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incestueux

Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 17:28

 

regardez-moi et Faride qui va me prendre dans 5mn...

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Samedi 11 mars 6 11 /03 /Mars 17:25

9a ne lui suffit plus de me prendre, moi sa soeur, il veut que je sois une salope.

il faut que je vous dise. " je suis mariée" à un islamiste. il l'est devenu apres notre mariage. eh bien il paye sa trahison...hi hi hi

SVP?, branlez-vous sur mon cul et dites-le moi...

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Dimanche 5 mars 7 05 /03 /Mars 21:34

grace à la messagerie on reçoit bcp de message de témoignages que nous trions, biensur, et parmi ces derniers celui de Diane qui est arrivé aujoudhui.

merci Diane et j'éspère que le fait que des milliers de personnes apprennent ces choses-là sur toi t'apporte une excitation certaine. en tout cas nous ça nous gratifie.

pour ceux qui veulent ecrire: incesteblog@yahoo.fr

En amour depuis toujours.

 

 

 

De mon plus lointain souvenir, mon frère ainé Daniel a toujours été un être doux, généreux, hyper intelligent, protecteur et responsable. Je me rappelle quand j’avais 4 ans, lui en avait un peu plus de six, le soir après le repas et le bain, il s’assoyait à mes côtés pour que j’apprenne des mots. De plus, il me lisait une histoire dans un livre juste avant le coucher. C’était un rituel quotidien que j’appréciais énormément. Puis vint mes débuts à l’école. C’est mon frère qui m’aidait dans mes leçons et travaux. Mes parents qui travaillaient tous les deux lui laissaient cette tâche pénible et pourtant il s’en acquittait avec tellement de brio. J’apprenais tellement mieux avec lui qu’avec n’importe quel prof. Quand les travaux étaient terminés, si l’heure le permettait, nous avions droit de visionner une émission de télé. J’adorais, lui assis et moi coucher, le dos sur ses genoux, la tête appuyée sur un de ses bras, rien ne pouvait m’arriver de mieux. Collée sur lui, je sentais sa chaleur, sa douceur quand il me caressait les cheveux, j’étais heureuse. Je ne me rappelle pas qu’il m’ait repoussée une seule fois.

 

J’avais presque 14 ans, c’était un dimanche après-midi, j’arrivais de chez une copine et en entrant dans le salon, j’allais recevoir le choc de ma jeune vie. Mon frère était assis sur le divan à sa place habituelle mais, couchée sur ses genoux, la tête sur un de ses bras, il y avait une fille. Je me faisais voler ma place. Pire, il ne se contentait pas de lui caresser les cheveux, il l’embrassait à pleine bouche, une main caressant ses seins. Tournant rapidement les pieds, je me dirigeai vers ma chambre. J’étais furieuse. Je savais bien pourtant qu’il avait parlé s’être fait une petite amie, mais jamais j’avais imaginé ce que cela impliquait. Je dois dire qu’aucun garçon ne m’attirait. Aucun garçon ne pouvait passer la comparaison avec mon frère tellement il excellait dans tout. Heureusement, les fréquentations ne durèrent pas très longtemps. Mais il y eut une nouvelle petite amie. Encore là, ce fut de courte durée. Pendant plus de 2 ans, se succédèrent 7 ou 8 filles dans les bras de mon frère. J’avais 16 ½ ans quand je surpris mon frère en train de baiser. Ce fut un coup de poignard au cœur. Je venais de comprendre que j’étais amoureuse de mon frère et que depuis plus de 2 ans, je vivais dans la frustration causée par la jalousie. Je comprenais pourquoi aucun gars ne m’attirait et pourquoi dans mes plaisirs solitaires, l’image de mon frère m’embrassant sur tout mon corps dénudé me faisait jouir. Prisonnière de cet amour interdit, après plusieurs semaines de désespoir, je me coupai les veines pour me libérer.

 

