Présentation

  • : Chèrs lecteurs. le nouveau blog est entrain de se faire. http://www.incest.over-blog.com/
  • Chèrs lecteurs. le nouveau blog est entrain de se faire. http://www.incest.over-blog.com/
  • : Histoires érotiques
  • : J'ATTIRE VOTRE ATTENTION : " chèrs lecteurs. le nouveau blog est entrain de se faire. " http://www.incest.over-blog.com/ ...........................................................................................................................................................................................
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Concours

Recherche

Syndication

  • Flux RSS des articles

Catégories

Texte Libre

Profil

  • maxime
  • Chèrs lecteurs. le nouveau blog est entrain de se faire. http://www.incest.over-blog.com/
  • sexe sperme chatte coquin amour
  • J'ATTIRE VOTRE ATTENTION : chèrs lecteurs. le nouveau blog est entrain de se faire. http://incest.over-blog.com/
Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 17:40

Mon Amant est mon fils ! ! !

Voilà 5 ans maintenant que je trompe mon mari et mon amant n'est autre que mon fils ! !.
En 5 ans, j'ai vécu plus de choses sur le plan sexuel qu'en 23 ans de mariage. Il faut dire que je suis assez réservée et pudique. Mes rapports avec mon mari sont limités aux rapports vaginaux de face dans le lit familial.
Aujourd'hui je me retrouve à vous raconter mon aventure avec mon fils ce qui est très dur mais il a insisté !
Tout à commencé le jour où mon fils est entré dans la salle de bain alors que je venais tout juste de sortir du bain. Je pensais qu'il serait encore plus gêné que je ne l'étais, mais il regardait mes seins puis baissa la tête pour regarder ma motte !
Mon fils n'avait pas honte du corps de sa mère. Dans le fond j'étais flattée car je ne m'aime pas il faut bien l'avouer. Je n'ose pas me mettre en maillot à la piscine d'ailleurs mon mari me le dit je suis mal foutue. Je suis petite 1m 62 mais lorsque j'avais 20 ans j'étais toute menue avec un petit cul bien rond, de jolies jambes fines.
Aujourd'hui je suis très complexée j'ai 44 ans, je mesure toujours 1m 62 mais mes hanches se sont développées et j'ai un très gros cul.
Mes seins paraissent donc encore plus petits qu'ils ne le sont déjà (85b). Le fait que mon fils me regarde avec admiration ne me déplaisait donc pas mais devant l'insistance de son regard je m'entoure de ma serviette et il s'en alla.
Le soir même, je n'arrivais pas à trouver le sommeil, troublée par cet événement. Le lendemain mon fils passa devant moi sans un regard. Je fus soulagée mon imagination avait prit le dessus. En fait mon fils n'avait aucune attirance envers sa maman et moi non plus d'ailleurs.
Je suis croyante et tromper mon mari ne me viendrait même pas à l'esprit alors encore moins l'inceste, avec mon fils ! !
Quelques années passèrent et mon fils entrait dans sa crise d'adolescence de 18 ans que je craignais beaucoup. Il commençait à ramener des filles à la maison, à sortir tard, et dès que son père ou moi lui faisions une réflexion il piquait une colère monstre. J'appréhendais ses réactions. Un soir alors que son père regardait la TV, je rentre dans la salle de bain pour prendre ma douche et je surprends mon fils agenouillé reniflant une de mes culottes sales !
Je me mis en colère car je trouvais cela pour le moins dégoûtant. Je me sentais un peu coupable car il est vrai que j'ai une passion pour la lingerie, peut être du fait que cela donnait un peu de piquant à une vie sexuelle monotone et de la beauté à mon corps vieillissant.
Toujours est-il que lorsque je lui repris ma culotte pour la remettre dans le bac à linge sale, mon fils posa ses mains sur mes fesses ! Une sensation bizarre me parcourait alors qu'il continuait à me tripoter.

J'étais très en colère et ne savais que faire. Mon fils enfin s'excusa et m'expliqua clairement que je ne l'attirais pas mais qu'il avait des vues sur une fille de son école et qu'il avait peur de la décevoir en touchant une fille pour la première fois. Je fus tellement rassurée que je ne le punis pas de m'avoir ainsi caressée. D'ailleurs comment punir son enfant parce qu'il a touché sa mère ?
Une semaine plus tard, son père partit en voyage d'affaire pour 15 jours. J'allais donc me retrouver seule avec lui pendant tout ce temps mais je ne pensais pas à ce qu'il allait pouvoir m'arriver ! En tout cas durant ces 15 jours j'allais verrouiller la porte de la salle de bain, de ma chambre, des toilettes
Un soir où je regardais la TV avec mon fils il commença à me caresser le bras. Il posa ensuite sa main sur mon genou et je me demandais jusqu'où il oserait aller.
Il remonta le long de ma cuisse jusqu'à presque toucher les poils de ma chatte, très fournie jusqu'en bas du ventre. Une véritable fourrure qui tient chaud l'hiver (rires). J'agrippais violemment sa main alors il m'attrapa par le cou et entra sa langue directement dans ma bouche ! ! !
Il retira sa main de ma cuisse pour entraîner la mienne sur la bosse de son pantalon. Sans doute croyait-il que j'allais lui caresser le sexe comme dans un film porno ou pire pour le sucer alors que je n'ai jamais sucé mon mari.
L'idée d'avoir un sexe dans la bouche me donnait des nausées. Je me débattais et il finit par me lâcher. Je le sermonnais pour qu'il comprenne que j'étais sa mère et que je n'allais pas assouvir ses envies sexuelles ! ! !.
Sur ce, il s'excusa et je partis me coucher fermant bien évidemment la porte de ma chambre à clef au cas où ! Mon fils m'avait embrassée ! ! !
Le lendemain soir lorsque je rentrais du boulot, lorsque je vis que mon fils avait gagné une coupe à un tournoi de karaté.
Je retrouvais une certaine fierté en mon fils. Nous fêtions donc sa victoire avec du champagne et très vite je fus pompette. Je ne supporte pas l'alcool. Avant d'être complètement saoule je montais dans ma chambre. Bien sur mon fils m'accompagna croyant que j'allais l'inviter à partager mon lit comme une salope ! !
Il n'hésita pas à me caresser les fesses et me susurrer des cochonneries, je l'envoyais balader mais il m'allongea sur le lit. Il me caressait les jambes mais je me débattais, ensuite c'est le trou noir je ne me souviens plus. L'alcool m'avait achevé et lorsque je me réveillai au matin j'étais toute nue sur mon lit ! Mon fils était à côté de moi et me caressait le ventre ! !
En sursaut, je me lève et me dirige vers la porte quand il se lève et me saisit par les hanches. Il bandait et son sexe me parut énorme et pointait fièrement vers moi. Qu'avais-je fait cette nuit ? Jusqu’où était-il allé ? ? ?
Je lui demande de se calmer et de me raconter ce qu'il s'était passé.

