc pour ce congrès et moi je suivis à la lettre les demandes de mes parents. Après que ma sœur eut ingurgité le fameux cocktail, je la vis s’endormir et la quitta pour regarder la TV dans ma chambre en face de la sienne, porte grande ouverte au cas où elle se réveillerait. Après une heure, j’allai vérifier si tout allait bien quand j’entrai dans sa chambre et je vis ma sœur. Ses couvertures avaient glissées par terre et sa nuisette était remontée jusqu’aux seins. Mes yeux fixèrent ma sœur. Elle était allongée sur le dos, les jambes écartées mettant en évidence sa chatte. J’eus l’érection de ma vie. Mon pénis était tellement allongé, que sa peau étirée me faisait mal. Je m’approchai plus près pour mieux l’observer. Elle était très maigre, je pus distinguer chacune de ses côtes moulées dans sa peau, ses jambes n’étaient guère plus grosses que mes bras. Délicatement je soulevai sa nuisette pour voir ses seins. Ils étaient menus, avec des tétines roses. Mon cœur battait à l’épouvante. Divisé par l’envie de la caresser, de la cajoler et la morale, je cédai à mes désirs. Je mis une main sur un sein, le tâtai, puis lui léchai pendant plusieurs minutes. Je l’embrassai ensuite sur tout son corps, ses côtes, ses jambes. En remontant sur une de ses cuisses, je me dirigeai vers l’objet de mes désirs, sa chatte. Après avoir cajolé son pubis, avec ma langue, je me mis à lui lécher son clitoris. Quelques minutes passèrent, et soudain un gémissement de ma sœur. J’eus peur, je m’arrêtai un certain temps, mais elle dormait solidement droguée par le cocktail de médicaments. Je me remis au travail. Nouveau gémissent, mais cette fois je n’arrêtai pas. Un liquide coulait de ses lèvres que je léchai pour ne pas en perdre une goutte. L’envie de la pénétrer était intense surtout avec les gémissements de ma sœur, mais je ne pus me résoudre à la violer, car pour moi le viol consistait à la pénétration non désirée et je n’étais pas un violeur. Les caresses et attouchements même sur ses seins, sa vulve et ses fesses, bien qu’honteux ne comptaient pas. Je commençai à rebaisser sa nuisette quand ma sœur se mit soudain sur le côté. Je vis alors ses fesses toutes menues. Je me penchai lui embrassa le peu de chair que je trouvai. Son petit trou m’invita à lui faire un anallingus qui dura quelques minutes. Puis je redescendis sa nuisette, remis ses couvertures et retourna dans ma chambre. Je fus à la fois heureux d’avoir vu enfin ma sœur nue, de l’avoir caressé, léché mais hyper triste de sa constitution physique. Jamais je n’eus imaginé son corps aussi maigrichon.

 

 

 

Le week-end se termina sans encombre. Les semaines passèrent, ma sœur prit du mieux, son fameux cocktail fut diminué. Cependant, elle devait encore prendre beaucoup de repos et surtout reprendre du poids. Le médecin parlait d’environ 13-15 kilos (c’est énorme) pour avoir un poids normal pour sa taille et son ossature. Nous arrivions à Noël. Noël était l’occasion pour ma mère de voir sa famille qui habitait loin, près de 8 heures de route. En effet, chaque année nous allions passé plusieurs jours chez un de mes oncles qui avaient un immense chalet. Mais cette année, avec la maladie de ma sœur, ma mère qui culpabilisait de son manque de vigilance et de ses trop nombreuses absences se demandait si c’était bien d’y aller. Elle ne pourra pas prendre le repos nécessaire nous disait-elle, le regard triste de passer peut-être une autre année sans voir sa famille. Je fis de nouveau une proposition à ma mère. Je resterai m’occuper de ma sœur. Cela va lui faire du bien autant qu’à toi, tu ne la laisses pas 10 minutes en paix. J’avais raison, depuis son congrès, elle ne laissait jamais ma sœur tranquille, ce qui m’avait d’ailleurs peut-être empêché de caresser de nouveau ma sœur. Finalement, elle accepta avec les mêmes consignes que la première fois.

 

 

 

Mes parents partirent donc le 23 à midi, après avoir fêté Noël en avance avec nous. Ma sœur fit un ouf de soulagement. Elle va me rendre folle me dit-elle. Elle passe son temps à vouloir me faire manger. Je ne veux pas devenir grosse rajouta-t-elle. Je pris alors la parole en lui rappelant qu’elle devait prendre du poids qu’elle était maigrichonne, très maigrichonne et que moi j’en avais assez que les autres à l’école la traitent ainsi. Une dispute éclata entre nous. La notion mince et maigrichonne en était l’objet. Il n’y avait aucun argument pour la convaincre mais j’eus soudain une idée qui alla me rapporté beaucoup plus que je l’espérais. J’allai chercher quelques revues de femmes nues dans ma chambre. Je lui demandai son avis. Les femmes posées nues dans différentes positions étaient-elles minces ou grassettes. La réponse fut claire. Elles sont minces, très minces me dit-elle. Je lui dit d’aller dans sa chambre se mettre nue et se comparer. Regarde leurs côtes, leurs jambes, leurs bras, leurs cuisses, leur cul et regarde les tiens. Surprise, elle partit avec les revues et revint 5 minutes plus tard. Cela ne fonctionne pas. Je ne peux me comparer. Elles prennent des poses qui les avantagent. La seule façon serait que je sois prise en photo de la même manière et tu verrais que je ne suis pas maigrichonne. Je compris que c’était son dernier argument. J’eus cependant l’idée d’aller chercher le polaroid et les 2 films que j’avais acheté en fonction de Noël. Je lui dis : déshabille-toi, prends les poses, je vais te photographier et tu pourras comparer. Surprise, mais obstinée à prouver qu’elle avait raison, elle se mit nue et je pris 24 photos en prenant soin de prendre le même angle que le modèle.