Pourtant, je me réveillai dans une chambre, mes parents étaient là ainsi que mon frère. Je sentais les coupures au poignet que je m’étais infligées. J’étais à l’hôpital, on m’avait sauvé de la mort. Je sus que c’était mon frère qui m’avait trouvé et qui avait appelé les secours. Pour la 1ère fois de ma vie, je lui en voulais. N’était-il pas la raison même de ma décision? Pendant les 10 semaines suivantes, je dus rester dans une aile pour les gens en dépression. Suivie par un psychiatre et une psychologue, je n’allais quand même pas leur avouer l’amour que je porte à mon frère qui d’ailleurs venait passer au moins 1 heure avec moi tous les jours. Quelques jours avant mon retour à la maison, je réussis à me confier à lui. En apprenant mes sentiments, il me confessa que depuis toujours je suis son amour. S’il a eu des petites amies, c’est qu’il cherchait à se libérer de son amour interdit. Il ajouta qu’il avait baisé avec 5 filles, mais qu’à chacune des fois, pour réussir à éjaculer, il devait s’imaginer que c’était avec moi. Cela a jeté un baume sur mon cœur, mon amour était partagé. Le retour à la maison fut beaucoup plus difficile que je ne l’avais prévu. Mes parents me surveillaient constamment, tellement que j’avais très peu d’intimité avec mon frère. Dans les faits, nous devions nous contenter de quelques petits baisers à la sauvette, quelques mains aventureuses mais rapides. Finalement le moment que j’appréciais le plus, c’était lorsque nous regardions la télé. Je pouvais être collée sur mon frère dans notre position habituelle. Après plusieurs mois, mes parents décidèrent enfin de sortir un samedi soir. Pendant toute la journée, l’attente de leur départ fut infernale et finalement vers 17h00, ils quittèrent la maison. Nous attendîmes une dizaine de minutes, il fallait bien s’assurer que nos parents n’avaient rien oublié, et puis nous montèrent dans la chambre de mon frère. Il avait eu la gentillesse de changer ses draps. Nous pouvions enfin laisser nos désirs se dévoiler. Un baiser timide au début, puis de plus en plus ardent, nos mains qui inspectaient minutieusement le corps de l’autre tout en le collant sur le notre. 5, 10 minutes ou plus avant que mon frère commence à déboutonner mon chemisier. J’étais nerveuse mais heureuse, moi pucelle, j’allais devenir une femme, celle de celui que j’aime. Le chemisier disparu, il dégrafa habillement mon soutien-gorge. Mes seins se mirent à réagir, je sentais leurs tétines bien gonflées, mon frère les voyait dans toute leur splendeur. Ses yeux pétillèrent encore plus, quand je déboutonnai et descendit la fermeture de ma jupe et que je la laissai choir par terre. C’est alors qu’il approcha ses deux mains de chaque coté de moi et doucement descendit ma petite culotte, dernier rempart de ma totale nudité. Mon Êve dont j’avais pris le soin d’entretenir le matin apparaissait lentement. Il prit alors son t-shirt, l’enleva, pendant que je débouclais sa ceinture et fis tomber son pantalon. Je pris alors son slip pour enfin découvrir l’Adam de mon frère. Un nouveau baiser accompagna notre nouvelle étreinte. Doucement, il me coucha sur son lit. Lentement, ses caresses de ses lèvres descendirent de mon visage, passèrent dans mon cou, mes épaules et arrivèrent à mes nichons. Inhabile, je restai immobile, goûtant le plaisir de sa langue. Puis de nouveau, ses lèvres se mirent à me donner des milliers de baisers sur tout mon corps pendant de nombreuses minutes. Finalement il s’approcha de ma virginité. Sa langue sur mon clito me donna un bonheur indescriptible. Je sentais tout mon corps vibrer en moi tout en laissant des sons de plaisir jaillir de ma bouche. Sa langue toucha finalement mes lèvres, je savais que la pénétration arrivait. Il prit son Adam qui se tenait debout en grand garçon, le plaça à l’ouverture de mon Êve et lentement pénétra à l’intérieur de moi. Soudain une douleur, un petit cri, j’étais femme. Adam se promena en va et vient et gicla sa semence. Adam se retira. La bouche de mon frère retrouva la mienne, nos lèvres se mélangèrent de nouveau. Pour la première fois, moi j’en avais assez, je comprenais mes copines qui disaient que l’hymen gâche tout et je comprenais le sens de se donner à un homme. J’étais cependant heureuse que mon frère eût de l’expérience pour mon dépucelage. Nous eûmes la chance dans les semaines qui suivirent de le faire à  4 ou 5 reprises. C’est à la 4ième fois, je m’en souviens très bien que j’eus mon premier orgasme.

 

Environ 2 ans plus tard, nous étions de moins en moins prudents et fûmes surpris par nos parents. De longues discussions eurent lieu et finalement nos parents acceptèrent que nous nous aimions. Le secret est absolu. Un seul problème à l’horizon, j’ai 28 ans aujourd’hui, et nous avons le goût d’avoir des enfants ensemble. L’avenir nous dira quelle décision nous allons prendre.

 

 

 

Diane

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Dimanche 26 février 7 26 /02 /Fév 18:43

Apres quelques temps, je reviens vous retrouver avec des témoignages. notament celui de celle qu'on va nommer Annie mais qui, malgré tout, à signé de son véritable nom sur ma messagerie. je la remercie infiniment et je suis contant de vous laisser lire ce qu'elle m'a écrit en ajoutant sont texte. Bonne lecture

Bonjour Maxime,

Mon frère m'a parlé de ton blog. Je l'ai visité et en accord avec lui, je
t'écris notre histoire. Bien sûr, j'ai changé les noms pour que tu
puisses
la publier. Nous nous sentons moins anormal à la pensée que l'inceste est
beaucoup plus présent que la société le désire et le prétend. Je comprends
les gens de ne pas laisser beaucoup de commentaires. Soit ils ont honte de
leur désir secret et ont peur de se dévoiler(préjugé quand tu nous tiens),
soit ils l'ont vécu ou le vivent présentement et ont peur que la vérité sorte.
Continue, ne lâche pas, le bien que tu fais à ceux qui vivent l'inceste de
façon consentante est énorme.

Des piercings qui m’ont conduite à mon frère.