Il m'affirma que l'on avait fait l'amour ! Je n'y croyais pas et l'insultais de tous les noms : " Menteur, cochon, obsédé ! ! "
Le fait que son sexe ait pu pénétrer mon intimité me rendait malade.
" Ce n'était pas possible ! ! ! " " hurlais-je ! !
Je lui dis que j'étais sûre que rien n'était arrivé, qu'il me dégoûtait ! !
Je courus prendre une douche afin de laver mon corps souillé. Je passais mainte et mainte fois la douchette entre mes cuisses, et sur mes seins,
Soudain mon fils entra nu dans la douche se mit derrière moi et me plaqua contre le mur !
Je sentais ses mains sur mes seins et il frottait son sexe entre mes fesses.
Quelle horreur ! Puis d'un coup, il tira mes hanches vers l'arrière, m'écarta les jambes et approcha son engin de l'entrée de mon vagin. Choquée, je laissais couler quelques larmes. Il me pénétra violemment. Mon fils était en train de me violer sous la douche et y prenait un plaisir fou ! peu à peu ses caresses et ses pénétrations se furent plus douces.
Il me susurra plein de " Je t'aime Maman, je te désire si fort ! ! " tout le temps qu'il me ramona le vagin de sa bite puissante, et par un coup de folie, je sortis de la douche et je l'amenai dans ma chambre.
Je m'allongeai sur le lit et lui demandais de me faire des câlins. Avec une extrême douceur il commença à me caresser les seins.
Visiblement il savait que j'adorais ça. Son regard brillait. Jamais son père ne m'avait regardé avec autant d'admiration et de désir. Il approcha sa bouche du creux de mes seins, fit tournoyer sa langue sur mes tétons qui se dressaient de plaisir. Mon ventre brûlait de désir et ruisselait.
Mon fils, ma chair, que j'ai longtemps porté en moi ne rêvait que d'une chose : rentrer à nouveau en moi !
Ses mains parcouraient tout mon corps en feu. Il me complimentait sans cesse. Mon fils aime le corps de sa petite maman. ! ! Je pris son sexe dans une main et le caressai de l'autre. Je léchais son torse bronzé, ses abdos musclés (tout le contraire de son père).
Le fait que je sois nue, sans complexes, avec mon fils m’excitait à la folie. Il me demanda de goûter à son sexe. J'étais prête à tenter l'expérience quand je réalise que c'est mon fils dont je m'apprête à sucer le sexe!
Je me sentais sale. Certes j'avais envie de lui mais ma conscience de bourgeoise chrétienne était là. Je refusais doucement mais fermement ce plaisir à mon fils. Il m'allongea sur le dos, écarta mes cuisses et engouffra mon clitoris dans sa bouche. Je sentais sa langue aller et venir en moi, comme un petit sexe.

Je n'avais jamais ressenti autant de plaisirs auparavant avec mon mari, et j'eus un premier orgasme très fort qui me laissa anéantie de plaisir. Je mouillais à flots et mon fils récupérait la moindre goutte de ma liqueur pour la déguster.
Ensuite, il remonta de mon ventre en feu, et m'embrassa me donnant par la même occasion un goût de ma moule qui ruisselait.
J'écarte mes cuisses encore plus, et je lui demande d'approcher son sexe de ma chatte, puis je saisis ses petites fesses musclées les tirent vers moi et fait ainsi entrer son sexe complètement et profondément en moi.
Très vite comme il était très excité il déchargea en moi, quatre grandes giclées de sperme chaud au fond de mon vagin en feu. Quel bonheur ! De sentir le corps de mon fils sur moi et sa queue en moi, du moins jusqu'à ce qu'il m'introduise son index dans l'anus. Ça ne me faisait pas mal mais je trouvais cela répugnant ! Parce que pas naturel !
Il ressortit son sexe encore raide, et recouvert de nos liquides mélangés me retourna sur le ventre me mit à quatre pattes, et rentra lentement son sexe entre mes grosses fesses.
Je sentis son engin rentrer dans mon cul lentement mais fermement et cela me fit très mal. Plus je lui demandais en sanglotant d'arrêter, plus il l'enfonçait profondément.
C'était horrible ! Je me mis à pleurer et crier de douleur et tout de suite il retira son sexe de mon petit trou. Il se leva pour l'essuyer avec un mouchoir et revint à mon chevet s'excuser.
Je l'embrasse tendrement et lui explique que contrairement aux jeunes filles qu'il pouvait côtoyer ou voir dans les films pornos, je n'avais pas expérimenté la fellation, ni la sodomie, avec son père, mais qu'ensemble, dorénavant, nous allions pouvoir expérimenter toutes sortes d'aventures sexuelles merveilleuses tous les deux ! !
Mon fils m'a ainsi transformé en pervertie du sexe.
Depuis ce jour mon fils et moi vivons une formidable histoire d'amour dans le dos de mon mari. Mon fils partage le lit conjugal quand mon mari est absent.
Nous faisons souvent l'amour en cachette de mon mari, dans la salle de bain, les toilettes et même dans son lit.
Maintenant, je le suce avec beaucoup de bonheur, j'aime recevoir son sperme chaud sur ma langue, l'avaler lentement, lui lécher les couilles qui toujours pleines pour moi ! !,
Il sait maintenant beaucoup mieux me lécher la chatte et l'anus, me titiller le clitoris, il aime aussi boire ma mouille abondante ! ! !
Et ainsi quand il m'écarte les fesses pour me mettre son gros sexe dans le cul, je suis la première à me pousser vers lui, pour pouvoir mieux sentir son sexe rentrer et m'écarter l'anus, puis coulisser dans mes boyaux, pendant que je me caresse le clitoris.

 

 

Récemment, mon mari étant en tournée à l'étranger, nous nous sommes retrouvés mon fils et moi à la cuisine, pour déguster un petit déjeuner réparateur, après les folies charnelles de la nuit précédente. Pour descendre, j'avais mis juste une robe de chambre, et j'étais nue dessous. Mon fils avait enfilé un caleçon, et montrait ainsi son torse musclé, que j'aimais tant caresser après l'amour !

J'étais encore dans les souvenirs érotiques de la nuit précédente, en buvant mon café, quand je sentis une main qui s'aventurait sur mes cuisses, vers mon minou, qui en avait vu pas mal depuis quelques jours !
Je sentis un, puis plusieurs doigts qui investissaient ma vulve, qui à ce contact réagit en mouillant comme une fontaine, mon pouls s'accélérait, mon fils m'embrassa sur les lèvres passionnément, et son autre main me triturait les seins qui eux aussi se durcirent sous la caresse.
Il me demanda gentiment de me lever, aussi je pensais qu'il avait encore envie de m'enfoncer son sexe vigoureux dans la chatte, mais il avait apparemment une autre idée ! !
Il eut l'idée originale, de me tartiner le minou, avec de la confiture, voulant déguster un " minou-fraise ", il me demanda alors de me mettre sur la table de la cuisine, sur le dos, les pieds sur le rebord de la table, les cuisses écartées, et ainsi ayant pris un pot de confiture de fraise, il commença de répandre sur les lèvres de mon vagin, et sur mon clitoris, de la confiture épaisse, que je sentais néanmoins dégouliner lentement vers mon anus.
Il introduisit aussi une cuillère de fraise dans mon vagin, histoire dit-il, de connaître la saveur du mélange " fraise et mouille de maman ! ! "