 

 

 

Sans se rhabiller, elle commença à comparer photo par photo, son visage devenait de plus en plus triste et se mit à pleurer. Elle s’approcha de moi et me dit je suis laide. J’étais depuis un bon moment en érection. C’est lorsqu’elle s’assit sur moi pour se faire consoler que tout se corsa. Je lui dis qu’elle n’était pas laide, au contraire, elle avait tout pour être belle, mais qu’elle était trop maigre. C’est alors qu’elle s’aperçut de mon érection. Ah mon cochon, je veux la voir. Je veux te voir nu. Je me levai et me déshabillai et mon cœur se mit à battre des nouveaux records. Elle est superbe, de toutes les queues que j’ai vues, tu as la plus belle me dit-elle. Sans me demander la permission elle prit ma verge dans ses mains et se mit à me branler. Elle se pencha et se mit à me faire une fellation. Une, deux minutes au plus, j’allais venir. Je l’avertis mais elle continua de plus belle jusqu’à ce qu’elle reçoive une grosse giclée de sperme dans la bouche. Elle me regarda avec un sourire satisfait et avala le tout. C’était la première fois que j’éjaculais dans une bouche et évidemment que je voyais une femme avalé.

 

Il a bon goût me dit-elle tout en continuant à me branler. Elle m’assit en me poussant et s’assis sur mes genoux. Elle prit ma main, posa mes doigts sur son clitoris. Après quelques minutes, ses lèvres vaginales étaient mouillées, elle se releva, colla son ventre au mien et s’empala. Elle me chevaucha tout en gémissant au moins 15 minutes quand j’eus de nouveau une nouvelle éjaculation. Cette fois, mon pénis se ramollit. Ses yeux étaient pleins de joie. Elle approcha son visage du mien, colla ses lèvres aux miennes et me donna un baiser, timide au début mais d’une passion extrême à la fin. Fatiguée, elle me  demanda de l’accompagner dans sa chambre. Nous nous allongeâmes sur le lit, et, d’une manière que seule ma sœur a le tour, entrelaçâmes nos corps, la tête de ma sœur sur mon torse. Elle s’endormit rapidement et dormit un bon 3 heures. C’était déjà l’heure du repas. Ma sœur regarda de nouveau les photos. Cela l’encourageait à manger me dit-elle. Les 2 autres jours suivant nous fîmes l’amour. Fellation, anallingus, cunnilingus, 4-5 positions. A chaque fois, je réussis à lui donner un orgasme. Les spasmes vaginaux étaient si puissants qu’elle en hurlait. Cependant elle refusa la sodomie. Après l’amour, elle me fit beaucoup de confidences. Les filles de sa classe me trouvaient tellement beau qu’elle-même avait commencé à me regarder autrement depuis plus d’un an mais qu’elle n’avait jamais osé jusqu’à lors me montrer ses sentiments. Si elle voulait être mince, c’était pour que je la regarde, que je la désire. Je venais probablement d’aider ma sœur à combattre son anorexie.

 

 

 

Mes parents revenus, il fut très difficile avec ma mère qui surveillait ma sœur d’avoir des moments intimes. Je crois que cela augmentait nos sentiments et nos désirs un envers l’autre.

 

Nous trouvâmes quelques minutes ici et là pour nous tâter et nous embrasser mais les baises furent rares et courtes. Enfin, juin arrivait, ma sœur avait repris un poids normal tout en reprenant des forces en faisant des exercices physiques. Ses seins étaient plus gros, elle avait enfin des belles jambes, des cuisses à faire baver, un superbe cul qui juste à y penser me faisait avoir une érection. L’année scolaire de ma sœur était évidemment totalement ruinée et en accord avec la direction du collège, il fut décidé que ma sœur et moi aurions tous nos cours ensemble ce qui pour nous malgré des protestations d’usage nous emballait au plus haut point. Cependant, nous devions convaincre notre mère de retourner aider notre père, de recommencer à voyager avec lui. Ce fut difficile. Ma mère craignait tellement une rechute de ma sœur. Cependant, je lui fis comprendre que ma sœur ne pourrait reprendre confiance en elle-même, si elle-même ne lui faisait pas confiance et que je la surveillerais d’un œil. Enfin, je convainquis mon père de transformer une pièce au sous-sol pour faire nos travaux, nos chambres étant trop petites pour travailler ensemble. Cette pièce je l’exigeai non pas pour nos cours, mais bien pour me retrouver seul avec ma sœur en toute sécurité. Les bruits de pas pour descendre au sous-sol nous serviraient d’alarme lors de nos ébats amoureux. Les années qui suivirent furent pour nous deux des années de bonheur intense. Nous pouvions nous ébattre totalement lors de l’absence de nos parents et quand ils étaient là, bien que nos ébats fussent plus courts, la pièce du sous-sol remplissait parfaitement sa fonction désirée.

