Partager l'article ! Madame, de l'enfer: « Aaaaaah ! Vous me foutez divinement » Gémit Madame de Saint-Ange tandis que son confesseur déchargeait à grands traits ...
Avril 2025 | ||||||||||
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« Aaaaaah ! Vous me foutez divinement » Gémit Madame de Saint-Ange tandis que son confesseur déchargeait à grands traits dans un con d’une
étroitesse extrême.
Depuis son récent veuvage et
chaque mercredi, elle recevait l’homme d’église qui, non seulement recevait ses confessions les plus intimes mais lui donnait l’absolution d’une manière toute personnelle. Il était d’autant plus
redevable de ce sacrifice de sa personne à l’inconsolable comtesse, qu’il avait accepté de prendre sous sa férule, l’éducation du jeune François, le fils unique d’un mariage qui s’était conclu
trop tôt et achevé trop rapidement. Mariée à seize ans à un homme de cinquante ans son aîné, Agnès de Saint-Ange avait connu la désagréable expérience de le voir succomber d’une attaque
foudroyante alors qu’elle lui prodiguait une fellation. Les valets avaient du évacuer le malheureux, la bite aussi raidie que le corps et la comtesse s’était consolée en héritant d’une fortune
qui la mettait à l’abri du besoin jusqu’à la fin de ses jours.
« Madame, nous devons parler
de choses importantes », déclara le confesseur en se rajustant. Il lui expliqua que le jeune François ayant atteint sa majorité, devait soit revêtir l’habit ecclésiastique, ou bien quitter le
monastère où il avait reçu son éducation. « Soit ! Qu’il revienne au château » Déclara la comtesse.
« Nous lui trouverons femme
et fortune avec votre aide… »
Et, donnant congé au curé,
elle conclut : Et si vous échouez mon père, vos couilles sècheront aussi sûrement que le dernier manant pendu en place publique ! »
Le lendemain matin, François
fit son entrée dans le boudoir de sa mère. La comtesse contempla un instant le jeune homme. Bien qu’élégamment vêtu, il avait l’air frêle et timide, se dandinant d’un pied sur l’autre.
« Eh mon jeune homme, il va
falloir prendre un peu plus d’assurance si vous voulez briller en société ! Je ne doute pas que les bons pères ont parfait votre éducation mais je crois qu’il vous reste quelques efforts à
accomplir dans certains domaines moins… académiques disons ! Déshabillez-vous ! »
Incrédule, François contempla
sa mère, croyant avoir mal entendu.
« Eh bien ! Qu’attendez-vous
? Je veux savoir dans quelles dispositions d’élégance la nature vous a façonnée… »
En rougissant, il commença à
se dévêtir, jusqu’à se retrouver torse nu et seulement couvert d’un caleçon long, orné aux chevilles d’une dentelle ridicule.
« Ca aussi ! » réclama la
comtesse en montrant du doigt le fin tissu de flanelle. Terriblement gêné, François ôta le dernier rempart à sa pudeur. Les bras le long du corps, il laissa sa mère tourner autour de lui
:
« Belles proportions. Les
activités de plein air vous ont réussi à ce que je vois ! Le dos est droit, le torse a l’air puissant, les jambes sont joliment dessinées. »
Madame de Saint-Ange passa sa
main sur les épaules et le dos de son fils, admirant la finesse et le grain de peau. Elle caressa le torse couvert d’un fin duvet brun puis le ventre plat et musclé de François qui sentait à
présent une étrange torpeur l’envahir. Entre ses jambes, son sexe commença à se redresser, à sa plus grande honte. Sa mère s’en aperçut et se penchant vers son oreille, lui murmura :
« Ne soyez pas gêné, mon fils
! Votre état est parfaitement naturel mais je dois également m’assurer que le ramage est aussi beau que le plumage, comme disait M. de La Fontaine ! »
Agnès de Saint-Ange
s’agenouilla et saisit délicatement la bite de son fils entre ses doigts.
« Mèèèèèère ! Qu’est-ce que…
» Tressaillit François.
« Chuuuut » L’apaisa-t-elle
et elle commença à caresser lentement la jeune queue qui était à présent fièrement dressée. Elle se contentait d’effleurer la jeune bite, décalottant le gland rosâtre, griffant légèrement la peau
tendre du prépuce. François sentit que son sang bouillonnait à l’intérieur de ses veines tandis que sa mère lui prodiguait des caresses d’une folle lubricité. Soupesant les couilles, elle lui
demanda :
« Lorsque vous étiez au
monastère, vous branliez-vous ? »
« Mouuuuui ! » Articula le
jeune homme.
« Souvent ? Tout seul ?
Allons, répondez-moi ! N’ayez pas honte d’être un homme que diable ! »
Le regard révulsé par la
jouissance qu’il sentait monter en lui telle un flot impétueux, François avoua à sa mère qu’il se branlait chaque soir, parfois même plusieurs fois par jour. Il lui révéla l’amitié particulière
qu’il entretenait avec un jeune novice dont la bouche lui avait souvent servi de réceptacle. Excitée par les aveux de son fils, Agnès de Saint-Ange sentit un flot de mouille lui inonder
l’entrejambe. « Doux Jésus ! Je vais encore barbouiller les joues de ma camériste quand elle va devoir lécher tout ça ! » Songea-t-elle dans un frisson d’extase.
Tout en accélérant les
mouvements de sa main sur la bite de son fils, Agnès de Saint-Ange saliva abondamment sur un doigt qu’elle enfila dans le rectum de François.
« Je vois que vous êtes
encore vierge de ce côté-là. Vous êtes inverti mais point trop et vous pourrez séduire autant le beau-père que la fille ! »
Cette caresse eut raison des
dernières résistances de François qui s’arc bouta violemment en gémissant. De puissants jets blanchâtres jaillirent de sa queue avant de s’écraser sur le tapis persan du boudoir. Sa mère approcha
son visage de la bite qui tressautait entre ses doigts et enroula ses lèvres autour du gland pour en cueillir les ultimes gouttes, se délectant du goût salé de cette jeune queue.
En se relevant, elle pointa
le doigt qui avait fouillé le rectum de François vers la bouche du jeune homme qui le téta avec reconnaissance.
« Bien ! » Déclara-t-elle sur
un ton qui n’admettait aucune réplique.
« Cette première expérience
est prometteuse mais je suppose que vous ne connaissez rien à l’anatomie d’une femme. Vous viendrez donc parfaire vos connaissances sur ce sujet ce soir… Je vous attends dans mes appartements
après le souper ! »
Au moment où le jeune homme
quittait le boudoir, les jambes encore flageolantes et après que sa mère lui eut donné congé, elle le rappela :
« demandez donc à Charlotte,
ma femme de chambre, de venir me voir sans délai. Dites-lui seulement que Madame a besoin d’une toilette… Elle comprendra… »
À
suivre...
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