Puis mettant mes pieds sur ses épaules, il plongea son visage entre mes cuisses écartées et commença, de haut en bas, à me lécher le sexe, qui avait déjà été pas mal sollicité durant la nuit précédente.
Le fait de sentir cette langue qui me léchait la vulve, commença à me faire délirer,
Mon clitoris fut aspiré, léché, légèrement " grignoté ", mon fils se régalait de ramasser avec sa langue de la confiture sur la vulve de sa mère, et moi, je délirais de sentir cette langue qui me broutait, mais quand, il mit sa langue dans mon vagin, profondément comme une petite bite, pour goûter au fameux mélange " fraise et mouille de maman ", je faillis m'évanouir sous la sensation de cette pénétration vibrante.
J'en tremblais de la tête au pieds, de mes seins malaxés par mon fils, d'un doigt profondément enfoncé dans mon cul, et sa langue partout entre mes cuisses qui me faisait un bien fou.
Soudain, ce fut l'explosion interne, un éblouissement, j'eus un orgasme très fort, qui me laissa anéantie, pendant que mon fils finissait de s'abreuver à ma source de cyprine et de confiture de fraise mélangée.

Puis se relevant, il enfourna son membre dans ma chatte qui le reçut avec beaucoup de plaisir, et après quelques va et vient rapides, je le sentis décharger sa cargaison de sperme au fond de mon vagin en feu ! !
Nous allâmes nous doucher pour effacer les traces diverses que j'avais sur le corps, de façon à commencer ce week-end qui s'annonçait radieux, aussi bien dehors, que dans mon corps qui allait sûrement être visité par mon fils de nombreuses fois !
Quelque temps après le téléphone sonna, c'était mon mari qui me demandait comment cela allait, je lui répondis que rien de particulier ne se passait (je mentais ! !), il me dit que son voyage serait plus long que prévu et ne pourrait rentrer à la maison que vers la fin de la semaine prochaine.
Je lui dis que je déplorais ce retard, et que je l'attendais impatiemment (oh la menteuse que je devenais ! !) Je continuais de parler à mon mari au téléphone, quand je sentis, une main qui cheminait sur mon dos, sur mes grosses fesses, c'était mon insatiable fils qui me caressait.
Il passa ses mains devant et saisit mes seins dans ses mains, en pinçant les tétons qui durcirent rapidement. Puis, il aventura une main entre mes cuisses que j’écartais, vers mon vagin, et y mettant trois doigts, il commença de me masturber ! Je trouvais rapidement une raison quelconque pour raccrocher avec mon mari, car je sentais ma raison qui divaguait sous la nouvelle pénétration des doigts de mon cochon de fils. Ayant raccroché avec mon mari, prétextant quelque chose sur la cuisinière, je le calmais en lui faisant une fellation avec caresses sur les testicules, mais comme il avait éjaculé récemment, il ne me remplit pas la bouche de son jus. Peu avant le déjeuner, son ami André, un étudiant comme lui, mais en pharmacie, vint à la maison, pour lui demander des renseignements divers, dont je me moquais bien, mais les regards qu'il me jeta durant l'apéritif me confortèrent sur le fait que mes hanches larges et mes seins « format standard », pouvaient encore plaire à des jeunes gens autres que mon fils, aussi, discrètement, je partis me changer de mon jean T-shirt quotidien, certes pratique, mais pour plaire à un homme il faut aiguiser son appétit ! !

Je revins, avec un corsage léger, dont deux boutons étaient ouverts ? ? ? sur un soutien-gorge blanc, une jupe courte rouge, sans collant, et une culotte fine,
Aux regards que mon fils et surtout ceux qu'André me jetèrent, à mon retour dans le salon, je réalisais que j'avais touché juste, et que ma nouvelle vie amoureuse prenait une ampleur extra-conjugale (coucher avec mon fils restait dans la famille !) Le repas vite préparé (pizza et salade) et vite expédié par tous, pour des raisons que vous devinez ! ! Nous nous installâmes de nouveau dans le salon, j'avais apporté le café entre-temps.
Après les avoir servi sur la petite table qui se trouvait face à eux (vautrés dans le canapé), mais durant les quelques minutes qu'avait duré le remplissage des tasses, ils avaient profité largement de la vue sur mes seins dans le soutien-Gorge, vue facilitée par le fait que mon corsage était bien ouvert ! Je m'installais sur le canapé, entre mon fils et André son ami, ma cuisse gauche touchait la cuisse droite de mon fils, qui d'un geste possessif, mit sa main droite sur ma cuisse et la fit progresser vers ma chatte, en repoussant ma courte jupe.
Pour la forme, je lui retirais la main et lui demandais de cesser ces privautés, vis à vis de sa mère ! ! ! Et devant un étranger à la famille, mais il ne cessait pas le bandit !
Il m'embrassa dans le cou, tout en caressant ma poitrine sur le corsage, puis déboutonna celui-ci, pour pouvoir plus facilement me caresser les seins encore dans le S.G.
Sans doute échauffé par le spectacle que nous donnions, son ami André, se pencha vers moi et m'embrassa longuement, sur les lèvres, sa langue était beaucoup plus experte que celle de mon fils, et plus encore que celle de mon mari, et ainsi pendant quelques minutes, je dégustais ses lèvres sur les miennes et sa langue qui jouait avec la mienne, quel délice ! ! !
Mon fils pendant ce temps-là avait ouvert complètement mon corsage et défait mon SG.
Je me levais pour enlever ce corsage et ce SG qui me gênait, plus qu'autre chose, et ceci fait, mes "hommes " m'entourèrent de leur bras.
Moi la femme auparavant fidèle à son mari, bourgeoise catholique bien pensante, je me dévergondais avec DEUX hommes ! !
Nous étions debout, André était derrière moi, plaqué contre mon dos il me malaxait la poitrine vigoureusement presque à me faire mal, et je sentais aussi sa verge tendue entre mes fesses, et mon fils par-devant qui me mordillait le bout des seins, qui dépassaient des mains d'André, décidément mes seins calibre "standards " étaient à la fête ! ! !, deux mains et une bouche pour s'occuper d'eux !
Pendant que mon fils, me léchait les seins, je sentis dans mon dos qu'André, cessant de me tripoter mes globes, défaisait ma jupe et baissait ma culotte qui était trempée depuis longtemps, il l'abaissa le long de mes jambes jusqu'à mes pieds et m'aida à soulever mes pieds l'un après l'autre, pour me débarrasser de ma jupe et de ma culotte.
Puis, il fit coulisser lentement son membre entre mes grosses fesses qu'il avait écartées, pour en faire comme un nid pour sa queue, cette sensation, nouvelle pour moi, était délicieuse, et source de plaisirs nouveaux !
Mon Amant de fils, se mit à genoux entre mes cuisses et me lécha abondamment la moule qui dégoulinait, ce qui me faisait monter au septième ciel à vitesse grand V ! ! !
Ces caresses diverses durèrent quelque temps, au moins le temps de commencer tous à perdre la notion du temps qui passait en plaisirs divers.
Je les entraînais tous les deux vers la chambre conjugale, où je disposais d'un plus grand lit que l'espace d'un divan.
Sur le lit de mes devoirs conjugaux longtemps mornes, et vite expédiés, mon fils me fit mettre à " quatre pattes ", pour donner plus facilement l'accès de mes trous à leurs bites en feu.
Il se mit à genoux face à moi, et me demanda le sucer, ce que je fis avec plaisir, car maintenant j'aimais sucer son sexe vigoureux.
Pendant que je suçais avec ardeur la bite de mon fils, André vint se mettre derrière moi, me caressa les cuisses, puis je sentis qu'il voulait s'introduire dans ma chatte en feu,
Mais je me dégageais du sexe de mon fils et je rugis sous la tentative de pénétration en lui demandant instamment,(sinon rien du tout ! ! ), de mettre une " capote ", comme ils disent les jeunes, pendant qu'il était encore tant.
Il le fit de bonne grâce, gaina son membre de belle taille de latex, et seulement après introduisait doucement son gros membre qui glissa facilement malgré sa taille imposante, dans mon vagin ruisselant. Il me tenait par les hanches et m'attira ainsi vers son sexe qui me pénétrait, m'ouvrait le ventre, cheminait en moi.