 

 

 

Cependant, nos parents s’inquiétaient du manque de petit ami et de petite amie. Je venais d’avoir 20 ans quand ma sœur et moi prîmes cette décision. Au prochain voyage de nos parents, nous nous aimerons une dernière fois et ensuite plus jamais quelques soit les circonstances. Et ce qui fut décidé arriva. Mes parents partirent pour deux jours, et nous fîmes l’amour. Ma sœur me fit un cadeau inattendu, son petit trou. Je n’oublierai jamais. Après l’avoir humecté longuement avec ma langue, j’entrepris avec un doigt de stimuler son anus, puis deux doigts, enfin je mis mon gland. Elle poussa un léger cri de douleur, mais me demanda de continuer. Lentement j’introduis ma verge. Centimètre par centimètre, je la pénétrais le plus lentement et le plus délicatement possible. Enfin, ses fesses touchaient mon pubis. Je commençai lentement de légers mouvements de recul-avant, puis sentant qu’un fluide permettait un mouvement plus grand, j’augmentai le mouvement ainsi que la cadence. Ma sœur me demanda d’aller plus vite, je la sentais avoir du plaisir. Pendant plus de 30 minutes, j’enculai ma sœur et j’éjaculai enfin. Totalement épuisé, je me couchai à côté d’elle et elle me dit : Aucun autre homme n’aura droit à ce trou. C’est le seul cadeau que je peux faire à celui que j’aime, même si j’ai adoré. Elle m’embrassa longuement, s’entrelaça avec mon corps comme seule savait le faire avec sa tête sur mon torse. C’était la dernière fois.

 

 

 