 

 

 

Je me nomme Annie, ce soir je fête mes 19 ans chez ma mère. Mon frère Serge, 23 ans, genre sportif, est là seul. Il a laissé sa copine il y a déjà près de 2 mois. Il vit depuis chez ma mère, Louise, veuve depuis 3 ans. Mon copain, Manuel,  avec qui je vis depuis 3 mois est  présent aussi. J’ignorais alors que l’un de mes cadeaux allait modifier ma vie.

 

 

 

Depuis que j’avais 16 ans, peut-être 15 ans, je désirais avoir des piercings aux seins et au clitoris. Ma mère s’y était opposée. « Ce n’est qu’une mode » me disait-elle. « De plus, tu n’est pas encore majeure » ajoutait-elle. Lors de mes 18 ans, j’étais déçue de ne pas recevoir ce cadeau de ma mère. A Noël, ma frustration fut vive et ma mère le sut. Elle m’avait alors suggéré de me les payer de ma poche. Mais je venais d’emménager avec Manuel et mes sous étaient tous comptés.

 

 

 

Ce soir là, je reçu une magnifique chainette en or et un pendentif de Manuel. De ma mère et de mon frère, ce fut ces magnifiques boucles qui orneront bientôt mon corps et un certificat-cadeau pour le perçage et la pose de ceux-ci. Ma joie était au comble d’autant plus que les boucles étaient celles que j’avais montrées à mon frère un peu après Noël. C’étaient dans les plus dispendieuses et je comprenais pourquoi ils s’étaient unis pour le cadeau. Manuel fut surprit et cela le mit mal à l’aise. La fête terminée, j’allais savoir le pourquoi. « Je ne peux croire que tu puisses accepter un tel cadeau de ton frère, un cadeau à connotation sexuelle. » me dit-il aussitôt arrivé chez nous. « C’est d’abord le cadeau de ma mère. Elles sont très dispendieuses. Je n’en voulais pas de moindre qualité. Je comprends que ma mère ait demandé à Serge de s’unir à elle pour me les offrir. Il y a rien de sexuel.». « Une fois posées, ils vont te demander de leur montrer » ajouta-t-il. « Tu es malade, c’est mal les connaître, ils m’ont donné ce que je désirais. Tu as vraiment un problème. » Et sur ces propos, j’allai me coucher. 3 jours plus tard, je pus enfin me faire poser mes nouvelles merveilles. Malgré la douleur, celles qui disent qu’elles n’ont pratiquement rien senti sont des menteuses ou je suis une super sensible, j’avais hâte de les montrer à Manuel, ces merveilleuses boucles bien en place. Ma joie fut de courte durée, Manuel m’accusa presque de coucher avec mon frère. Ce soir là, il dormit sur le canapé. Les semaines passèrent et la querelle au sujet de ces boucles était devenue omniprésente.

 

 

 

Cependant, cette querelle avait fait naître chez moi des pensées troublantes face à mon frère. Mon frère désire-t-il que je lui montre son cadeau sur moi? Aurait-il une érection, si je lui montre mes piercings? Est-ce que mon frère fantasme sur moi? Quelle grosseur est son pénis?  Désire-t-il en secret me faire l’amour? Comment baise-t-il? Me trouve-t-il jolie? Sensuelle? Pense-t-il que je suis une salope? Se masturbe-t-il en pensant à moi? Lentement ces pensées se changèrent en fantasmes, fantasmes que je devais assouvir en me masturbant. Des désirs secrets étaient nés en moi. Me mettre nue devant lui, me laisser caresser mon corps, faire l’amour et même avoir un enfant.

 

 

 

Cela faisait déjà presque 3 mois depuis ma fête. Je n’étais pas retournée voir ma mère et mon frère afin d’atténuer les doutes de Manuel. La querelle s’était finalement estompée. Cependant dans 8 jours, c’est l’anniversaire de Serge et bien sûr ma mère le fête chez elle et nous sommes invités. Manuel réagit mal, très mal. Mes petits bijoux que seul lui avait vus sur moi sauf celle qui me les avait posés refaisaient surface. « C’est ça, tu vas pouvoir te mettre à poil devant ton frère. Et pourquoi pas une bonne baise en guise de remerciement » me lança-t-il. Cette fois, c’était la fin. Je pris mes valises, les remplit, appela un taxi et avant de le quitter définitivement je lui dis : « Il n’y a rien entre mon frère et moi. J’ai cru un moment que tu l’avais compris. Tu es jaloux que mon frère et ma mère sachent que je porte des piercings. Tu aurais voulu que ce soit toi qui me les offre et que ça demeure secret. Tu as vraiment besoin d’une thérapie. Tu insultes depuis des mois ma famille et moi. Je te quitte, c’est terminé entre nous. ».