Une fois arrivé en butée contre mon utérus, il commença de doux et amples mouvements de son sexe en entrant et sortant de mon vagin qui le réclamait encore plus profond encore ! !
Il me dit qu'il aimait mes hanches larges et que mon vagin était un délice de douceur et très accueillant ! ! ! Avec la bite de mon fils dans la bouche je ne pus guère lui répondre, mais je secouais la tête pour montrer que j'appréciais sa " prestation " dans ma moule qui ruisselait de bonheur.
Je me sentais remplie comme jamais, il s'enfonçait, butait contre mon col de l'utérus, et je sentais ses couilles contre ma vulve devenue très sensible, ressortait presque complètement, et recommençait, j’étais au paradis ! !
Il me besogna de longues minutes, durant lesquelles je planais au septième ciel, de sentir cette grosse chose qui rentrait et sortait de mon ventre, à un rythme régulier, en me procurant des frissons continus qui me parcouraient le corps.
Puis il se retira de mon vagin dilaté, et après avoir introduit avec quelques va et vient, quelques doigts mouillés aux sécrétions de mon vagin, dans mon petit trou, pour l'assouplir, il rentra doucement son gros membre dans mon cul, qui le reçut difficilement et un peu douloureusement au début, aussi je lui demandais de faire doucement.
Mais une fois tout rentré, sauf ses couilles que je sentais frotter contre ma vulve, il coulissa doucement de toute la longueur de son sexe puissant, dans mon étroit conduit, en sortant presque totalement puis se renfonçant fortement, puis il saisit mes seins dans ses mains et me les malaxaient au même rythme qu'il m'enculait, provoquant en moi des ondes de voluptés qui en irradiant allaient de la tête aux pieds ! !
Moi, qui auparavant, n'avais jamais pratiqué, ni la fellation, ni la sodomie avec mon mari, maintenant je suçais, et je me faisais enculer, bref je me dévergondais ! !
J'avais la queue de mon fils profondément dans la bouche, je lui malaxais les couilles qui semblaient bien pleines, pendant que son ami tenant mes hanches très larges dans ses mains me pilonnait l'anus avec vigueur ! !
J'eus un orgasme foudroyant, quand presque en même temps, André arrosait mes boyaux de son sperme chaud, et mon fils me nappait la bouche de son sperme sous pression.
Nous nous sommes endormis quelques minutes, écrasés tous les trois de plaisir et de bonheur purement sexuels.
Je fus la première à songer à me laver des excès sexuels précédents.
Je rentrais dans la salle de bains pour pouvoir me rafraîchir et évacuer par une douche bienfaisante tout ce sperme que j'avais reçu sur le corps; quand mon fils me suivit de près dans la salle de bain !
Il me prit dans ses bras, et nous échangeâmes un baiser voluptueux et de multiples caresses qui me permirent de sentir contre mon ventre, que mon insatiable fils recommençait à bander dur !
Aussi je me mis à genoux devant lui et saisis sa verge luisante dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation qu'il aimait tant, le cochon ! !
Mais maintenant que ses couilles s'étaient un peu vidées, je pus le sucer tranquillement sans recevoir trop rapidement sa semence bouillante au fond de ma gorge
Au bout de quelques minutes de suçage et de caresses sur ses couilles, je décidais d'aller me doucher, de façon à ce que mon " Amant de Fils " puisse recharger les batteries ! !
J'étais dans le bac de douche depuis quelques minutes, à savourer l'eau ruisselant sur ma peau, sur mes seins malmenés, malaxés, que mon fils me rejoignit sous la douche et se serra contre moi.
Nos nous savonnions longuement l'un l'autre et échangions aussi des caresses. Nous étions enlacés sous le jet d'eau qui nous arrosait abondamment, c'était bon de sentir l'eau ruisseler et les caresses de mon fils en même temps ! !
Puis, il se mit derrière moi, et plaça sa queue entre mes fesses, son torse contre mon dos, et il me saisit les seins, dont il recommença à triturer les bouts encore turgescents.
Je basculais la tête en arrière sur son épaule, pour savourer cette caresse et signifier mon abandon à mon fils.

Je sentis soudain sa queue pointer contre mon anus, il me tira par les hanches un peu en arrière, me faisant pencher le torse en avant, et en écartant lui aussi mes grosses fesses, il commença à rentrer lentement son membre dans mon petit cul qui décidément était beaucoup visité ce jour ! ! !! ! !
Je m'agrippais au robinet de douche, en redoutant un peu, malgré le savon qui facilitait l'entrée, cette intrusion de la bite de mon Amant de Fils dans mon cul.
Lorsqu'il eut rentré la totalité de son engin dans mon fondement, je lui demandais de ne plus bouger, pour tout d'abord accepter complètement son pieu, dans mon cul, et aussi savourer le sentiment d'envahissement que cela me procurait entre les fesses.
Puis me ressaisissant par les seins, il commença de longs mouvements de sortie presque totale de mon cul et de rentrée en force jusqu'aux couilles, butant contre ma vulve, dans mon anus encore une fois dilaté, ces mouvements commencèrent très rapidement à me faire jouir de nombreuses fois, je restais sur cette vague planante de jouissance tout le temps que dura cette intrusion de la bite de mon fils dans le cul maternel ! ! !
Soudain je sentis dans le brouillard de mon plaisir que le gland de mon Amant de fils gonflait et je ressentis les soubresauts de sa queue qui vidait son sperme dans mes boyaux, et dans un hurlement de jouissance, mon fils essayait de rentrer encore plus loin sa bite entre mes grosses fesses.
Je sentis sa bitte se ramollir et sortir de mon cul, et d'un geste encore inconnu de moi auparavant, je le prenais en bouche pour le nettoyer malgré l'eau qui nous ruisselait dessus.
Puis nous sommes retournés dans ma chambre, où André dormait déjà probablement terrassé par le plaisir.
Nous nous sommes écroulés sur le lit nous aussi, et terrassés par les plaisirs incestueux d'un Fils et de sa Mère, nous nous endormîmes très rapidement.