Il arrive parfois que le destin tienne à réunir les amoureux et cela devait arriver. Sept ans plus tard, un accident d’auto emporta mes parents. Ma sœur et moi, durent prendre la place de mes parents à la direction de la compagnie. Heureusement, un associé de mon père nous aida beaucoup. Il nous disait, sans votre père, je serais probablement encore pauvre. Votre père a cru en moi, il m’a fait confiance et je vous serai toujours fidèle. Ce fut très difficile. Le deuil, apprendre plein de choses, mais le plus difficile c’était quand les regards de ma sœur et moi se croisaient. Il y avait un désir immense et une tristesse de ne pouvoir s’aimer. Nous respections notre décision. Ma sœur avait eu plusieurs petits amis et j’avais eu plusieurs petites amies. Ma dernière petite amie était celle qui m’avait comblé le plus depuis ma séparation avec ma sœur, mais au fond de moi, je savais que je l’aimais bien mais je n’étais pas amoureux. Le décès de mes parents avaient accéléré son désir de mariage, mais je n’étais pas prêt, je voulais d’abord prendre confiance dans mes moyens à la direction, terminer mon deuil et enfin, réussir à prendre mes distances face à ma sœur. Son insistance me fit perdre patience et terminai notre relation. Sans savoir ce qui se passa de mon côté, je ne lui en avais pas parlé, elle rompit de son côté avec son ami dans les semaines qui suivirent. Puis au début de décembre, ma sœur et moi furent invités au 40ième anniversaire de mariage du vieil associé de mon père. C’était à près de 3 heures de route. Nous nous rendîmes ensemble, une voiture pour un trajet semblable c’est bien assez. La célébration terminée, nous repartîmes vers notre ville. Il se mit à pleuvoir environ 15 minutes après notre départ. Cette pluie se changea rapidement en verglas. C’était devenu très dangereux. Puis, nous étions à mis chemin, un barrage policier nous obligea à prendre une sortie. Les policiers nous informèrent que toutes les routes étaient impraticables et qu’il valait mieux se trouver un endroit pour coucher. Après de multiples arrêts sans succès, nous arrêtâmes à une auberge, ma sœur allait pour trouver 2 chambres, elle revint en me disant, ils ont une seule chambre libre, ils l’appellent la chambre des amoureux, je l’ai prise, si on continue, on va finir par se tuer. Je stationnai l’auto et nous nous dirigeâmes vers notre chambre. C’était bien, un bain tourbillon, une petite dinette, sauf que le lit était plus petit qu’un lit double. Chez moi on appelle ça un trois-quart. Bof! Pour une nuit me dit ma sœur. Nous sortîmes aller chercher quelques victuailles chez un marchand à côté de l’auberge. C’était super glissant. De plus, le verglas avait fait place à une pluie fine. En revenant ma sœur glissa et s’étala en entier dans une mare d’eau, elle était complètement trempée. En essayant de l’aider pour se relever, je me suis retrouvé assis dans la même mare. Nous n’avions aucun vêtement de rechange et même si nous avions déjà fait l’amour des années auparavant, il y avait une pudeur ou la peur de se laisser aller à notre amour interdit. Ma sœur, maladroitement avec une serviette pour se cacher se mit nue et rapidement se faufila sous les couvertures du lit. Moi, je préparai du café, prit les vêtements de ma sœur les tordit du mieux que je pouvais et les mit sur des cintres accrochés au dessus d’un calorifère. J’enlevai mes pantalons, mon slip, me cacha enroulé dans une serviette et accrochés mes vêtements. Je donnai une tasse de café à ma sœur, prit la mienne et me glissa sous les couvertures. Ma sœur frissonnait, il faut dire que la chambre était froide lorsque nous sommes entrés et que j’ai remonté le thermostat afin de réchauffer la pièce. Le café but, nous cherchâmes une position pour dormir. Dos à dos, impossible, le lit est trop étroit. Il y avait donc la cuillère. J’essayai de ne pas coller ma sœur, mais ma sœur colla d’abord ses pieds sur mes jambes. Sentant la chaleur de mon corps, elle eut un mouvement de recul. Je reçus ses merveilleuses fesses directement sur mon sac. En moins d’une, ma verge s’érigea rapidement, caressa les fesses de ma sœur et se colla dans la raie de son cul. La tête de ma sœur se retourna, elle avait un bras cachant ses seins et la main de l’autre protégeait sa chatte. Nos yeux se regardèrent longuement. Il y avait un désir passionnel intense doublé d’une tristesse de la honte de cet amour. Sans s’en rendre compte, lentement, nos têtes se rapprochèrent. 10, 9, 8, …, 2, 1 cm. Nous fûmes de nouveau à la porte de l’inceste. Combien de temps cela dura-t-il? Je ne saurais le dire, le temps s’était arrêté. Puis nos lèvres se  touchèrent, nos langues se retrouvèrent après une longue séparation, les bras de ma sœur abandonnèrent leur position protectrice et m’attachèrent solidement collé sur la poitrine de ma sœur. Pendant près de deux heures, un baiser brûlant accompagné de caresses incessantes des mains, des bras, des jambes, des pieds, de nos torses fit rejaillir la réalité de notre amour, amour interdit mais bien réel, un amour qui ne meurt jamais et qui ne veut pas mourir. Nous fîmes ensuite l’amour et entrelacés comme seule ma sœur savait le faire, nous nous endormîmes. Le matin nous refîmes l’amour, mais ma sœur m’indiqua qu’un petit trou s’ennuyait depuis trop longtemps. Je l’enculai alors pour la 2ième fois de notre vie. Nous prîmes un bain et retournâmes chez nous. Quelques jours plus tard, ma sœur gênée plutôt inquiète de ma réaction me dit qu’elle avait arrêté de prendre la pilule et qu’en regardant son calendrier, elle était en ovulation la nuit de l’auberge. Un peu plus d’un mois plus tard ses craintes furent confirmées. Elle était enceinte. Ma sœur me dit qu’elle irait aux Etats-Unis, passer des tests, et si tout est correct, elle désirait le garder. Je l’embrassai pour lui indiquer mon accord. Les tests démontrèrent que tout était normal, sauf que nous aurons des triplés. Nous eûmes deux filles et un garçon. Depuis les triplés sont devenus adultes et en bonne santé, ils furent mis au courant que leur oncle est leur père. Bien qu’étonnés, ils nous dirent que jamais ils n’avaient vu autant d’amour entre deux personnes. Il y a déjà plus de 2 ans, ma tourterelle m’apprit qu’elle était atteinte du cancer et qui ne lui restait que quelques mois. Toujours honteux des gestes posés sur ma sœur lorsqu’elle était malade, je lui ai raconté en lui demandant pardon. Elle sourit et me répondit : « Cette nuit là, j’ai fait semblant de m’endormir. Une fois que tu as quitté la chambre, j’ai poussé mes couvertures au pied du lit, j’ai enlevé ma petite culotte et remonté ma nuisette. J’avais l’espérance que tu reviennes vérifier que j’allais bien et que tu me regardes enfin non pas comme ta sœur mais comme une femme. J’étais depuis longtemps sous ton charme et je n’arrivais pas à me faire voir de toi. Quand je me suis réveillée et que j’ai vu que ma nuisette était rebaissée, les couvertures me couvraient, j’étais heureuse et j’espérais que tu en avais profité un peu. Cela m’a grandement aidé quand tu m’as proposé de prendre des photos. Nue, j’espérais te voir en érection et t’obliger à te mettre nu toi aussi. Ce serait un jeu d’enfant ensuite de sentir ta queue à l’intérieur de moi. ». Elle est décédée quelques temps après. J’ai fait une grave crise de cœur récemment et les médecins me disent qu’à moins d’une grosse opération je ne survivrai pas longtemps. J’ai refusé, je n’ai qu’un désir, retrouver ma sœur, ma compagne de vie, mon aimante, ma confidente, bref mon seul amour.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ma sœur, mon seul amour.

 

 

 

Ma sœur ainée et moi étions toujours comme chat et chien jusqu’à ce qu’elle tombe très malade au début novembre. Elle était en secondaire V et moi en secondaire IV. Et oui, elle n’était âgée que de 17 ans et mon ainé de 12 mois et 2 jours. Selon les médecins, ma sœur avait une mononucléose sévère accompagnée par une anorexie. De plus, son cycle menstruel était  débalancé. Elle était menstruée plus du deux tiers du mois depuis plusieurs mois.

 

 

 

Le traitement était simple : Beaucoup de repos, bien mangé et avec la ‘pilule’ son cycle redeviendrait rapidement normal. Enfin pour combattre son anorexie, lorsqu’elle serait rétablie suffisamment, un suivi psychologique et médical s’imposait. Pour l’obligée à dormir et prendre du repos pour le premier mois, ma sœur eut droit à un cocktail de divers médicaments qui la rendait totalement droguée. Après l’absorption du cocktail, en moins d’une demi-heure, elle n’avait plus conscience des gens qui la bordaient, même secouée sévèrement et cela pendant 4 à 5 heures.