 

 

 

Heureusement, j’ai toujours ma chambre chez ma mère. Après avoir expliqué à ma mère les raisons de notre rupture, je ne voulais pas que mon frère le sache, j’allai me reposer dans ma chambre. J’ignore si c’est le fait de me retrouver près de mon frère, mes désirs interdits face à lui que j’avais réussi à oublier dans la dernière semaine refirent surface. Je me surprenais à imaginer quand et comment je me montrerais nue. J’imaginais des scénarios aussi fantaisistes les uns, les autres. Pour moi, si je me montrais nue, cela finirait inévitablement en faisant l’amour. Je ne cherchais même plus à faire taire mes désirs incestueux mais à les réaliser.  Honteuse de mes désirs, je maudis Manuel de les avoir fait naître. Il me semble que lorsqu’on rompt avec quelqu’un, il y a une tristesse qui s’installe, un regret des bons moments, on doit sentir un manque de l’être viré. Rien, je ne suis pas triste, je ne regrette rien, il ne me manque pas. Tout ce qu’il y a, un profond désir de devenir la femme de mon frère. J’ai le goût de le sentir caresser, embrasser la moindre parcelle de mon corps, sentir la chaleur du sien sur le mien. Je finis finalement par m’endormir. Le lendemain matin, au petit déjeuner, j’essayai de ne pas trop fixé mon frère. A chacune des fois que mon regard se posa sur lui, je sentais mes seins et ma chatte réagir. Heureusement, j’avais une journée chargée au collège. De plus, je travaillais le soir. Cela m’a permis de passer une journée agréable. Mais dès que j’arrivai le soir, en particulier dans ma chambre, mes désirs revenaient toujours plus forts. Ce fut une semaine difficile, mais le samedi, anniversaire de mon frère, ma décision était prise. Je me donnerai à mon frère. Après avoir fait l’amour, je serai libérée de ces désirs et pourrai reprendre une vie normale. Quand et comment, surtout avec ma mère présente, je ne le savais pas, mais ce serait dans les jours qui viennent, la première occasion sera la bonne. C’est du moins ce que je pensais.

 

 

 

Le repas du soir fut particulièrement arrosé. Ma mère offrit une caméra numérique comme cadeau. Avec son ordi, il pourra les développer lui-même. Moi, je savais ce que je désirais lui donner, c’est-à-dire mon corps, mais je ne pouvais le faire devant ma mère. Aussi faute d’argent, il reçu un baiser de ma part en m’excusant, les derniers événements ayant vidé ma tirelire. Puis, ma mère nous invita à danser au sous-sol. Nous étions une famille de danseurs. Pendant plus de 2 heures, nous dansions passant d’un cha-cha-cha à un rock, d’une valse à un tango et même quelques slows. Puis ma mère s’excusa, elle était fatiguée et monta se coucher.

 

 

 

C’était l’occasion, je le savais mais comment faire. Mon frère et moi continuons de danser. Je dois dire, que j’ai du prendre 3 ou 4 Bloody Mary bien alcoolisés, j’ai toujours eu de la difficulté à doser quand je les prépare, ayant toujours peur qu’il ne soit pas suffisamment alcoolisé. Prenant mon courage à deux mains, je dis à mon frère : « Tu sais, je porte les beaux bijoux que tu m’as donnés. ». J’espérais une réaction de mon frère. « Habituellement, ce genre de bijou se porte toujours. J’aurais été surpris que tu ne les portes pas » me répondit-il. Ce n’était pas vraiment la réaction souhaitée. J’enchainai : « Tu devrais voir comme ils me font bien ». « Je n’en doute pas, tu est très jolie. Mais si tu désires que je voie ces 3 petites merveilles sur toi, il faut que tu sois nue » ajouta-t-il d’un regard coquin. Je sus alors que j’allais me mettre nue. Je sentis l’excitation dans mon corps, excitation accentuée par la présence de mes petits bijoux. Mais je voulais faire l’amour, il me fallait m’en assurer, sinon quelle frustration pour moi. Je repris la parole : « Me mettre nue, hum, c’est un peu injuste, tu vas voir mes seins, ma chatte et moi qu’aurais-je? Par contre si tu me montre ton pénis en érection ce serait équitable, tu ne penses pas? ». Surpris de ma réponse, Serge répliqua : « Ok pour du nudisme, mais pour l’érection, il faudra que tu m’excites, petite sœur, et une fois excitée, euuuh … il peut se passer bien des choses ». A sa réponse, je sentis la pointe de mes seins se durcir comme jamais, des spasmes à l’intérieur de mon vagin. J’avais presqu’un orgasme. « S’il se passe des choses, petit frère, je suis capable d’assumée. J’enlève un morceau et toi le suivant. Je commence ».

 

 

 