Au réveil, il faisait un superbe soleil, qui augurait d'une autre belle journée pour nous tous.

Nous sommes descendus dans la cuisine pour prendre un petit déjeuner co-pieux, qui redonnerait des forces à mes " hommes ", et je m'éclipsais dans la salle de bain pour me refaire belle, car j'avais le sentiment que ce week-end serait chaud !
Je revins vers la piscine de la maison, en maillot deux pièces, pour me dorer au soleil quand je remarquais que mon fils et André parlaient à voie basse, puis ils vinrent vers moi avec des lueurs dans les yeux.
André à la suite du récit de mon fils sur la nouvelle recette " maison " de petit déjeuner, voulut lui aussi goûter à ce nouveau mélange, mais il eut l'idée de tartiner mon petit trou avec un mélange de beurre de cacao et de chocolat en pâte et s'engagea à me nettoyer l'anus seulement avec la langue ! !
Décidément cela devenait une habitude de me lécher les orifices avec des ingrédients sucrés.
L'idée me parut folle au début, mais je me disais :'Pourquoi pas, si cela peut leur faire plaisir à lécher, je ne peux que bénéficier de cette langue qui me lécherait le cul pour me le nettoyer de toute cette " mélasse "

Je vous promets que cette expérience presque culinaire, fut une source de plaisir fantastique pour moi, et je crois aussi pour mes amants dont mon fils, qui y puisèrent une source de nouveaux goûts ! !

Le reste du dimanche fut occupé à se donner du plaisir.

La suite vient si vous me donnez vos impressions, surtout vous mes sœurs, les femmes adultères qui aimez donner du plaisir et en recevoir, et qui auraient peut-être vécu quelque chose d'approchant.

Merci d'avance


 




Mon Amant est mon fils ! ! !

Voilà 5 ans maintenant que je trompe mon mari et mon amant n'est autre que mon fils ! !.
En 5 ans, j'ai vécu plus de choses sur le plan sexuel qu'en 23 ans de mariage. Il faut dire que je suis assez réservée et pudique. Mes rapports avec mon mari sont limités aux rapports vaginaux de face dans le lit familial.
Aujourd'hui je me retrouve à vous raconter mon aventure avec mon fils ce qui est très dur mais il a insisté !
Tout à commencé le jour où mon fils est entré dans la salle de bain alors que je venais tout juste de sortir du bain. Je pensais qu'il serait encore plus gêné que je ne l'étais, mais il regardait mes seins puis baissa la tête pour regarder ma motte !
Mon fils n'avait pas honte du corps de sa mère. Dans le fond j'étais flattée car je ne m'aime pas il faut bien l'avouer. Je n'ose pas me mettre en maillot à la piscine d'ailleurs mon mari me le dit je suis mal foutue. Je suis petite 1m 62 mais lorsque j'avais 20 ans j'étais toute menue avec un petit cul bien rond, de jolies jambes fines.
Aujourd'hui je suis très complexée j'ai 44 ans, je mesure toujours 1m 62 mais mes hanches se sont développées et j'ai un très gros cul.
Mes seins paraissent donc encore plus petits qu'ils ne le sont déjà (85b). Le fait que mon fils me regarde avec admiration ne me déplaisait donc pas mais devant l'insistance de son regard je m'entoure de ma serviette et il s'en alla.
Le soir même, je n'arrivais pas à trouver le sommeil, troublée par cet événement. Le lendemain mon fils passa devant moi sans un regard. Je fus soulagée mon imagination avait prit le dessus. En fait mon fils n'avait aucune attirance envers sa maman et moi non plus d'ailleurs.
Je suis croyante et tromper mon mari ne me viendrait même pas à l'esprit alors encore moins l'inceste, avec mon fils ! !
Quelques années passèrent et mon fils entrait dans sa crise d'adolescence de 18 ans que je craignais beaucoup. Il commençait à ramener des filles à la maison, à sortir tard, et dès que son père ou moi lui faisions une réflexion il piquait une colère monstre. J'appréhendais ses réactions. Un soir alors que son père regardait la TV, je rentre dans la salle de bain pour prendre ma douche et je surprends mon fils agenouillé reniflant une de mes culottes sales !
Je me mis en colère car je trouvais cela pour le moins dégoûtant. Je me sentais un peu coupable car il est vrai que j'ai une passion pour la lingerie, peut être du fait que cela donnait un peu de piquant à une vie sexuelle monotone et de la beauté à mon corps vieillissant.
Toujours est-il que lorsque je lui repris ma culotte pour la remettre dans le bac à linge sale, mon fils posa ses mains sur mes fesses ! Une sensation bizarre me parcourait alors qu'il continuait à me tripoter.

J'étais très en colère et ne savais que faire. Mon fils enfin s'excusa et m'expliqua clairement que je ne l'attirais pas mais qu'il avait des vues sur une fille de son école et qu'il avait peur de la décevoir en touchant une fille pour la première fois. Je fus tellement rassurée que je ne le punis pas de m'avoir ainsi caressée. D'ailleurs comment punir son enfant parce qu'il a touché sa mère ?
Une semaine plus tard, son père partit en voyage d'affaire pour 15 jours. J'allais donc me retrouver seule avec lui pendant tout ce temps mais je ne pensais pas à ce qu'il allait pouvoir m'arriver ! En tout cas durant ces 15 jours j'allais verrouiller la porte de la salle de bain, de ma chambre, des toilettes
Un soir où je regardais la TV avec mon fils il commença à me caresser le bras. Il posa ensuite sa main sur mon genou et je me demandais jusqu'où il oserait aller.
Il remonta le long de ma cuisse jusqu'à presque toucher les poils de ma chatte, très fournie jusqu'en bas du ventre. Une véritable fourrure qui tient chaud l'hiver (rires). J'agrippais violemment sa main alors il m'attrapa par le cou et entra sa langue directement dans ma bouche ! ! !
Il retira sa main de ma cuisse pour entraîner la mienne sur la bosse de son pantalon. Sans doute croyait-il que j'allais lui caresser le sexe comme dans un film porno ou pire pour le sucer alors que je n'ai jamais sucé mon mari.
L'idée d'avoir un sexe dans la bouche me donnait des nausées. Je me débattais et il finit par me lâcher. Je le sermonnais pour qu'il comprenne que j'étais sa mère et que je n'allais pas assouvir ses envies sexuelles ! ! !.
Sur ce, il s'excusa et je partis me coucher fermant bien évidemment la porte de ma chambre à clef au cas où ! Mon fils m'avait embrassée ! ! !
Le lendemain soir lorsque je rentrais du boulot, lorsque je vis que mon fils avait gagné une coupe à un tournoi de karaté.
Je retrouvais une certaine fierté en mon fils. Nous fêtions donc sa victoire avec du champagne et très vite je fus pompette. Je ne supporte pas l'alcool. Avant d'être complètement saoule je montais dans ma chambre. Bien sur mon fils m'accompagna croyant que j'allais l'inviter à partager mon lit comme une salope ! !
Il n'hésita pas à me caresser les fesses et me susurrer des cochonneries, je l'envoyais balader mais il m'allongea sur le lit. Il me caressait les jambes mais je me débattais, ensuite c'est le trou noir je ne me souviens plus. L'alcool m'avait achevé et lorsque je me réveillai au matin j'étais toute nue sur mon lit ! Mon fils était à côté de moi et me caressait le ventre ! !
En sursaut, je me lève et me dirige vers la porte quand il se lève et me saisit par les hanches. Il bandait et son sexe me parut énorme et pointait fièrement vers moi. Qu'avais-je fait cette nuit ? Jusqu’où était-il allé ? ? ?
Je lui demande de se calmer et de me raconter ce qu'il s'était passé.