 

 

 

Mes parents possédaient une compagnie et devaient souvent voyagés pour affaires. Ma mère évidemment demeura à la maison pour prendre soin d’elle. Mais à la fin de la 2ième semaine, il y avait un congrès important pendant le week-end. Je vis ma mère déçue de ne pouvoir y aller. J’offris donc à ma mère de m’occuper de ma sœur pendant le week-end. Elle pourrait ainsi partir avec mon père le vendredi dès que j’arriverai de mes cours et revenir le dimanche soir. Après beaucoup  de discussions et d’hésitations, mes parents acceptèrent mon offre et que j’eus juré qu’il n’y aurait pas d’amis, que je ne m’absenterais sous aucun prétexte, que je m’assurerais que la médication soit suivi ainsi que les repas bien pris au complet. Ah! j’oubliais, je devais tenir compagnie à ma sœur dans ses moments de lucidité en évitant toute dispute.

 

 

 

Mes parents partirent donc pour ce congrès et moi je suivis à la lettre les demandes de mes parents. Après que ma sœur eut ingurgité le fameux cocktail, je la vis s’endormir et la quitta pour regarder la TV dans ma chambre en face de la sienne, porte grande ouverte au cas où elle se réveillerait. Après une heure, j’allai vérifier si tout allait bien quand j’entrai dans sa chambre et je vis ma sœur. Ses couvertures avaient glissées par terre et sa nuisette était remontée jusqu’aux seins. Mes yeux fixèrent ma sœur. Elle était allongée sur le dos, les jambes écartées mettant en évidence sa chatte. J’eus l’érection de ma vie. Mon pénis était tellement allongé, que sa peau étirée me faisait mal. Je m’approchai plus près pour mieux l’observer. Elle était très maigre, je pus distinguer chacune de ses côtes moulées dans sa peau, ses jambes n’étaient guère plus grosses que mes bras. Délicatement je soulevai sa nuisette pour voir ses seins. Ils étaient menus, avec des tétines roses. Mon cœur battait à l’épouvante. Divisé par l’envie de la caresser, de la cajoler et la morale, je cédai à mes désirs. Je mis une main sur un sein, le tâtai, puis lui léchai pendant plusieurs minutes. Je l’embrassai ensuite sur tout son corps, ses côtes, ses jambes. En remontant sur une de ses cuisses, je me dirigeai vers l’objet de mes désirs, sa chatte. Après avoir cajolé son pubis, avec ma langue, je me mis à lui lécher son clitoris. Quelques minutes passèrent, et soudain un gémissement de ma sœur. J’eus peur, je m’arrêtai un certain temps, mais elle dormait solidement droguée par le cocktail de médicaments. Je me remis au travail. Nouveau gémissent, mais cette fois je n’arrêtai pas. Un liquide coulait de ses lèvres que je léchai pour ne pas en perdre une goutte. L’envie de la pénétrer était intense surtout avec les gémissements de ma sœur, mais je ne pus me résoudre à la violer, car pour moi le viol consistait à la pénétration non désirée et je n’étais pas un violeur. Les caresses et attouchements même sur ses seins, sa vulve et ses fesses, bien qu’honteux ne comptaient pas. Je commençai à rebaisser sa nuisette quand ma sœur se mit soudain sur le côté. Je vis alors ses fesses toutes menues. Je me penchai lui embrassa le peu de chair que je trouvai. Son petit trou m’invita à lui faire un anallingus qui dura quelques minutes. Puis je redescendis sa nuisette, remis ses couvertures et retourna dans ma chambre. Je fus à la fois heureux d’avoir vu enfin ma sœur nue, de l’avoir caressé, léché mais hyper triste de sa constitution physique. Jamais je n’eus imaginé son corps aussi maigrichon.

 

 

 

Le week-end se termina sans encombre. Les semaines passèrent, ma sœur prit du mieux, son fameux cocktail fut diminué. Cependant, elle devait encore prendre beaucoup de repos et surtout reprendre du poids. Le médecin parlait d’environ 13-15 kilos (c’est énorme) pour avoir un poids normal pour sa taille et son ossature. Nous arrivions à Noël. Noël était l’occasion pour ma mère de voir sa famille qui habitait loin, près de 8 heures de route. En effet, chaque année nous allions passé plusieurs jours chez un de mes oncles qui avaient un immense chalet. Mais cette année, avec la maladie de ma sœur, ma mère qui culpabilisait de son manque de vigilance et de ses trop nombreuses absences se demandait si c’était bien d’y aller. Elle ne pourra pas prendre le repos nécessaire nous disait-elle, le regard triste de passer peut-être une autre année sans voir sa famille. Je fis de nouveau une proposition à ma mère. Je resterai m’occuper de ma sœur. Cela va lui faire du bien autant qu’à toi, tu ne la laisses pas 10 minutes en paix. J’avais raison, depuis son congrès, elle ne laissait jamais ma sœur tranquille, ce qui m’avait d’ailleurs peut-être empêché de caresser de nouveau ma sœur. Finalement, elle accepta avec les mêmes consignes que la première fois.