A peine ai-je enlevé mon chemisier, je vis dans ses yeux, le désir de me caresser, de me baiser. Ca y était. Nous étions à poil. Je m’approchai de lui, il contempla mes seins, il se pencha pour regarder le piercing de mon clito. Il se releva, ma main glissa vers son membre, lui toucha à peine, qu’il se mit au garde à vous. Je le branlai alors doucement, je me penchai, j’approchai l’objet de mon désir de mes lèvres, sortant ma langue, je lui léchai son gland, le mit dans ma bouche, et en bougeant ma tête pour simuler un va et vient le fit éjaculer. En avalant, je me relevai en serrant Serge dans mes bras, écrasant ma poitrine sur son torse. Il me caressa les épaules de ses lèvres en me reculant vers le divan. Il commença alors avec sa bouche et ses mains une inspection minutieuse de mon corps, mes seins ayant droit à une attention particulière puis après avoir fait le tour de mes jambes se dirigea vers ma chatte. Je ne trouve pas les mots pour décrire le frisson du plaisir que j’éprouvai alors, il alla me déguster enfin. Sa langue sur mon clito eut suffit mais mon petit bijou accroché là accentuait les sensations, je mouillai donc comme un champlure avec des gémissements de plus en plus forts. Descendant de temps en temps sa langue sur mes lèvres pour savourer le liquide que je sécrétais pour lui. Enfin il prit sa verge, écarta mes lèvres avec ses doigts, y plaça le gland et d’un lent coup de rein introduisit son pénis. Je le sentis glisser lentement, s’accaparant peu à peu de tout l’intérieur de mon vagin. Il était enfin à l’intérieur de moi, je devenais sa femme, n’était-ce pas l’échange de son doigt dans mon anneau. Des va et vient débutèrent lentement. Je me mis à gémir doucement à chacun d’eux. Puis accélérant le rythme, mes gémissements augmentèrent leur niveau sonore. Les va et vient furent de plus en plus rapides, des spasmes vaginales apparurent, ils furent de plus en plus intenables, je criai, oui, j’ai bien eu un orgasme, mais lui continua, je le vis dans son visage, il y était presque, oui, ça y était. Un liquide chaud venait tout juste d’arriver à l’intérieur de moi. Nous nous sourîmes et pendant que nous nous embrassions une voix retentit : « Cela fait 5 minutes que je vous observe, vous seriez bien mieux dans un lit pour vous aimer. C’est bien plus confortable ». Cette voix, c’était celle de notre mère. Surpris et gênés, nous la regardâmes remonter les escaliers. Serge et moi, attendirent quelques minutes, prirent nos vêtements et gagnèrent ma chambre où nous continuèrent nos ébats et nous endormîmes entrelacés.

 

 

 

Le lendemain matin, quand je me réveillai, mon frère dormait nu à côté de moi. Je n’avais donc pas rêvé, ni fantasmé. Je réveillai mon frère avec de gentils baisers. Puis après moult hésitations, nous sortîmes de ma chambre pour prendre le petit déjeuner. Ma mère était déjà là. Quel sermon aurons-nous? Nous venions de traverser l’interdit. Quand elle nous vit, elle nous sourit et dit : « Vous avez passé une belle nuit les tourtereaux? ». Je fus complètement ébahie, mon frère l’était également à l’expression de son visage. Ma mère ne semblait nullement troubler que sa fille et son fils aient fait l’amour ensemble. Ne sachant quoi répondre je lui répondis finalement : « Oui, mais toi, tu n’es pas fâchée de nous avoir vu ainsi? ». J’avais besoin de comprendre. Après un moment de réflexion ma mère reprit : « Écoutez bien tous les deux, ceci doit demeurer secret. Quand j’étais adolescente, ma mère, passait son temps à me prévenir de faire attention à mes frères. Ils essaieraient de me voir nue, pire ils me feraient peut-être des avances. Les gars me disait-elle, c’est comme ça, surtout à leur âge, ils ne font pas de différences entre une sœur et une voisine. Ils fantasment sur le corps de la femme et leur sœur est à leur portée. A l’époque, je n’éprouvais aucun désir sexuel sur mes frères et j’étais très prude. Mais la répétition quotidienne de ses conseils a fait naître chez moi des désirs. Me montrer nue, satisfaire le voyeurisme de mes frères. J’ai passé finalement à l’action. Je laissais souvent ma porte de chambre entrouverte en étant nue, tout en surveillant discrètement si un de mes frères se prévalait de cette chance. Je voyais souvent Jean-Paul m’observai discrètement. Ca me donnait des plaisirs à chaque fois. Puis le désir de me donner à lui est venu. Une nuit de Noël, pendant que tout le monde s’amusait, je me suis donnée à lui. Nous l’avons fait pendant plus d’un an presque chaque semaine. Ce n’était pas de l’amour, mais la réalisation de nos fantasmes. Quand tu m’as parlé de ta rupture, j’avais compris que Manuel avec ses paroles répétées avaient créé sans le vouloir des fantasmes sur ton frère. Ton frère lui, je l’ai surpris nombre de fois essayant de t’observer pendant que tu prenais ton bain. Hier, quand je suis redescendue, à tes gémissements, j’avais compris que c’était fait. Je vous préviens tous les deux. Ce n’est pas de l’amour, ce n’est que la réalisation de fantasmes. Désormais, vous serez pris toute votre vie à ce désir charnel interdit et vous devrez l’assouvir de temps en temps comme Jean-Paul et moi, une fois tous les 3 ou 4 mois. Profitez maintenant du temps où vous avez besoin de le faire souvent, mais dans 6 mois, un an ou un peu plus, le véritable amour vous manquera».

 

 

 

Serge et moi n’arrivâmes pas à le croire, ma mère l’avait déjà vécu et le vivait encore. Ma mère eut raison sur toute la ligne. Après 8 mois de baise infernale, un manque se fit sentir de plus en plus. J’avais besoin d’un amoureux et lui d’une amoureuse. Depuis nous sommes mariés tous les deux avec des conjoints charmants. Cependant à chaque 3 ou 4 mois, Serge et moi, nous nous retrouvons pour satisfaire ce désir charnel incontrôlable, le plus souvent chez ma mère qui sourit à toutes les fois.