Il m'affirma que l'on avait fait l'amour ! Je n'y croyais pas et l'insultais de tous les noms : " Menteur, cochon, obsédé ! ! "
Le fait que son sexe ait pu pénétrer mon intimité me rendait malade.
" Ce n'était pas possible ! ! ! " " hurlais-je ! !
Je lui dis que j'étais sûre que rien n'était arrivé, qu'il me dégoûtait ! !
Je courus prendre une douche afin de laver mon corps souillé. Je passais mainte et mainte fois la douchette entre mes cuisses, et sur mes seins,
Soudain mon fils entra nu dans la douche se mit derrière moi et me plaqua contre le mur !
Je sentais ses mains sur mes seins et il frottait son sexe entre mes fesses.
Quelle horreur ! Puis d'un coup, il tira mes hanches vers l'arrière, m'écarta les jambes et approcha son engin de l'entrée de mon vagin. Choquée, je laissais couler quelques larmes. Il me pénétra violemment. Mon fils était en train de me violer sous la douche et y prenait un plaisir fou ! peu à peu ses caresses et ses pénétrations se furent plus douces.
Il me susurra plein de " Je t'aime Maman, je te désire si fort ! ! " tout le temps qu'il me ramona le vagin de sa bite puissante, et par un coup de folie, je sortis de la douche et je l'amenai dans ma chambre.
Je m'allongeai sur le lit et lui demandais de me faire des câlins. Avec une extrême douceur il commença à me caresser les seins.
Visiblement il savait que j'adorais ça. Son regard brillait. Jamais son père ne m'avait regardé avec autant d'admiration et de désir. Il approcha sa bouche du creux de mes seins, fit tournoyer sa langue sur mes tétons qui se dressaient de plaisir. Mon ventre brûlait de désir et ruisselait.
Mon fils, ma chair, que j'ai longtemps porté en moi ne rêvait que d'une chose : rentrer à nouveau en moi !
Ses mains parcouraient tout mon corps en feu. Il me complimentait sans cesse. Mon fils aime le corps de sa petite maman. ! ! Je pris son sexe dans une main et le caressai de l'autre. Je léchais son torse bronzé, ses abdos musclés (tout le contraire de son père).
Le fait que je sois nue, sans complexes, avec mon fils m’excitait à la folie. Il me demanda de goûter à son sexe. J'étais prête à tenter l'expérience quand je réalise que c'est mon fils dont je m'apprête à sucer le sexe!
Je me sentais sale. Certes j'avais envie de lui mais ma conscience de bourgeoise chrétienne était là. Je refusais doucement mais fermement ce plaisir à mon fils. Il m'allongea sur le dos, écarta mes cuisses et engouffra mon clitoris dans sa bouche. Je sentais sa langue aller et venir en moi, comme un petit sexe.

Je n'avais jamais ressenti autant de plaisirs auparavant avec mon mari, et j'eus un premier orgasme très fort qui me laissa anéantie de plaisir. Je mouillais à flots et mon fils récupérait la moindre goutte de ma liqueur pour la déguster.
Ensuite, il remonta de mon ventre en feu, et m'embrassa me donnant par la même occasion un goût de ma moule qui ruisselait.
J'écarte mes cuisses encore plus, et je lui demande d'approcher son sexe de ma chatte, puis je saisis ses petites fesses musclées les tirent vers moi et fait ainsi entrer son sexe complètement et profondément en moi.
Très vite comme il était très excité il déchargea en moi, quatre grandes giclées de sperme chaud au fond de mon vagin en feu. Quel bonheur ! De sentir le corps de mon fils sur moi et sa queue en moi, du moins jusqu'à ce qu'il m'introduise son index dans l'anus. Ça ne me faisait pas mal mais je trouvais cela répugnant ! Parce que pas naturel !
Il ressortit son sexe encore raide, et recouvert de nos liquides mélangés me retourna sur le ventre me mit à quatre pattes, et rentra lentement son sexe entre mes grosses fesses.
Je sentis son engin rentrer dans mon cul lentement mais fermement et cela me fit très mal. Plus je lui demandais en sanglotant d'arrêter, plus il l'enfonçait profondément.
C'était horrible ! Je me mis à pleurer et crier de douleur et tout de suite il retira son sexe de mon petit trou. Il se leva pour l'essuyer avec un mouchoir et revint à mon chevet s'excuser.
Je l'embrasse tendrement et lui explique que contrairement aux jeunes filles qu'il pouvait côtoyer ou voir dans les films pornos, je n'avais pas expérimenté la fellation, ni la sodomie, avec son père, mais qu'ensemble, dorénavant, nous allions pouvoir expérimenter toutes sortes d'aventures sexuelles merveilleuses tous les deux ! !
Mon fils m'a ainsi transformé en pervertie du sexe.
Depuis ce jour mon fils et moi vivons une formidable histoire d'amour dans le dos de mon mari. Mon fils partage le lit conjugal quand mon mari est absent.
Nous faisons souvent l'amour en cachette de mon mari, dans la salle de bain, les toilettes et même dans son lit.
Maintenant, je le suce avec beaucoup de bonheur, j'aime recevoir son sperme chaud sur ma langue, l'avaler lentement, lui lécher les couilles qui toujours pleines pour moi ! !,
Il sait maintenant beaucoup mieux me lécher la chatte et l'anus, me titiller le clitoris, il aime aussi boire ma mouille abondante ! ! !
Et ainsi quand il m'écarte les fesses pour me mettre son gros sexe dans le cul, je suis la première à me pousser vers lui, pour pouvoir mieux sentir son sexe rentrer et m'écarter l'anus, puis coulisser dans mes boyaux, pendant que je me caresse le clitoris.

 

 

Récemment, mon mari étant en tournée à l'étranger, nous nous sommes retrouvés mon fils et moi à la cuisine, pour déguster un petit déjeuner réparateur, après les folies charnelles de la nuit précédente. Pour descendre, j'avais mis juste une robe de chambre, et j'étais nue dessous. Mon fils avait enfilé un caleçon, et montrait ainsi son torse musclé, que j'aimais tant caresser après l'amour !