 

 

 

Mes parents partirent donc le 23 à midi, après avoir fêté Noël en avance avec nous. Ma sœur fit un ouf de soulagement. Elle va me rendre folle me dit-elle. Elle passe son temps à vouloir me faire manger. Je ne veux pas devenir grosse rajouta-t-elle. Je pris alors la parole en lui rappelant qu’elle devait prendre du poids qu’elle était maigrichonne, très maigrichonne et que moi j’en avais assez que les autres à l’école la traitent ainsi. Une dispute éclata entre nous. La notion mince et maigrichonne en était l’objet. Il n’y avait aucun argument pour la convaincre mais j’eus soudain une idée qui alla me rapporté beaucoup plus que je l’espérais. J’allai chercher quelques revues de femmes nues dans ma chambre. Je lui demandai son avis. Les femmes posées nues dans différentes positions étaient-elles minces ou grassettes. La réponse fut claire. Elles sont minces, très minces me dit-elle. Je lui dit d’aller dans sa chambre se mettre nue et se comparer. Regarde leurs côtes, leurs jambes, leurs bras, leurs cuisses, leur cul et regarde les tiens. Surprise, elle partit avec les revues et revint 5 minutes plus tard. Cela ne fonctionne pas. Je ne peux me comparer. Elles prennent des poses qui les avantagent. La seule façon serait que je sois prise en photo de la même manière et tu verrais que je ne suis pas maigrichonne. Je compris que c’était son dernier argument. J’eus cependant l’idée d’aller chercher le polaroid et les 2 films que j’avais acheté en fonction de Noël. Je lui dis : déshabille-toi, prends les poses, je vais te photographier et tu pourras comparer. Surprise, mais obstinée à prouver qu’elle avait raison, elle se mit nue et je pris 24 photos en prenant soin de prendre le même angle que le modèle.

 

 

 

Sans se rhabiller, elle commença à comparer photo par photo, son visage devenait de plus en plus triste et se mit à pleurer. Elle s’approcha de moi et me dit je suis laide. J’étais depuis un bon moment en érection. C’est lorsqu’elle s’assit sur moi pour se faire consoler que tout se corsa. Je lui dis qu’elle n’était pas laide, au contraire, elle avait tout pour être belle, mais qu’elle était trop maigre. C’est alors qu’elle s’aperçut de mon érection. Ah mon cochon, je veux la voir. Je veux te voir nu. Je me levai et me déshabillai et mon cœur se mit à battre des nouveaux records. Elle est superbe, de toutes les queues que j’ai vues, tu as la plus belle me dit-elle. Sans me demander la permission elle prit ma verge dans ses mains et se mit à me branler. Elle se pencha et se mit à me faire une fellation. Une, deux minutes au plus, j’allais venir. Je l’avertis mais elle continua de plus belle jusqu’à ce qu’elle reçoive une grosse giclée de sperme dans la bouche. Elle me regarda avec un sourire satisfait et avala le tout. C’était la première fois que j’éjaculais dans une bouche et évidemment que je voyais une femme avalé.

 

Il a bon goût me dit-elle tout en continuant à me branler. Elle m’assit en me poussant et s’assis sur mes genoux. Elle prit ma main, posa mes doigts sur son clitoris. Après quelques minutes, ses lèvres vaginales étaient mouillées, elle se releva, colla son ventre au mien et s’empala. Elle me chevaucha tout en gémissant au moins 15 minutes quand j’eus de nouveau une nouvelle éjaculation. Cette fois, mon pénis se ramollit. Ses yeux étaient pleins de joie. Elle approcha son visage du mien, colla ses lèvres aux miennes et me donna un baiser, timide au début mais d’une passion extrême à la fin. Fatiguée, elle me  demanda de l’accompagner dans sa chambre. Nous nous allongeâmes sur le lit, et, d’une manière que seule ma sœur a le tour, entrelaçâmes nos corps, la tête de ma sœur sur mon torse. Elle s’endormit rapidement et dormit un bon 3 heures. C’était déjà l’heure du repas. Ma sœur regarda de nouveau les photos. Cela l’encourageait à manger me dit-elle. Les 2 autres jours suivant nous fîmes l’amour. Fellation, anallingus, cunnilingus, 4-5 positions. A chaque fois, je réussis à lui donner un orgasme. Les spasmes vaginaux étaient si puissants qu’elle en hurlait. Cependant elle refusa la sodomie. Après l’amour, elle me fit beaucoup de confidences. Les filles de sa classe me trouvaient tellement beau qu’elle-même avait commencé à me regarder autrement depuis plus d’un an mais qu’elle n’avait jamais osé jusqu’à lors me montrer ses sentiments. Si elle voulait être mince, c’était pour que je la regarde, que je la désire. Je venais probablement d’aider ma sœur à combattre son anorexie.

 

 

 

Mes parents revenus, il fut très difficile avec ma mère qui surveillait ma sœur d’avoir des moments intimes. Je crois que cela augmentait nos sentiments et nos désirs un envers l’autre.