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Dimanche 26 février 7 26 /02 /Fév 18:31

 

 

 

Mon frère, Jean, mon ainé de 17 ans, me gardait pendant que mes parents étaient allés dans le sud pour des vacances. Je n’avais qu’un peu plus de 6 ½ ans quand je vis ma belle-sœur, Susie, et mon frère qui pleuraient. Ils venaient d’apprendre l’écrasement de l’avion que mes parents avaient pris pour revenir de voyage. Jamais je n’eus aussi peur. J’avais peur de me retrouver seule dans un orphelinat ou dans une famille d’accueil. Mais ma belle-sœur me rassura en disant que désormais je vivrais chez elle avec mon frère. Ce n’était pas très grand, un 4 ½, 2 chambres, un salon et une cuisine. Ma belle-sœur était enceinte de 3 mois et mon frère qui avait parti une compagnie qui prospérait bien allait bientôt construire sa maison.

 

 

 

Nous venions à peine de déménager dans notre nouvelle demeure que ma belle-sœur accoucha d’un merveilleux garçon. Susie était fantastique avec moi, comme maman de remplacement je ne pouvais trouver mieux. Je la regardais faire avec mon neveu, Éric. J’aimais particulièrement les moments de toilette. J’ignore pourquoi, j’avais déjà vu d’autre bébé avec leur pénis, le pénis de mon neveu avait un drôle d’effet sur moi, une forme de plaisir que j’éprouvais. Ce plaisir faisait battre mon cœur plus vite, avec une bizarre sensation dans le ventre. C’est pourquoi, il n’était pas question de rater l’heure du bain d’Éric. J’avais 12 ans quand on me confia la responsabilité d’Éric la première fois, Susie et Jean avait une soirée. Le souper terminé, ils partirent donc à leur soirée, me laissant le soin du bain d’Éric. J’allais en profiter, après laissé mon neveu jouer une dizaine de minutes, je me mis à le laver. Je m’attardai longuement à ce pénis qui me donnait tant de plaisir. Je sortis Éric, l’essuya, et me mis à l’embrasser partout. Il aimait ça, il riait. J’embrassai ses petites fesses, son pénis pendant plusieurs minutes. J’étais folle de joie. Ensuite ce fut le coucher et après qu’il fut endormi, j’allai dans ma chambre.

 

 

 

Depuis environ un an, j’étais selon Susie, une grande fille, j’avais des menstruations. Mes seins avaient commencé à se former. J’avais depuis quelques semaines découvert la masturbation. Je me masturbai ce soir là à multiples reprises. N’avais-je pas pris dans mes mains ce pénis, ne l’avais-je pas embrassé. J’eus droit à ce privilège quelques fois. Mais à partir de 6 ½ ans, Éric désira prendre son bain seul, ce qui fut exaucé par Susie. En silence, j’étais frustrée au début, mais j’acceptai les jours suivant de ne plus voir le pénis de mon neveu. La compagnie de mon frère avait beaucoup prospéré. Nous déménageâmes dans une somptueuse et luxueuse maison. De plus, j’eus droit au collège privé.

 

 

 

De mes 13 à 16 ans, j’eus beaucoup de discussions avec Susie sur l’amour et la sexualité. Comme mère et belle-sœur, elle m’expliqua beaucoup de choses. Sur les pénis en érection des hommes, elle me montra des revues. Elle osa même sous le secret le plus strict me montrer une photo polaroid du pénis de mon frère. Elle le disait elle-même qu’elle était chanceuse d’avoir un homme si bien pourvu. A partir de 16 ans, j’eus de nombreuses expériences avec des hommes, mais même si certains étaient bien pourvus, ils n’arrivaient pas à celui de Jean. J’avais 23 ans quand en me dirigeant vers ma chambre, je vis Éric, par sa porte mal fermée, se masturber. Lui aussi était bien pourvu. J’en parlai secrètement avec ma belle-sœur. Elle me rappela qu’à cet âge là, 16 ans, les garçons sont en érection juste parce qu’ils ont espérer voir une petite culotte, ils n’ont rien vu et pouf. Cette nuit là, je n’avais que la vue de ce pénis dans la tête. J’ai du me masturber plusieurs fois afin de pouvoir m’endormir et cela devait durer 4-5 jours. Mon regard sur mon neveu avait changé. Je ne le voyais plus comme un enfant mais comme un homme, un petit homme mais un homme. De plus, je remarquai qu’il me regardait parfois d’une façon bizarre.