J'étais encore dans les souvenirs érotiques de la nuit précédente, en buvant mon café, quand je sentis une main qui s'aventurait sur mes cuisses, vers mon minou, qui en avait vu pas mal depuis quelques jours !
Je sentis un, puis plusieurs doigts qui investissaient ma vulve, qui à ce contact réagit en mouillant comme une fontaine, mon pouls s'accélérait, mon fils m'embrassa sur les lèvres passionnément, et son autre main me triturait les seins qui eux aussi se durcirent sous la caresse.
Il me demanda gentiment de me lever, aussi je pensais qu'il avait encore envie de m'enfoncer son sexe vigoureux dans la chatte, mais il avait apparemment une autre idée ! !
Il eut l'idée originale, de me tartiner le minou, avec de la confiture, voulant déguster un " minou-fraise ", il me demanda alors de me mettre sur la table de la cuisine, sur le dos, les pieds sur le rebord de la table, les cuisses écartées, et ainsi ayant pris un pot de confiture de fraise, il commença de répandre sur les lèvres de mon vagin, et sur mon clitoris, de la confiture épaisse, que je sentais néanmoins dégouliner lentement vers mon anus.
Il introduisit aussi une cuillère de fraise dans mon vagin, histoire dit-il, de connaître la saveur du mélange " fraise et mouille de maman ! ! "

Puis mettant mes pieds sur ses épaules, il plongea son visage entre mes cuisses écartées et commença, de haut en bas, à me lécher le sexe, qui avait déjà été pas mal sollicité durant la nuit précédente.
Le fait de sentir cette langue qui me léchait la vulve, commença à me faire délirer,
Mon clitoris fut aspiré, léché, légèrement " grignoté ", mon fils se régalait de ramasser avec sa langue de la confiture sur la vulve de sa mère, et moi, je délirais de sentir cette langue qui me broutait, mais quand, il mit sa langue dans mon vagin, profondément comme une petite bite, pour goûter au fameux mélange " fraise et mouille de maman ", je faillis m'évanouir sous la sensation de cette pénétration vibrante.
J'en tremblais de la tête au pieds, de mes seins malaxés par mon fils, d'un doigt profondément enfoncé dans mon cul, et sa langue partout entre mes cuisses qui me faisait un bien fou.
Soudain, ce fut l'explosion interne, un éblouissement, j'eus un orgasme très fort, qui me laissa anéantie, pendant que mon fils finissait de s'abreuver à ma source de cyprine et de confiture de fraise mélangée.

Puis se relevant, il enfourna son membre dans ma chatte qui le reçut avec beaucoup de plaisir, et après quelques va et vient rapides, je le sentis décharger sa cargaison de sperme au fond de mon vagin en feu ! !
Nous allâmes nous doucher pour effacer les traces diverses que j'avais sur le corps, de façon à commencer ce week-end qui s'annonçait radieux, aussi bien dehors, que dans mon corps qui allait sûrement être visité par mon fils de nombreuses fois !
Quelque temps après le téléphone sonna, c'était mon mari qui me demandait comment cela allait, je lui répondis que rien de particulier ne se passait (je mentais ! !), il me dit que son voyage serait plus long que prévu et ne pourrait rentrer à la maison que vers la fin de la semaine prochaine.
Je lui dis que je déplorais ce retard, et que je l'attendais impatiemment (oh la menteuse que je devenais ! !) Je continuais de parler à mon mari au téléphone, quand je sentis, une main qui cheminait sur mon dos, sur mes grosses fesses, c'était mon insatiable fils qui me caressait.
Il passa ses mains devant et saisit mes seins dans ses mains, en pinçant les tétons qui durcirent rapidement. Puis, il aventura une main entre mes cuisses que j’écartais, vers mon vagin, et y mettant trois doigts, il commença de me masturber ! Je trouvais rapidement une raison quelconque pour raccrocher avec mon mari, car je sentais ma raison qui divaguait sous la nouvelle pénétration des doigts de mon cochon de fils. Ayant raccroché avec mon mari, prétextant quelque chose sur la cuisinière, je le calmais en lui faisant une fellation avec caresses sur les testicules, mais comme il avait éjaculé récemment, il ne me remplit pas la bouche de son jus. Peu avant le déjeuner, son ami André, un étudiant comme lui, mais en pharmacie, vint à la maison, pour lui demander des renseignements divers, dont je me moquais bien, mais les regards qu'il me jeta durant l'apéritif me confortèrent sur le fait que mes hanches larges et mes seins « format standard », pouvaient encore plaire à des jeunes gens autres que mon fils, aussi, discrètement, je partis me changer de mon jean T-shirt quotidien, certes pratique, mais pour plaire à un homme il faut aiguiser son appétit ! !

Je revins, avec un corsage léger, dont deux boutons étaient ouverts ? ? ? sur un soutien-gorge blanc, une jupe courte rouge, sans collant, et une culotte fine,
Aux regards que mon fils et surtout ceux qu'André me jetèrent, à mon retour dans le salon, je réalisais que j'avais touché juste, et que ma nouvelle vie amoureuse prenait une ampleur extra-conjugale (coucher avec mon fils restait dans la famille !) Le repas vite préparé (pizza et salade) et vite expédié par tous, pour des raisons que vous devinez ! ! Nous nous installâmes de nouveau dans le salon, j'avais apporté le café entre-temps.
Après les avoir servi sur la petite table qui se trouvait face à eux (vautrés dans le canapé), mais durant les quelques minutes qu'avait duré le remplissage des tasses, ils avaient profité largement de la vue sur mes seins dans le soutien-Gorge, vue facilitée par le fait que mon corsage était bien ouvert ! Je m'installais sur le canapé, entre mon fils et André son ami, ma cuisse gauche touchait la cuisse droite de mon fils, qui d'un geste possessif, mit sa main droite sur ma cuisse et la fit progresser vers ma chatte, en repoussant ma courte jupe.
Pour la forme, je lui retirais la main et lui demandais de cesser ces privautés, vis à vis de sa mère ! ! ! Et devant un étranger à la famille, mais il ne cessait pas le bandit !
Il m'embrassa dans le cou, tout en caressant ma poitrine sur le corsage, puis déboutonna celui-ci, pour pouvoir plus facilement me caresser les seins encore dans le S.G.
Sans doute échauffé par le spectacle que nous donnions, son ami André, se pencha vers moi et m'embrassa longuement, sur les lèvres, sa langue était beaucoup plus experte que celle de mon fils, et plus encore que celle de mon mari, et ainsi pendant quelques minutes, je dégustais ses lèvres sur les miennes et sa langue qui jouait avec la mienne, quel délice ! ! !
Mon fils pendant ce temps-là avait ouvert complètement mon corsage et défait mon SG.
Je me levais pour enlever ce corsage et ce SG qui me gênait, plus qu'autre chose, et ceci fait, mes "hommes " m'entourèrent de leur bras.
Moi la femme auparavant fidèle à son mari, bourgeoise catholique bien pensante, je me dévergondais avec DEUX hommes ! !
Nous étions debout, André était derrière moi, plaqué contre mon dos il me malaxait la poitrine vigoureusement presque à me faire mal, et je sentais aussi sa verge tendue entre mes fesses, et mon fils par-devant qui me mordillait le bout des seins, qui dépassaient des mains d'André, décidément mes seins calibre "standards " étaient à la fête ! ! !, deux mains et une bouche pour s'occuper d'eux !
Pendant que mon fils, me léchait les seins, je sentis dans mon dos qu'André, cessant de me tripoter mes globes, défaisait ma jupe et baissait ma culotte qui était trempée depuis longtemps, il l'abaissa le long de mes jambes jusqu'à mes pieds et m'aida à soulever mes pieds l'un après l'autre, pour me débarrasser de ma jupe et de ma culotte.
Puis, il fit coulisser lentement son membre entre mes grosses fesses qu'il avait écartées, pour en faire comme un nid pour sa queue, cette sensation, nouvelle pour moi, était délicieuse, et source de plaisirs nouveaux !
Mon Amant de fils, se mit à genoux entre mes cuisses et me lécha abondamment la moule qui dégoulinait, ce qui me faisait monter au septième ciel à vitesse grand V ! ! !
Ces caresses diverses durèrent quelque temps, au moins le temps de commencer tous à perdre la notion du temps qui passait en plaisirs divers.
Je les entraînais tous les deux vers la chambre conjugale, où je disposais d'un plus grand lit que l'espace d'un divan.
Sur le lit de mes devoirs conjugaux longtemps mornes, et vite expédiés, mon fils me fit mettre à " quatre pattes ", pour donner plus facilement l'accès de mes trous à leurs bites en feu.
Il se mit à genoux face à moi, et me demanda le sucer, ce que je fis avec plaisir, car maintenant j'aimais sucer son sexe vigoureux.
Pendant que je suçais avec ardeur la bite de mon fils, André vint se mettre derrière moi, me caressa les cuisses, puis je sentis qu'il voulait s'introduire dans ma chatte en feu,
Mais je me dégageais du sexe de mon fils et je rugis sous la tentative de pénétration en lui demandant instamment,(sinon rien du tout ! ! ), de mettre une " capote ", comme ils disent les jeunes, pendant qu'il était encore tant.
Il le fit de bonne grâce, gaina son membre de belle taille de latex, et seulement après introduisait doucement son gros membre qui glissa facilement malgré sa taille imposante, dans mon vagin ruisselant. Il me tenait par les hanches et m'attira ainsi vers son sexe qui me pénétrait, m'ouvrait le ventre, cheminait en moi.