 

Nous trouvâmes quelques minutes ici et là pour nous tâter et nous embrasser mais les baises furent rares et courtes. Enfin, juin arrivait, ma sœur avait repris un poids normal tout en reprenant des forces en faisant des exercices physiques. Ses seins étaient plus gros, elle avait enfin des belles jambes, des cuisses à faire baver, un superbe cul qui juste à y penser me faisait avoir une érection. L’année scolaire de ma sœur était évidemment totalement ruinée et en accord avec la direction du collège, il fut décidé que ma sœur et moi aurions tous nos cours ensemble ce qui pour nous malgré des protestations d’usage nous emballait au plus haut point. Cependant, nous devions convaincre notre mère de retourner aider notre père, de recommencer à voyager avec lui. Ce fut difficile. Ma mère craignait tellement une rechute de ma sœur. Cependant, je lui fis comprendre que ma sœur ne pourrait reprendre confiance en elle-même, si elle-même ne lui faisait pas confiance et que je la surveillerais d’un œil. Enfin, je convainquis mon père de transformer une pièce au sous-sol pour faire nos travaux, nos chambres étant trop petites pour travailler ensemble. Cette pièce je l’exigeai non pas pour nos cours, mais bien pour me retrouver seul avec ma sœur en toute sécurité. Les bruits de pas pour descendre au sous-sol nous serviraient d’alarme lors de nos ébats amoureux. Les années qui suivirent furent pour nous deux des années de bonheur intense. Nous pouvions nous ébattre totalement lors de l’absence de nos parents et quand ils étaient là, bien que nos ébats fussent plus courts, la pièce du sous-sol remplissait parfaitement sa fonction désirée.

 

 

 

Cependant, nos parents s’inquiétaient du manque de petit ami et de petite amie. Je venais d’avoir 20 ans quand ma sœur et moi prîmes cette décision. Au prochain voyage de nos parents, nous nous aimerons une dernière fois et ensuite plus jamais quelques soit les circonstances. Et ce qui fut décidé arriva. Mes parents partirent pour deux jours, et nous fîmes l’amour. Ma sœur me fit un cadeau inattendu, son petit trou. Je n’oublierai jamais. Après l’avoir humecté longuement avec ma langue, j’entrepris avec un doigt de stimuler son anus, puis deux doigts, enfin je mis mon gland. Elle poussa un léger cri de douleur, mais me demanda de continuer. Lentement j’introduis ma verge. Centimètre par centimètre, je la pénétrais le plus lentement et le plus délicatement possible. Enfin, ses fesses touchaient mon pubis. Je commençai lentement de légers mouvements de recul-avant, puis sentant qu’un fluide permettait un mouvement plus grand, j’augmentai le mouvement ainsi que la cadence. Ma sœur me demanda d’aller plus vite, je la sentais avoir du plaisir. Pendant plus de 30 minutes, j’enculai ma sœur et j’éjaculai enfin. Totalement épuisé, je me couchai à côté d’elle et elle me dit : Aucun autre homme n’aura droit à ce trou. C’est le seul cadeau que je peux faire à celui que j’aime, même si j’ai adoré. Elle m’embrassa longuement, s’entrelaça avec mon corps comme seule savait le faire avec sa tête sur mon torse. C’était la dernière fois.

 

 

 

Il arrive parfois que le destin tienne à réunir les amoureux et cela devait arriver. Sept ans plus tard, un accident d’auto emporta mes parents. Ma sœur et moi, durent prendre la place de mes parents à la direction de la compagnie. Heureusement, un associé de mon père nous aida beaucoup. Il nous disait, sans votre père, je serais probablement encore pauvre. Votre père a cru en moi, il m’a fait confiance et je vous serai toujours fidèle. Ce fut très difficile. Le deuil, apprendre plein de choses, mais le plus difficile c’était quand les regards de ma sœur et moi se croisaient. Il y avait un désir immense et une tristesse de ne pouvoir s’aimer. Nous respections notre décision. Ma sœur avait eu plusieurs petits amis et j’avais eu plusieurs petites amies. Ma dernière petite amie était celle qui m’avait comblé le plus depuis ma séparation avec ma sœur, mais au fond de moi, je savais que je l’aimais bien mais je n’étais pas amoureux. Le décès de mes parents avaient accéléré son désir de mariage, mais je n’étais pas prêt, je voulais d’abord prendre confiance dans mes moyens à la direction, terminer mon deuil et enfin, réussir à prendre mes distances face à ma sœur. Son insistance me fit perdre patience et terminai notre relation. Sans savoir ce qui se passa de mon côté, je ne lui en avais pas parlé, elle rompit de son côté avec son ami dans les semaines qui suivirent. Puis au début de décembre, ma sœur et moi furent invités au 40ième anniversaire de mariage du vieil associé de mon père. C’était à près de 3 heures de route. Nous nous rendîmes ensemble, une voiture pour un trajet semblable c’est bien assez. La célébration terminée, nous repartîmes vers notre ville. Il se mit à pleuvoir environ 15 minutes après notre départ. Cette pluie se changea rapidement en verglas. C’était devenu très dangereux. Puis, nous étions à mis chemin, un barrage policier nous obligea à prendre une sortie. Les policiers nous informèrent que toutes les routes étaient impraticables et qu’il valait mieux se trouver un endroit pour coucher. Après de multiples arrêts sans succès, nous arrêtâmes à une auberge, ma sœur allait pour trouver 2 chambres, elle revint en me disant, ils ont une seule chambre libre, ils l’appellent la chambre des amoureux, je l’ai prise, si on continue, on va finir par se tuer. Je stationnai l’auto et nous nous dirigeâmes vers notre chambre. C’était bien, un bain tourbillon, une petite dinette, sauf que le lit était plus petit qu’un lit double. Chez moi on appelle ça un trois-quart. Bof! Pour une nuit me dit ma sœur. Nous sortîmes aller chercher quelques victuailles chez un marchand à côté de l’auberge. C’était super glissant. De plus, le verglas avait fait place à une pluie fine. En revenant ma sœur glissa et s’étala en entier dans une mare d’eau, elle était complètement trempée. En essayant de l’aider pour se relever, je me suis retrouvé assis dans la même mare. Nous n’avions aucun vêtement de rechange et même si nous avions déjà fait l’amour des années auparavant, il y avait une pudeur ou la peur de se laisser aller à notre amour interdit. Ma sœur, maladroitement avec une serviette pour se cacher se mit nue et rapidement se faufila sous les couvertures du lit. Moi, je préparai du café, prit les vêtements de ma sœur les tordit du mieux que je pouvais et les mit sur des cintres accrochés au dessus d’un calorifère. J’enlevai mes pantalons, mon slip, me cacha enroulé dans une serviette et accrochés mes vêtements. Je donnai une tasse de café à ma sœur, prit la mienne et me glissa sous les couvertures. Ma sœur frissonnait, il faut dire que la chambre était froide lorsque nous sommes entrés et que j’ai remonté le thermostat afin de réchauffer la pièce. Le café but, nous cherchâmes une position pour dormir. Dos à dos, impossible, le lit est trop étroit. Il y avait donc la cuillère. J’essayai de ne pas coller ma sœur, mais ma sœur colla d’abord ses pieds sur mes jambes. Sentant la chaleur de mon corps, elle eut un mouvement de recul. Je reçus ses merveilleuses fesses directement sur mon sac. En moins d’une, ma verge s’érigea rapidement, caressa les fesses de ma sœur et se colla dans la raie de son cul. La tête de ma sœur se retourna, elle avait un bras cachant ses seins et la main de l’autre protégeait sa chatte. Nos yeux se regardèrent longuement. Il y avait un désir passionnel intense doublé d’une tristesse de la honte de cet amour. Sans s’en rendre compte, lentement, nos têtes se rapprochèrent. 10, 9, 8, …, 2, 1 cm. Nous fûmes de nouveau à la porte de l’inceste. Combien de temps cela dura-t-il? Je ne saurais le dire, le temps s’était arrêté. Puis nos lèvres se  touchèrent, nos langues se retrouvèrent après une longue séparation, les bras de ma sœur abandonnèrent leur position protectrice et m’attachèrent solidement collé sur la poitrine de ma sœur. Pendant près de deux heures, un baiser brûlant accompagné de caresses incessantes des mains, des bras, des jambes, des pieds, de nos torses fit rejaillir la réalité de notre amour, amour interdit mais bien réel, un amour qui ne meurt jamais et qui ne veut pas mourir. Nous fîmes ensuite l’amour et entrelacés comme seule ma sœur savait le faire, nous nous endormîmes. Le matin nous refîmes l’amour, mais ma sœur m’indiqua qu’un petit trou s’ennuyait depuis trop longtemps. Je l’enculai alors pour la 2ième fois de notre vie. Nous prîmes un bain et retournâmes chez nous. Quelques jours plus tard, ma sœur gênée plutôt inquiète de ma réaction me dit qu’elle avait arrêté de prendre la pilule et qu’en regardant son calendrier, elle était en ovulation la nuit de l’auberge. Un peu plus d’un mois plus tard ses craintes furent confirmées. Elle était enceinte. Ma sœur me dit qu’elle irait aux Etats-Unis, passer des tests, et si tout est correct, elle désirait le garder. Je l’embrassai pour lui indiquer mon accord. Les tests démontrèrent que tout était normal, sauf que nous aurons des triplés. Nous eûmes deux filles et un garçon. Depuis les triplés sont devenus adultes et en bonne santé, ils furent mis au courant que leur oncle est leur père. Bien qu’étonnés, ils nous dirent que jamais ils n’avaient vu autant d’amour entre deux personnes. Il y a déjà plus de 2 ans, ma tourterelle m’apprit qu’elle était atteinte du cancer et qui ne lui restait que quelques mois. Toujours honteux des gestes posés sur ma sœur lorsqu’elle était malade, je lui ai raconté en lui demandant pardon. Elle sourit et me répondit : « Cette nuit là, j’ai fait semblant de m’endormir. Une fois que tu as quitté la chambre, j’ai poussé mes couvertures au pied du lit, j’ai enlevé ma petite culotte et remonté ma nuisette. J’avais l’espérance que tu reviennes vérifier que j’allais bien et que tu me regardes enfin non pas comme ta sœur mais comme une femme. J’étais depuis longtemps sous ton charme et je n’arrivais pas à me faire voir de toi. Quand je me suis réveillée et que j’ai vu que ma nuisette était rebaissée, les couvertures me couvraient, j’étais heureuse et j’espérais que tu en avais profité un peu. Cela m’a grandement aidé quand tu m’as proposé de prendre des photos. Nue, j’espérais te voir en érection et t’obliger à te mettre nu toi aussi. Ce serait un jeu d’enfant ensuite de sentir ta queue à l’intérieur de moi. ». Elle est décédée quelques temps après. J’ai fait une grave crise de cœur récemment et les médecins me disent qu’à moins d’une grosse opération je ne survivrai pas longtemps. J’ai refusé, je n’ai qu’un désir, retrouver ma sœur, ma compagne de vie, mon aimante, ma confidente, bref mon seul amour.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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