 

 

 

Environ 6 mois plus tard, au repas du soir, j’essayai de convaincre de nouveau mon frère de l’achat d’une automobile pour moi. La réponse fut de nouveau négative. Mon neveu dans la soirée me dit : « Tu t’y prends mal. Moi, je n’aurais aucun mal à te faire acheter une auto par papa.». « Ton père est devenu riche parce qu’il a bien géré son affaire. Il a souffert de la pauvreté et il fait attention maintenant à son argent. Mais si tu crois pouvoir le faire, fais-le!» lui répondis-je.  « Qu’est-ce que j’y gagnerais? » me répliqua-t-il. « Tout ce que ta tante peut t’offrir, mais je ne suis pas riche. » lui dis-je. « Oh! Ce que je veux ne coûte rien, seulement un effort » me répondit-il. Ma curiosité fut piquée au vif. Je désirais savoir à quel effort je devrai me soumettre. Après avoir juré de ne pas me mettre en colère, de ne pas en parler à qui que ce soit, il me dit : « Je veux te voir faire un striptease intégrale. Ensuite tu prends les poses que je te demande. Et enfin, on fait l’amour. ». Je fus surprise, presque paniquée et lui expliquai que ça ne se faisait pas, que je comprenais qu’un garçon de 13 ans pouvait avoir des fantasmes sur sa jeune tante. Cette nuit là, je ne dormis pas. Les désirs de mon neveu m’excitaient tellement. Je revoyais ce pénis aperçu à la sauvette. Je me masturbai toute la nuit. Mais je ne pouvais accéder à ses désirs et aux miens. Ne trahirais-je pas mon frère et ma belle-sœur?

 

 

 

Trois jours plus tard, nous dinions tous ensemble quand mon neveu posa une question à sa mère : « Maman, c’est quoi un sugardaddy? ». Susie répondit : « Pourquoi tu veux savoir cela? ». Éric répliqua en hésitant d’une voix inquiète : « Ben, il y a des fois que ma tante prends l’auto de papa, un cabriolet Mercédès, et j’entends dire les gens qu’elle a un sugardaddy ». Eh paf! Mon neveu avait frappé dans l’orgueil de ses parents. Je vis Jean et Susie se regarder et finalement mon frère regardant sa montre dit : « Tout le monde se dépêche, on va acheter une voiture ce soir. ». Il n’a suffit qu’une petite phrase à mon neveu. Il me fit un clin d’œil. J’eus mon auto quelques jours plus tard, mais j’avais le goût de faire plaisir à mon neveu. Un ‘strip’, ce n’est pas si grave. Prendre des poses non plu. Qu’il caresse mes seins, mes fesses, ma chatte cela j’hésitais mais ce n’est quand même pas une relation sexuelle et à quelque part j’en avais envie. Pendant des jours j’y pensai. Susie et Jean devait partir pour une semaine dans une douzaine de jours, ce serait le moment idéal pour faire plaisir à mon charmant neveu.

 

 

 

Quand j’eus 18 ans, la majorité au Canada, je désirais faire un striptease dans un concours amateur. J’avais suivi une dizaine d’heures de cours, et acheté un ensemble fait spécialement pour cela. Mais quand je me rendis pour m’inscrire, j’avais reculé. Plusieurs de mes copines l’avaient fait, mais moi, il me manquait du courage. J’essayé secrètement mon ensemble. Il me faisait parfaitement. Quand j’étais seule, je me pratiquais dans le sous-sol avec une musique de circonstance. Puis arriva le jour du départ de Susie et Jean. Revenu de l’aéroport, j’allai me mettre en tenu. Après le repas du soir, j’avais pris quelques verres de vin pour me donner du courage, j’amenai mon neveu dans le salon, le fit assoir et partit la musique. Vous auriez du voir les yeux de mon neveu, quand il me vit baisser la fermeture de ma robe, la laisser tomber. La bouche grande ouverte quand je lui dévoilai mes seins et m’approchai pour qu’il les touche. Il ne resta que ma petite culotte. Je l’invitai à me l’enlever avec sa bouche. Je le voyais en érection dans ses jeans. Puis, je lui demandai les poses que je devais prendre, je les pris toute, amusée de le voir me regarder sous tous les angles. Enfin je m’assis sur lui, le laissant me caresser, m’embrasser sur tout le corps. Soudain, sa bouche s’arrêta sur mon clitoris, sa langue me rendit folle, je jutais comme un robinet. J’étais couchée sur le canapé, les jambes bien ouvertes, lui à genoux me léchant comme aucun homme ne l’avait fait. Je gémis de nombreuses fois puis je sentis sa bouche remonté sur mon ventre, mes seins eurent droit à de nouvelles caresses et pointaient totalement leur fierté. C’est alors que je m’aperçu que mon neveu avait baissé ses jeans et son slip. Je sentais son membre sur le haut de ma cuisse. Il prit position et vlan je sentis son gland dans mes lèvres. Mon neveu me pénétrait. J’avais l’impression d’être vierge devant la circonférence de son pénis. Je n’avais pas prévu cela mais c’était tellement bon que je le laissai faire. Après 5 minutes de va et vient, je sentis quelque chose de nouveau dans mes plaisirs. De plus, je sentis mon vagin se contracter. Je l’ignorais, j’allais avoir mon premier vrai orgasme. Ah que c’était bon. Au bout d’un autre 5 minutes, un nouvel orgasme et soudain, un doux liquide chaud envahissait mon vagin. Mon neveu venait d’éjaculer. Il posa ses lèvres sur les miennes, sortit sa langue et pendant qu’il recommença les va et vient nous nous embrassâmes pendant de longues minutes. Un nouvel orgasme me fit interrompre ce baiser. Il fut suivi presque toute suite d’un autre et d’un autre. Enfin, une nouvelle éjaculation, et cette fois le merveilleux membre de mon neveu se ramollit. J’allai recueillir avec ma langue tout jus, tout sperme qui pouvaient avoir sur son pénis. Je lui enlevai son t-shirt et me mit à le caresser sur tout son corps. Pendant 20 minutes, son corps fut mien. Ses épaules, son torse, ses tétines, ses cuisses, ses fesses. Enfin, je me décidai à lui faire une fellation. Ce ne prit que quelques secondes, son membre était de nouveau prêt à attaquer. Je me mis à genoux et plaçai son gland entre mes lèvres et débuta une nouvelle série de va et vient. C’est là que j’ai réalisé la longueur. A chaque coup, je le sentais toucher la fin de mon vagin. C’était une douleur bienfaisante. J’ai du avoir 3 autres orgasmes. Nouvelle éjaculation, heureusement, car j’avais besoin d’un répit. Mon neveu me caressa de sa langue mon anus. Il prit un doigt et s’amusa, je n’y portais pas vraiment attention. Je récupérais de mon dernier orgasme. Soudain, je sentis une douleur, c’était comme une grosse crotte dure qui n’arrive pas à passer. Je réalisai qu’il m’enculait. Je voulus me dégager, mais je sentis la ferme intention de mon neveu. Je le laissai faire, poussant de petit cri de temps en temps. Enfin, je sentis qu’il l’avait tout mis. J’avais l’impression que mon anus allait déchirer tellement c’était étiré, cela faisait mal. Il commença de légers va et vient qui amplifia au début la douleur mais fit place à des plaisirs qui m’étaient inconnus. Pendant plus de 30 minutes, il m’enculait comme une pute, une salope. Je sentis un liquide chaud, il se retira, m’embrassa et me dit : « Tu es merveilleuse ». Puis, il mit ma tête sur son torse et s’endormit. Bizarrement, je faisais le lien quand enfant je ressentais du plaisir juste à la vue de son pénis. Je comprenais que c’était parce qu’il m’était destiné. Lui, qui n’avait pas encore tout à fait ses 14 ans, m’avait fait sentir pleinement femme, et pour le faire, il avait fait de moi sa pute, sa salope, et un immense désir de devenir pour lui une super pute, une super salope m’enveloppait. Je le réveillai, l’amena dans mon lit et tout en le caressant me colla à lui. Pendant toute la durée du voyage de ses parents, nous fîmes l’amour de façon orgiaque.