Une fois arrivé en butée contre mon utérus, il commença de doux et amples mouvements de son sexe en entrant et sortant de mon vagin qui le réclamait encore plus profond encore ! !
Il me dit qu'il aimait mes hanches larges et que mon vagin était un délice de douceur et très accueillant ! ! ! Avec la bite de mon fils dans la bouche je ne pus guère lui répondre, mais je secouais la tête pour montrer que j'appréciais sa " prestation " dans ma moule qui ruisselait de bonheur.
Je me sentais remplie comme jamais, il s'enfonçait, butait contre mon col de l'utérus, et je sentais ses couilles contre ma vulve devenue très sensible, ressortait presque complètement, et recommençait, j’étais au paradis ! !
Il me besogna de longues minutes, durant lesquelles je planais au septième ciel, de sentir cette grosse chose qui rentrait et sortait de mon ventre, à un rythme régulier, en me procurant des frissons continus qui me parcouraient le corps.
Puis il se retira de mon vagin dilaté, et après avoir introduit avec quelques va et vient, quelques doigts mouillés aux sécrétions de mon vagin, dans mon petit trou, pour l'assouplir, il rentra doucement son gros membre dans mon cul, qui le reçut difficilement et un peu douloureusement au début, aussi je lui demandais de faire doucement.
Mais une fois tout rentré, sauf ses couilles que je sentais frotter contre ma vulve, il coulissa doucement de toute la longueur de son sexe puissant, dans mon étroit conduit, en sortant presque totalement puis se renfonçant fortement, puis il saisit mes seins dans ses mains et me les malaxaient au même rythme qu'il m'enculait, provoquant en moi des ondes de voluptés qui en irradiant allaient de la tête aux pieds ! !
Moi, qui auparavant, n'avais jamais pratiqué, ni la fellation, ni la sodomie avec mon mari, maintenant je suçais, et je me faisais enculer, bref je me dévergondais ! !
J'avais la queue de mon fils profondément dans la bouche, je lui malaxais les couilles qui semblaient bien pleines, pendant que son ami tenant mes hanches très larges dans ses mains me pilonnait l'anus avec vigueur ! !
J'eus un orgasme foudroyant, quand presque en même temps, André arrosait mes boyaux de son sperme chaud, et mon fils me nappait la bouche de son sperme sous pression.
Nous nous sommes endormis quelques minutes, écrasés tous les trois de plaisir et de bonheur purement sexuels.
Je fus la première à songer à me laver des excès sexuels précédents.
Je rentrais dans la salle de bains pour pouvoir me rafraîchir et évacuer par une douche bienfaisante tout ce sperme que j'avais reçu sur le corps; quand mon fils me suivit de près dans la salle de bain !
Il me prit dans ses bras, et nous échangeâmes un baiser voluptueux et de multiples caresses qui me permirent de sentir contre mon ventre, que mon insatiable fils recommençait à bander dur !
Aussi je me mis à genoux devant lui et saisis sa verge luisante dans ma bouche pour lui prodiguer une fellation qu'il aimait tant, le cochon ! !
Mais maintenant que ses couilles s'étaient un peu vidées, je pus le sucer tranquillement sans recevoir trop rapidement sa semence bouillante au fond de ma gorge
Au bout de quelques minutes de suçage et de caresses sur ses couilles, je décidais d'aller me doucher, de façon à ce que mon " Amant de Fils " puisse recharger les batteries ! !
J'étais dans le bac de douche depuis quelques minutes, à savourer l'eau ruisselant sur ma peau, sur mes seins malmenés, malaxés, que mon fils me rejoignit sous la douche et se serra contre moi.
Nos nous savonnions longuement l'un l'autre et échangions aussi des caresses. Nous étions enlacés sous le jet d'eau qui nous arrosait abondamment, c'était bon de sentir l'eau ruisseler et les caresses de mon fils en même temps ! !
Puis, il se mit derrière moi, et plaça sa queue entre mes fesses, son torse contre mon dos, et il me saisit les seins, dont il recommença à triturer les bouts encore turgescents.
Je basculais la tête en arrière sur son épaule, pour savourer cette caresse et signifier mon abandon à mon fils.

Je sentis soudain sa queue pointer contre mon anus, il me tira par les hanches un peu en arrière, me faisant pencher le torse en avant, et en écartant lui aussi mes grosses fesses, il commença à rentrer lentement son membre dans mon petit cul qui décidément était beaucoup visité ce jour ! ! !! ! !
Je m'agrippais au robinet de douche, en redoutant un peu, malgré le savon qui facilitait l'entrée, cette intrusion de la bite de mon Amant de Fils dans mon cul.
Lorsqu'il eut rentré la totalité de son engin dans mon fondement, je lui demandais de ne plus bouger, pour tout d'abord accepter complètement son pieu, dans mon cul, et aussi savourer le sentiment d'envahissement que cela me procurait entre les fesses.
Puis me ressaisissant par les seins, il commença de longs mouvements de sortie presque totale de mon cul et de rentr&ea

Par maxime - Publié dans : incestueux
Ecrire un commentaire - Voir les 15 commentaires
Retour à l'accueil
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés