Chèrs lecteurs. le nouveau blog est entrain de se faire. http://www.incest.over-blog.com/

Mon pubis touche, enfin, les
fesses maternelles. Une chaleur brûlante se dégage de la vulve pour venir envahir mes bourses. L’odeur de l’amour et de la honte couvre déjà
cette
chambre
où ma mère n’aurait jamais dû s’endormir. Je rêvassais, étourdis par cette situation inespérée et inattendue, quand un mouvement du bassin me remettait dans l’action. Croyant, au
début, que ma mère voulait se détacher suite à sa découverte de l’inacceptable mais il ne fut rien car c’était un mouvement de recul. Donc ma génitrice était en position de demande. Encouragé par
ce geste j’ai poussé vers elle m’enfonçant encore plus. Et à partir de là notre étreinte est devenue bestiale. Je l’entendais gémir, doucement, sans dire un mot. Seules ses hanches m’indiquaient
qu’il fallait que je la baise. Je me mets, alors, à la considérer comme une femme, une épouse, ou une amante et non pas comme étant ma mère. L’idée de la prendre pour une pute me traversa
l’esprit et je n’ai pas résisté longtemps à jouir
en elle grâce à cette dernière. Pendant l’opération de l’ensemencement elle s’est ouverte et elle s’est collée à mon bas
ventre jusqu’à la fin des giclées. Le monde tournoyait autour de moi. Je ne sais pas ce qu’il en est pour la pute qui a reçu la semence filiale ! En tout état de cause son silence forcé, car
les halètements arrivaient à s’échapper, ne cachait pas le plaisir qui l’a fouetté. On frappe à la porte.
J’ouvre les yeux. Les rayons du soleil hivernal de ce mois de janvier, dansent sur mes draps. La voix de ma mère qui me rappelle qu’il faille que je me lève car le petit déjeuner est prêt. Soudain le souvenir de la nuit passée. Deux taches suspectes me remettent dans la réalité de ce qui s’est déroulé. Ma mère est dans la cuisine je lui fais la bise matinale elle sourit « pal » elle détourne le regard et vaque à ses occupations me laissant devant mon bol de lait. Ce breuvage qui se confond avec le lait maternel et la liqueur qu’elle a reçus dans son ventre. Va-t-elle tomber enceinte de moi ? Etait-elle consciente de recevoir mon venin ? L’avait-elle accepté en connaissance de cause tout en sachant qu’elle n’est pas féconde ? Toutes ses questions me taraudent, me brûlent les lèvres mais je n’en dis rien.
Je la laisse venir si elle le veut mais
je ne me sens pas le courage de l’affronter. Trois jour sa passent en disant le strict minimum de part et d’autre. Le soir elle parle à mon père au téléphone et de temps en temps pose un regard
sans expression sur moi. Le quatrième soir elle me demande si je ne voulais plus qu’elle m’accompagne en boite. Je réponds par la négative « alors ce soir on sort ? »
Demande-t-elle. Je réponds par oui. Rayonnante, ce soir-là, elle dansait avec moi comme si j’étais son mec. Elle avait un peu forcé sur la crème de whisky, certes, heureusement que
personne ne connaissait la nature des liens qui nous lient. Vers 3h du matin nous sommes déjà chez nous. Elle prend une douche et elle me demande si elle pouvait regarder la télé dans ma
chambre.
J’affirmais « oui » elle me fait une bise, part dans sa chambre pour s’essuyer. Elle revient cinq minutes plus tard en tenu de nuit c’est à dire un peignoir qui couvrait une nuisette
très courte et elle pénètre, avec moi, dans ma chambre en fermant la porte
Depuis, avec ma mère même si la vie continue, nous n’osons plus nous regarder
franchement dans les yeux aussi longtemps qu’avant. Pourtant une fois l’excitation est là elle redevient cette louve débordante d’envies, de fantasmes et de sensualité. Elle me dit, souvent, à
l’oreille qu’elle était ma
femme
que je pouvais faire d’elle ce que je voulais. Un soir dans le plus fort de l’enfer elle me demande en me suppliant de l’engrosser.
_ ouiiii vas-y mon
chéri baise-moi, baises ta mère qui est devenue ta
femme.
Fait moi un enfant je t’en supplie engrosse ta salope de mère.
_Tu le veux vraiment maman ? Hein tu veux porter de moi ?
_Oui mon chéri ouiiiii, puisque je te le demande, vas-y tu as peur de quoi ? Verse-moi ta semence dans mon ventre…
_Et papas ?
_ Je lui ferai croire qu’il est de lui et on l’élèvera toi et moi sous le même toit…
Pendant tout ce temps-là ma bite pilonnait le ventre maternel avec des bruits de claquements et de sucions terrifiant et fouettant l’esprit. N’y tenant plus j’annonce à ma mère que j’allais venir. Elle écarte les jambes au maximum pour que la pénétration soit plus profonde.
_Féconde moi…fécondes le ventre qui t’a porté pendant neuf moi. Je veux que tu rentres une deuxième fois et d’une manière… je t’aime chéri.
_ahhhhhh…dans un cri libérateur je déverse mon amour, ma rage et ma liqueur tout au fond de cette femme qui n’aurait jamais dû porter de moi.
1mois et demis après, ma mère m’annonce qu’elle est enceinte de moi. Elle avait honte et elle pleurait.
_ On a fait une bêtise…
Elle m’enlace en me disant que ce n’était pas de pas de ma faute
_On va arranger ça ne t’inquiète pas mon cœur.
_Comment vois-tu les choses maman ?
_Quand tu reviens ce soir je te le dirai !
J rentre en dernier à la maison, mon père est rentré plus tôt que d’habitude ce mercredi pour voir le match qui opposait deux grandes formations footballistique européenne.
_dépêche-toi fiston, ça ne va pas tarder…
Ma mère est dans la cuisine. Elle téléphone à une de ses copines de temps en temps nous entendions un rire nous y parvenir.
Mon père absorbé par les actions des joueurs et moi par ce que ma mère avait dans le ventre.
A la fin du match mon père s’est couché dans sa chambre et ma mère me dit à haute voix qu’elle voulait que je regarde une émission tardive avec elle.
Seuls dans le salon, les lumières éteintes on s’allonge sur le même canapé. On se caresse et la proximité de mon père nous excite au plus haut point. Ma mère coulait comme une fontaine et elle me dit :
_Je vais garder mon ventre pendant deux mois encore, pour que tu voies le fruit de ton travail puis je vais avorter.
Deux mois durant nous nous sommes baladé, avec ma mère, la mère de mon enfant partout dans paris.
Ma mère est devenue une femme cochonne, elle me traîne maintenant sur les chemins de l’adultère car depuis un certain temps on fréquente les boites échangistes et mon père approche de la retraite tranquillement…
Maxime
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Bonjour Sophie,
Je suis ravi par votre commentaire ô combienjudicieux. J'aimerais que vous entriez en contact avec moi, pour une éventuelle contribution autour d'un récit.Il s'agirait du vôtre, bien enrtendu , pour mon grand plaisir, le vôtre certainement et celui des lectrices et lecteurs...
Maxime
j'ai eu les memes relations avec mon fils jean marie mias quand je me suis retrouve enceinte j'ai mené ma grossesse à terme ,nous avons eu une petite fille ,officiellement mon mari est le pére.