 

 

 

J’avais 2 excellentes amies. L’une m’avait déjà confié son désir faire l’amour avec moi. Elle n’avait jamais rencontré mon neveu. Après maintes discussions, elle accepta de le faire avec moi et un petit cochon que j’avais rencontré. Je lui avais dit qu’il était jeune et fougueux, qu’il la rendrait probablement folle. Comme cadeau pour ses 17 ans, mon neveu eut droit à toute une journée de deux belles femmes, putes et salopes. Mon amie resta figée quand elle vit l’engin de mon neveu. Elle comprit lors de sa première pénétration qui lui donna des orgasmes pourquoi il me rendait folle. Quand Éric avait  besoin de se reposer pour refaire les forces de son engin, nous lui fîmes des spectacles de femmes, trempant leur langue dans le vagin de l’autre, récupérant le plus possible le sperme dont il nous avait fait cadeau. Enfin, après m’avoir enculé, ma copine se plaça pour me lécher la chatte. C’est épouvantable comme c’est bon. Bien qu’hésitante, jamais son petit trou avait servi, elle se laissa enculer par mon neveu. Elle découvrit ses sensations difficiles à décrire. Je me plaçai et lui léchai à mon tour sa chatte. Plus elle avait de sensations, plus elle en voulait. J’ignore pourquoi, mais j’appréciais chaque instant que mon neveu pilonnait le cul de ma copine. C’est quand il termina, et que je vis le trou laissé par son engin que je réalisai ce qu’il faisait au mien. J’en étais que plus fier. Toute bonne chose ayant une fin, ma copine me fit promettre de nouveaux samedis à 3 et avec lui bien sûr. Pendant près de 6 mois, à toutes les 2-3 semaines, on se rencontra pour notre orgie. Je ne le faisais pas pour elle, mais pour mon jeune chérubin. Puis, il se lassa d’elle, il en voulait d’autres, d’autres culs, d’autres seins, d’autres chattes, d’autres bouches. Je me mis donc sur la cruise et comme j’étais très jolie, mon tableau de chasse fut impressionnant.

 

 

 

(A suivre)

 

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Mardi 7 février 2 07 /02 /Fév 17:55

il vas me la verser sur le corp...

Par maxime - Publié dans : incestueux
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Lundi 6 février 1 06 /02 /Fév 18:31

Quoi que ce n'est que plaisir,  je me donne un mal fou à satisfaire certains amateurs de l'inceste entre adules et consentants, comme moi. parcontre devant le manque de commentaires j'ai décidé d'areter un moment car c'est découragenat de ne pas trouver d' échos ne serait, même négatif.  en plus le manque de commentaire m'empeche d'augmenter la capacité de mon blog alors que je préconise y mettre des photos. je demanderais, par le biai de ce paragraphe plus de témoignage et des participations soi en ecits soi en photos. vous êtes les bienvenus merci.

Par maxime - Publié dans : incestueux
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